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Amélie caressa le bras de Dallas du bout des doigts, et l’étreinte qui l’enserrait se relâcha instantanément. Elle se retourna, comprenant qu’elle aurait toujours un espace de liberté absolue dans le cercle protecteur de ses bras.

« Je peux te poser une question ? » Il hocha la tête. Le soleil du matin filtrait dans l’alcôve, nimbant leurs corps nus enlacés d’une lumière dorée. Son magnifique regard saphir fixé sur elle, interrogateur, il attendait qu’elle parle. « Est-ce… Est-ce qu’il y a déjà eu une femme dans ta vie… ? » bafouilla-t-elle. Dallas se ferma brutalement. Ses yeux se plissèrent et elle le sentit résister. S’il te plaît, dis-moi que je compte, que je ne suis pas juste une parmi d’autres… Donne-moi une raison de rester…, pria-t-elle de toute son âme. Mais elle comprit qu’il ne répondrait pas. Amélie se hissa sur un coude et, du bout des doigts, commença à caresser son torse, cherchant à renouer le contact de la seule manière qu’il acceptait.

« J’ai besoin de savoir, de connaître ton passé pour comprendre… te comprendre. S’il te plaît, Dallas. »

Elle le vit serrer les mâchoires. Il la repoussa, se leva et, lui tournant le dos, il répliqua :

« Aucune femme.

— Tu plaisantes ! s’exclama-t-elle, surprise.

— Seulement des prostituées. C’est ça que tu voulais savoir ? » lâcha-t-il avant de se retourner, furieux. Il attrapa son jean avec l’intention de s’habiller. Pourquoi insistait-elle ? Ne comprenait-elle pas qu’il avait honte d’avoir dû payer des femmes parce qu’aucune ne se s’était jamais intéressée à lui de son plein gré ? « Ah, non ! Tu vas me parler cette fois, s’écria-t-elle. J’en ai assez de tes silences ! »

Amélie se redressa d’un bond, essayant de le saisir par le bras. Dallas esquiva sa main et elle perdit l’équilibre. Il tenta de la rattraper, mais, emportés par son élan, ils tombèrent… D’une torsion du buste, il réussit de justesse à faire en sorte qu’elle atterrisse sur lui sans se faire mal. Oubliant sa colère, Dallas attrapa la nuque d’Amélie et l’embrassa vivement. La sentant se détendre, il fit glisser ses mains caressantes sur son dos, ses hanches. Tout doucement, il la repoussa pour l’obliger à se redresser, à se mettre à califourchon sur lui. Il attrapa ses mains pour l’empêcher de cacher ses seins et les lui fit poser sur sa propre poitrine. Ses cheveux, déployés autour d’eux tel un voile doré, les isolaient du reste du monde.

« Viens », chuchota-t-il d’une voix rauque.

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"Il repensa à la première fois où il l'avait vue. Elle lui avait immédiatement plu. Elle était jolie, pas encore marquée par les rudes conditions de vie de l'Ouest. La veille, il n'avait pas supporté de voir ce sale type poser la main sur elle. La bagarre lui avait coûté une nuit en cellule à cause des dégâts au saloon, mais cela en valait la peine".

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« Alors c’est vous, la peste ! » s’exclama Donziapa quand sa nièce les eut présentées.

Devant le regard interloqué de sa jeune amie, elle expliqua :

« Dallas est passé ce matin. Il nous a interdit de rallumer le feu. Il a dit que nous avions déjà

attiré la peste, et qu’il fallait arrêter avant que le choléra ne rapplique aussi !

— Charmant ! » s’exclama Charlotte, vexée.

Naimi arriva à ce moment avec un problème nécessitant l’aide d’Amélie. Celle-ci s’éloigna et n’entendit pas Donziapa avertir Charlotte : « Dallas ne la laissera jamais partir. »

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« La nuit tombait déjà sur la sierra, et Amélie dut se résigner à camper. »

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Contente de son idée, elle enveloppa le savon dans le drap de bain pour pouvoir les tenir tous les deux d'une main et relever sa chemise de l'autre. Dés le premier pas, elle fut saisie par la fraîcheur de l'eau.

- Ce n'est pas comme si j'avais le choix, marmonna-t-elle marchant résolument.

Elle avait de l'eau aux mollets quand le sable fut remplacé par de petits cailloux qui lui piquèrent désagréablement les pieds. Elle en était au-dessus des genoux lorsqu'elle arriva sur des roches plates et glissantes. Avec précaution, elle continua à progresser. Mais soudain, son pied dérapa sur une pierre moussue, et perdit l'équilibre. Elle tomba les fesses au fond. La première vague la submergea, et l'eau finit par se stabiliser au niveau de sa poitrine. Amélie toussa, recracha ce qu'elle avait avalé.

- C'est malin ! s'exclama-t-elle, furieuse.

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Sunday surgit soudain, semblant sortir de nulle part, dangereusement silencieux. Amélie fut tétanisée de peur, et avant même qu'elle ne parvienne à esquisser le moindre geste de fuite, le monstrueux chien-loup se jeta sur elle, la faisant tomber à la renverse. Elle hurla de terreur puis eut un hoquet quand une langue rose et râpeuse lui débarbouilla la figure. Elle réalisa que l'énorme créature voulait juste jouer. Un éclat de rire spontané lui échappa alors qu'elle essayait de repousser l'animal vautré sur elle qui jappait joyeusement. Avec bien du mal et beaucoup de câlins, elle réussit à se relever. Sunday ne fit qu'une bouchée du biscuit qu'elle lui offrit.

- Tu peux te vanter de m'avoir fait une sacrée peur ! Tout en continuant de caresser la tête du loup qui battait de la queue en se collant à ses jupes, elle se remit en marche.

- En fait, tu es un vrai chien de salon, pire que le caniche de la voisine, l'accusa-t-elle en riant. Un gâteau et des grattouilles, et tu deviens complètement inoffensif !

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"Si elle acceptait, elle aurait un refuge et un protecteur contre tous les autres. Un endroit où elle serait en sécurité jusqu'à ce qu'elle puisse contacter sa famille (....). Ce qu'il lui proposait avait un nom....mais elle se refusa à y penser de cette façon. Elle devait être pragmatique, dure. Elle devait faire ce qu'il fallait pour survivre. C'était une des leçons qu'elle avait retenues de cette maudite guerre. Subir un seul homme respectueux serait moins pénible qu'être à la merci de tous les autres".

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"-En attendant, il me faudra un travail. Vous ne connaîtriez pas quelqu'un qui cherche une infirmière, une garde-malade, voire une bonne à tout faire ?

Le cowboy prit un long moment pour réfléchir avant de prendre la parole. Dans la semi-obscurité, elle ne voyait de lui que son profil à la barbe fournie sous le rebord de son chapeau.

-J'ai un ranch et j'ai besoin de quelqu'un....

-D'accord, répondit-elle un peu trop vite.

-Je vis seul, précisa-t-il en la fixant soudain. Amélie frissonna et n'eut pas besoin d'autres explications. L'offre était claire. Un instant, elle se reprocha d'avoir abordé le sujet, puis réalisa qu'il se serait imposé de lui-même à un moment ou à un autre. Cet homme était aussi seul que tous les autres dans cette région, avec les mêmes besoins, les mêmes désirs....".

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"-Dallas.

-Pardon ? Sursauta-t-elle, s'arrachant à sa contemplation.

-Mon nom.

-Dallas....Et quel est votre nom de famille ? S'enquit-elle quand elle se fut reprise, réalisant, étonnée, qu'elle avait dormi avec un inconnu.

-Juste Dallas. Il se tourna et la fixa droit dans les yeux. Amélie en eut le souffle coupé. Jusqu'à cet instant, elle ne s'était jamais confrontée à son regard. En fait, elle n'aurait été capable ni de décrire son visage, ni la couleur de ses yeux. Ses iris étaient....incroyables. Amélie n'avait vu de sa vie une telle teinte que pour des saphirs : un bleu tout à la fois soutenu et translucide. De véritables pierres précieuses. Et son regard était aussi dur que ces gemmes. Aucun sentiment, aucune pensée ne transparaissait de leurs profondeurs....abyssales. Surprise, elle mit quelques secondes à réagir et finit par murmurer : Je m'app....m'appelle Amélie Beaumont...". Un léger hochement de tête lui répondit. Un instant, elle crut qu'il voulait dire "je sais !" mais le geste voulait sans doute juste dire "oui".

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"Elle qui avait été courtisée par de véritables gentlemen...Elle dont le père avait refusé trois demandes en mariage parce que les prétendants n'avaient pas une lignée assez ancienne et prestigieuse pour une Beaumont de Charleston. Elle allait perdre son innocence dans les bras de ce cowboy mutique, un être grossier et sans éducation. Sa mère l'aurait qualifiée de "rustre". Tout cela à cause de la guerre. Quelle déchéance !".

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