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"- Il n'y a rien à comprendre. Le vrai sage ne craint pas la mort car il sait qu'elle n'est rien. La conscience ne souffre pas puisqu'elle a disparu. Avec la chair qui pourrit, c'est l'esprit qui pourrit aussi, et les désirs, et l'angoisse. Notre disparition, nous privant de toute possibilité de souffrance, doit être attendue comme une béatitude. C'est d'ailleurs le seul moyen d'être sage : envisager la mort comme une fête."
Afficher en entierAu lieu de s'inquiéter de ce qui se passera demain, les hommes feraient mieux de s'interroger sur ce qu'ils font aujourd'hui.
Afficher en entierIl nous faut encore un peu de patience, ce mot qui se prononce vite, cette vertu qui s'obtient difficilement.
Afficher en entierPour supporter ce monde, il faut renoncer à toucher ce qui te dépasse.
Afficher en entierCe n’est qu’en te repentant dans ton cœur que tu peux obtenir la rémission de ton péché.
Afficher en entierJ’ai peur.
Je doute.
Je voudrais me sauver.
Mon Père, pourquoi m’as-tu abandonné ?
Afficher en entierRépondre à l’agression par l’amour, c’était violenter la violence, lui plaquer sous le nez un miroir qui lui renvoie sa face haineuse, révulsée, laide, inacceptable. Mon frère en avait fui.
Afficher en entierCraterios dit, en se grattant pensivement la couille gauche :
- Personne n'a jamais ressuscité.
Je ne pus m'empêcher de lui aboyer aux oreilles :
- Comment peux-tu savoir à l'avance ce qui est vrai et ce qui n'est pas vrai ? Ce qui est possible et n'est pas possible ? Crois-tu vraiment tout savoir du monde créé ? Avant que tu vives, qui aurait pu imaginer qu'il existerait un individu aussi répugnant et inutile que Craterios ?
Afficher en entierRépondre à l'agression par l'amour . c'est violenter la violence . lui plaquer sous le nez un miroir qui lui renvoie sa face haineuse . révulsée . laide . inacceptable.
Afficher en entierC 'est très protecteur de dire du mal de soi . surtout si l'on sait trouver les bonnes formules : elles vous habillent.
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