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Prologue

Après une attente longue de plusieurs siècles, la patience de Torin était éteinte depuis longtemps. La femme qu’il convoitait était, enfin, presque sienne. Pendant des centaines d’années, il avait erré aux confins du globe, une ombre dans la vie de sa femme, toujours en alerte pour des signes d’agitation magique. Maintenant que le moment tant attendu était arrivé, être frappé par l’Éveil dans une coquette rue de banlieue à Long Beach, en Californie, semblait presque une blague. Une plaisanterie qui ne l’amusait pas du tout.

De l’autre côté de la rue, une cloche sonna, et comme des fourmis qui descendaient d’une colline, des centaines d’écoliers sortirent d’un bâtiment de stuc vert pâle. Leurs rires lumineux semblaient aigus pour un homme déjà sur la corde raide. Ses yeux gris se plissèrent derrière ses lunettes noires pendant qu’il observait les enfants qui se dispersaient dans la lumière du soleil. Le dernier obstacle entre sa femme et lui était tombé. Sa peau semblait électrifiée par la montée d’énergie dans l’air. Son sang grondait, et s’il avait eu un battement de cœur, il aurait tonné dans sa poitrine.

Une femme se précipita devant lui pour ramasser son enfant et elle lui lança un rapide coup d’œil, l’évaluant. Ses pas se firent plus rapides, son regard se détourna de lui, et elle encouragea son enfant à se déplacer plus vite, comme s’ils étaient pourchassés par des démons.

Il savait ce que voyaient les gens quand ils le regardaient.

Plus grand que la plupart des hommes, il avait de longs cheveux noirs qui tombaient librement sur ses épaules. Il portait un t-shirt noir qui s’accrochait aux muscles durs de sa poitrine et de ses abdominaux. Ses jeans noirs et ses rangers éraflés achevaient l’image menaçante. Son visage était mince et dur, et ses traits nets étaient sculptés avec des plans et des angles aigus. Ses yeux gris ne révélaient aucune de ses pensées.

Il avait exactement l’apparence de ce qu’il était.

Un guerrier.

Un tueur.

Un Éternel dont la seconde chance était enfin arrivée — et cette fois, il irait jusqu’au bout.

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Alors que les femmes se préparaient pour la nuit, des bruits résonnaient doucement dans la prison caverneuse. Des soupirs, des sanglots et des prières chu-chotées devenaient un murmure constant ; un peu comme la poussée du vent dans les arbres. L’obscurité avait sa vie propre. Les lumières fluorescentes éteintes, le seul éclairage provenait de la fenêtre étroite de chaque prisonnière. La vitre était sale, et au-delà du volet, il y avait d’épais barreaux que Shea présuma être également recouverts d’or blanc. Au moins, elle pouvait s’accrocher à une petite tranche de l’extérieur.

Seule dans sa cellule, elle faisait de son mieux pour s’isoler du murmure, du désespoir. Son lit fait, elle s’étendit sur le dur matelas et regarda par la fenêtre, souhaitant être n’importe où ailleurs.

Quelque part, Torin était en train de la chercher. Elle en était convaincue. Aucun homme ayant promis aussi sérieusement un rituel d’accouplement ne lui permettrait de lui échapper. Et maintenant qu’elle était en train de prier pour qu’il apparaisse, la question était la suivante : pourrait-il la retrouver ?

Elle ferma les yeux et concentra ses pensées sur le grand homme aux yeux gris farouches. Il s’était lui-même appelé « Éternel ». Son Éternel. Pourquoi cela lui paraissait-il familier ? Ce seul mot semblait résonner en elle. Elle visualisa son visage dans son esprit et concentra tout son être sur cette vision.

Comme c’est étrange, remarqua-t-elle distraitement, il y avait seulement quelques heures, c’était lui l’ennemi. Maintenant, il représentait l’espoir. Avant, elle s’était inquiétée qu’il soit en quelque sorte relié aux rêves et aux visions étranges qui l’avaient obsédée. Elle ne s’en souciait plus. Elle accepterait les rêves. Tout ce qu’il avait prévu pour elle devait être mieux que tout cela.

Son image fermement gravée dans son esprit, elle finit par s’endormir, et le rêve se manifesta.

Elle était chez elle, dans une petite maison à l’orée d’une épaisse forêt, avec un torrent à proximité. Un feu de tourbe brûlait dans le foyer, et des herbes étaient suspendues aux chevrons du plafond. Il y avait une grande fenêtre qui donnait sur un jardin qui, même au clair de lune, avait une allure luxuriante. Tout était à sa place. De chaudes couvertures et des coussins reposaient sur la paire de fauteuils tirés près du feu qui crépitait. Des casseroles et des pots tapissaient des étagères où étaient soigneusement empilés plusieurs livres précieux. Le lit était grand et bosselé, recouvert d’une courtepointe qu’elle avait elle-même assemblée.

Dans son rêve, Shea reconnaissait ce lieu. Elle était elle-même et en même temps, elle était quelqu’un d’autre. Quelqu’un à une époque différente. La femme qui habitait ici. Qui travaillait ici. Qui aimait ici.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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Extrait ajouté par Maura 2014-03-03T16:20:13+01:00

Elle sentit son érection frottant contre ses fesses, épaisse et dure à la fois, et ses paupières se fermèrent lentement alors qu'elle écartait ses cuisses pour lui.Il s'enfonçait en elle et les sensations érotiques qui naviguaient en elle lui coupèrent le souffle.Il la prit rapidement farouchement, une main sur sa hanche pour la maintenir en équilibre, l'autre sur son sein gauche pour continuer à tirer et à tordre son mamelon. Encore et encore,il s'enfonçait dans ses profondeurs, puis se retirait pour avancer de nouveau.Il l'emmena encore plus haut, et plus rapidement qu'il ne l'avait fait plus tôt, et Shea observa la scène dans le miroir.

Les traits serrés, son regard rivé au sien, il déplaça sa main se sa hanche à son centre, et au moment ou il la toucha elle frémit.Son corps se serra autour du sien, et l'ondulation des muscles l'étreignit,l 'emprisonnant,l'obligeant à se joindre à elle dans une autre libération chancelante.

-Regarde Shea. Regarde ton corps et le mien. Vois ce qui ce passe.

Il interrompit ce qu'il était entrain de faire, recula sa tête et souffla un léger courant d'air sur son sein.L'humidité de sa langue,suivie de son souffle doux,provoqua un frisson de fraîcheur et de plaisir sur sa peau.

-Nous devenons un avec les autres moitiés de nos âmes.

Nous cessons tout simplement d'exister et nous commençons à vivre.

Sa langue caressa le bout de son mamelon, et Shea soupira.Tant de choses avaient changé et si rapidement qu'il était presque impossible pour elle d'imaginer que c'était maintenant sa vie. Elle baissa les yeux sur la bouche de Torin sur sa poitrine et elle soupire de nouveau alors qu'une autre petite flamme rouge explosait de l'intérieur pour apparaître juste à côté de la première marque.

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