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Liste des extraits

Extrait ajouté par coued 2013-11-14T12:07:09+01:00

« Voici le temps où vont paraître, sous l’ourlet de la jupe, sous les cheveux de soie, le pied fourchu, la pointe torse d’une corne… Les démons d’un silencieux sabbat m’agitent, il faut que je rejette, en la maudissant, la douce forme où tu m’as emprisonnée… »

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Extrait ajouté par coued 2013-11-14T12:06:48+01:00

« Je crois que beaucoup de femmes errent d’abord comme moi, avant de reprendre leur place, qui est en-deçà de l’homme… »

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Extrait ajouté par coued 2013-11-14T12:05:38+01:00

C'est une chose assez douce, en somme, que de se sentir, à cause d'une rencontre émouvante, ou de l'éclaircie parfumée entre deux averses, ou pour rien, sans motif, de se sentir un peu bête, agitée et facile, et molle comme une jeune fille qui vient de recevoir sa prémière lettre d'amour.

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Extrait ajouté par coued 2013-11-14T12:05:35+01:00

Vous passez votre temps à mettre Jean en face de vous. C’est la posture du libertinage, sans plus. Mais l’habiter ! Le prendre en vous ! Le prendre en vous, le porter en vous, à ce point que sa lumière, toute ses manifestations caloriques de gaieté, de colère, de souffrance, de sensualité, au lieu de vous atteindre comme les autres, vous puissiez les croire projetées hors de vous-même, par l’effet de la plus orgueilleuse, de la plus sublime erreur !…

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Extrait ajouté par coued 2013-11-14T12:05:25+01:00

Si tu t'en vas, je peux mourir. Crois-moi, il se peut que je cesse d'exister à cause de ton absence, puisque je t'aime. Il n'y a pas de plus grand désastre que celui que tu causes, rien qu'en détournant de moi tes pas.

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Extrait ajouté par coued 2013-11-14T12:05:16+01:00

L'amour, c'est ce choc douloureux et toujours recommencé, contre une paroi qu'on ne peut pas rompre. Nous pouvions être deux amis, qui marchent parallèlement de l'un et l'autre côté de ce cristal dur, en ignorant qu'il nous sépare. Mais l'amour va nous jeter l'un vers l'autre, et je tremble de m'y briser la première, moi la plus fragile...

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Extrait ajouté par coued 2013-11-14T12:05:09+01:00

Et me voilà humiliée, qui épie ton sommeil. ô mon trésor de fruits épars sur la couche, se peut-il que je te dédaigne, parce que je commence à t'aimer ? Se peut-il, Beauté, que je te préfère l'âme, peut-être indigne de toi, qui t'habite ? Il y a donc maintenant des mots -jalousie, trahison, fidélité- qui noircissent l'éclat de ton nom, Beauté ?...

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Extrait ajouté par coued 2013-11-14T12:04:49+01:00

« Je le seconde, mais en arrière de lui, ralentie, adoucie, changée. Il me semble, à le voir s’élancer sur la vie, qu’il a pris ma place, qu’il est l’avide vagabond et que je le regarde, à jamais amarrée… »

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