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– Pour le moment, dit Julian dont les yeux brûlent comme des flammes. Il est à l’hôpital et il souffre d’une légère commotion cérébrale.

Je suis tellement soulagée que je m’affale le long du mur. C’est à ce moment-là que je réalise ce qu’il vient de me dire.

– Qu’est-ce que ça signifie, « pour le moment » ?

Julian hausse les épaules.

– Sa santé et son bien-être dépendent entièrement de toi.

J’avale ma salive pour m’humecter la gorge, elle est encore sèche.

– De moi ?

Il me caresse de nouveau le visage, replace une mèche de cheveux derrière mon oreille. J’ai si froid que j’ai l’impression qu’il me brûle en me caressant.

– Oui, mon petit chat, de toi. Si tu te conduis convenablement tout ira bien pour lui. Sinon…

J’ai grand-peine à respirer.

– Sinon ?

Julian sourit.

– Il n’a plus qu’une semaine à vivre.

Son sourire est ce que j’ai vu de plus beau et de plus effrayant au monde.

– Qui êtes-vous ? ai-je murmuré. Que voulez-vous de moi ?

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Je rassemble mes esprits.

- Pourquoi m'appelez- vous comme ça ?

- T'appeler comment ? Mon petit chat ?

Je hoche la tête.

- Parce que tu me fais penser à un chaton dit-il, et une étrange émotion brille dans ses yeux. Petite, douce et agréable à caresser. J'ai envie de le faire rien que voir si tu vas ronronner dans mes bras.

Le sang me monte à la tête. je rougis jusqu'à la racine de mes cheveux en espérant que mon teint l'empêche de s'en apercevoir.

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L'amour

Ce n'est pas un amour doux et tendre comme j'en ai rêvé, mais c'est l'amour. Un amour sombre, pervers, obsessionnel, qui est à la fois compulsif et addictif. Je sais que tout le monde condamnera mon choix, mais j'ai besoin de Julian autant qu'il a besoin de moi.

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― Quel âge as-tu, Nora ? demande-t-il ensuite. Je cligne des yeux.

― Vingt-et-un ans. Il s’assombrit.

― Dis-moi la vérité.

― Presque dix-huit ans, ai-je admis à regret. J’espère qu’il ne va pas le dire au barman et me faire jeter dehors.

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C'est probablement le plus bel homme que j'aie jamais vu.

Ses cheveux sont bruns et légèrement bouclés.

Son visage est dur et viril, chacun de ses traits sont parfaitement symétriques.

Des sourcils droits et sombres surplombent ces yeux étonnamment pâles.

Une bouche qui pourrait être celle d'un ange déchu.

En imaginant cette bouche toucher ma peau, mes lèvres, je me mets à brûler. Si j'avais tendance à rougir, je serais rouge comme une tomate.

Il se lève et se dirige vers moi sans me quitter des yeux.

Il marche sans hâte. Tranquillement. Il est parfaitement sûr de lui.

Et pourquoi en serait-il autrement?

Il est très beau, et il le sait.

A son approche, je me rends compte que c'est un homme imposant. Grand et costaud. Je ne sais pas quel âge il a, mais je devine qu'il est plus proche de trente ans que de vingt.

C'est un homme, pas un garçon.

Il se tient près de moi et j'en oublierais presque de respirer.

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La vie n’est rien d’autre qu’un jeu de roulette détraqué, dit-elle doucement, la roue ne s’arrête pas de tourner et ce sont toujours les mauvais numéros qui sortent. On a beau pleurer, il n’y a aucune chance de tirer le bon numéro.

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― De la chance, pourquoi ?

― Parce que quoi qu’il ait fait, Julian n’est pas vraiment un monstre, dit sérieusement Beth. Il ne se comporte pas toujours selon les règles admises par la société, mais il n’est pas cruel.

― Ah bon ? Alors comment définirais-tu la cruauté ? Je suis sincèrement curieuse de savoir ce qu’en pense Beth. Pour moi, Julian agit exactement comme quelqu’un de cruel, et peu importe ce que j’ai la bêtise de ressentir à son égard.

― La cruauté, c’est d’assassiner un enfant, dit Beth en fixant le bleu de la mer. La cruauté, c’est de vendre sa fille de treize ans à un bordel au Mexique… Elle s’interrompt un instant puis ajoute : Julian n’est pas cruel. Tu peux me faire confiance là-dessus. 

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― Me laisserez-vous partir un jour ? Je connais déjà la réponse, mais j’ai quand même besoin de l’entendre le dire.

― Non, Nora, répond-il, et je sais qu’il sourit dans l’obscurité. Jamais.

Alors il m’attire plus près de lui et me garde dans ses bras jusqu’à ce que nous nous endormions tous les deux.

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Du sang.

Du sang partout. La flaque d’un rouge sombre s’étend et s’accroît. J’en ai sur les pieds, sur la peau, dans les cheveux… Je sens son odeur, j’en suis couverte, j’en ai le goût dans la bouche. Je me noie dans le sang, j’en perds le souffle.

Non ! Assez !

Je voudrais hurler, mais impossible de respirer. Je voudrais bouger, mais je suis ligotée et la corde me rentre dans la chair quand j’essaie de me libérer.

Et je l’entends hurler. Des cris de souffrance et d’angoisse qui n’ont plus rien d’humain, des cris déchirants, dévastateurs qui mettent mon esprit à vif et le martyrisent comme sa chair est martyrisée.

Il lève une dernière fois le couteau et la flaque de sang s’étend à l’infini, un flot qui m’entraîne dans son sillage…

Je me réveille en hurlant son nom, mes draps sont trempés de sueur froide.

Pendant un moment, je ne sais plus où je suis… et puis je m’en souviens.

Je ne serai plus jamais à sa merci.

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Ensuite, il se dégage, roule sur le lit puis me prend dans ses bras et me serre contre lui.

Et je pleure dans ses bras, cherchant la consolation auprès de celui qui a provoqué mes larmes.

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