Commentaires

Pour moi ce roman est le plus décevant de la série. Il est censer nous parler de l'alpha légion, qui semble ne pas participer a l'histoire avant presque 200 pages. La fin est bien faite et innatendue. Par contre, les personnages et leur mentalité est trop surfaite.

Un des meilleurs romans de Dan Abnett. Legion aborde le sujet de la Légion la plus mystérieuse des Astartes et de leur réaction face à la trahison d'Horus. Tout comme les méthodes de combat de ces Space Marines, le roman suggère plus qu'il ne dévoile et commence à nous faire apercevoir un cadre plus grand qu'une révolte au sein de l'Humanité.

Une maîtrise impressionnante de la part de Dan Abnett, qui nous balade de bout en bout. Je le conseille à tous les fans de l'univers de Warhammer 40k.

Un des meilleurs de mon point de vue. L'Alpha Légion est la plus secrète et mystérieuse des légions Astartes et sûrement l'une des plus intéressantes à découvrir. J'aurai aimé qu'on ai plus l'occasion de les voir dans le livre mais c'est également ce qui fait leur secret.

Un bon livre qui permet de comprendre pourquoi l'Alpha legion bascule, dans quelles circonstances, et de fait, pour une fois on comprends VRAIMENT pourquoi la "trahison" (en est-ce une?), alors que pour d'autres légions c'est trop basique voire incompréhensible.

Le fin du bouquin est excellente, le reste est sympa et distrayant.

Alpha Légion et Chiliade 52 pour ce septième roman de L'Hérésie d'Horus et retour de l'auteur vedette de la licence.

La garde impériale et notamment la chiliade 52 est engluée dans une campagne de pacification sur Nurth qui utilise les pouvoirs du Chaos pour résister. L'Alpha Légion arrive à la rescousse, une légion jeune mais retorse, utilisant l'espionnage et autres tactiques barbouzardes y compris au sein de la garde. Mais qui a réellement appelé L'Alpha Légion ? La Cabale, un groupement Xénos plus ancien même que l'humanité, possédant lui aussi des espions, capable de monter des plans sur des décennies et dont l'objectif final est l'anéantissement de l'annihilateur primordial (le Chaos).

L'action se situe un peu avant L'Hérésie d'Horus et on y découvrira le pourquoi du ralliement de l'Alpha Légion au chaos. Pour la première fois dans la série, ce ne sont pas les Marines qui sont au centre du roman mais la garde impériale (Abnett aime bien les hommes (voir les fantômes de Gaunt) et moi aussi).

La structure de la Chiliade est très intéressante, même si, comme à son habitude, Abnett nous plonge dans son univers, directement dans le grand bain et sans brassards, et il faut avouer qu'on rame (on coule presque même) les 50 premières pages.

Quelques personnages comme John Grammaticus, espion de la Cabale, sont soignés, mais d'autres auraient mérité un développement plus complet, notamment au sein de la Chiliade.

Il faut aimer le style d'Abnett dans l'univers Wh 40k, souvent un peu aride, pas avare de détails mais parfois brouillon et pour connaisseurs. D'un autre côté, arriver au tome 7 de la série permet de se forger une petite culture Warhammerienne non ?

Ce septième roman de la collection "L'Hérésie d'Horus" nous entraîne deux ans avant le moment clé où Horus bascule l'Imperium dans la guerre civile. Ce livre est déconcertant de la façon que l'histoire se déroule. Les personnages sont attachants. L'Alpha Légion est très discrète dans les deux premiers tiers du bouquin et c'est visiblement sa marque de fabrique. Le coté déconcertant vient en grande partie du fonctionnement de cette légion Astartes. Ce livre m'a vraiment plu et je regrette même qu'il ne soit pas plus long car certains aspects de la trame et certains personnages l'auraient permis. J'aurais souhaité en savoir plus sur certains points comme la Cabale et la XXème Légion. Mais comme d'habitude, la marque de fabrique de Warhammer c'est que l'univers dans lequel évoluent tous ces personnages reste implacable et impitoyable. Dan Abnett reste très bon dans ce livre.