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Extrait ajouté par bellajessica 2019-12-12T08:19:33+01:00

– Comment ça ? Quelle partie dégueu ?

– Ben, c’est simple… J’ai lu quelques-uns de vos bouquins. En fait, je les embarque dans les toilettes la nuit… Et, par exemple… Les nanas se jettent sur des sportifs en plein effort, et leur roulent des pelles, les pelotent et tout le bazar…

– Et donc ?

– Et donc, les filles, un mec qui fait du sport, ça pue, c’est collant et crade… Et je ne parle pas de l’haleine. Pareil pour les toilettes… Vos héroïnes, là, elles ne vont jamais aux toilettes ? Bonjour le tue-l’amour, ça… Parce que, nous sommes bien d’accord que les odeurs, parfois… enfin bref… Et les pets, on en parle ? Et les ronflements ? Et alors, parfois, ils se roulent même des galoches au réveil… Sérieux ? Donc, ça, ma grande, tu ne le retrouveras jamais dans la vraie vie… Un mec qui te sent les aisselles à la fin de la journée, ou mieux, qui te masse les pieds en te suçant les orteils sans que tu sois passée par la case douche, ça n’existe pas… Ou alors, le mec est un fétichiste, et dans ce cas, je préconise la fuite…

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Extrait ajouté par LiliMatoline 2019-12-17T16:44:36+01:00

Chapitre 1 :

Laly

Opération romance

«...Silence pesant dans la pièce. Je fronce les sourcils avant d’oser demander de plus amples explications. Ce mec est épuisant, c’est incroyable.

– Comment ça « les culottes » ? Je ne vais pas demander aux hommes de m’offrir des culottes, non ? J’imagine bien : « Si tu veux m’offrir un truc, je suis une fan de culottes, surtout n’hésite pas » ! Stan, tu sais que tu devrais quand même aller consulter ?

– Non, Laly ! répond-il en levant les yeux au ciel. Je parle du niveau d’humidité de tes culottes. Genre, ton boss, deux culottes noyées. Le biker, en revanche, une simple petite humidité à peine perceptible… Et hop, la culotte a parlé, le boss remporte ! Enfin, tu vois l’idée ?

Je vois surtout qu’il a vraiment un problème. J’en ai marre de ce type !

– Je trouve ça pas mal !

Et Gaëlle qui plussoie ! Non, mais sérieusement, comment voulez-vous que j’avance avec des meilleurs amis pareils ? Je suis cuite, destinée à la solitude éternelle, le Piou-piou, moi je vous le dis.

Je m’enfonce dans le canapé, l’esprit épuisé.

– Mouais. On verra pour ça.

Stan hausse les épaules, détaché.

– Bon, peu importe, de toute manière, c’est ton problème à toi. Si tu préfères risquer une petite mare asséchée comme en plein désert alors que les chutes du Niagara t’attendent, libre à toi. Tu ne viendras pas te plaindre.

– Il n’est pas question de ça, Stan ! m’énervé-je. Simplement, il n’y a pas que la culotte qui compte dans la vie !

– Waouh ! Ça c’est de la citation. Je te la pique, ça peut toujours servir !

Je lance un regard noir à Gaëlle qui remporte à l’instant la palme de la meilleure amie super chiante qui n’aide absolument pas...»

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Extrait ajouté par mistressangie60 2022-02-22T09:46:57+01:00

– Alors, vous vouliez du biker, vous avez du biker !

Je jette un oeil entendu aux filles, et nous éclatons tout simplement de rire.

– Bon, je crois que pour le coup, nous nous sommes mal comprises, Lola… Moi, je veux du biker, pas du motard à la retraite !

Petit état des lieux : autour de nous se trouvent des conducteurs de motos, certes. Tous affublés de vestons en cuir, la bière à la main, portant fièrement l’écusson de leur club dans le dos… Pour le coup, nous sommes bien dans l’un de mes clichés favoris… Mais pour le reste… Comment expliquer en quelques mots : cheveux longs, gras et souvent clairsemés, voire grisonnants. Fringues larges et souvent peu nettes. Ça, encore, à la limite… Je n’achète pas du fromage en fonction de l’emballage… Mais le problème, le vrai souci dans ce cas précis, c’est la tronche des fromages eux-mêmes. Grassouillets, maigrichons, d’allures peu attirantes et même bourrues, absolument pas soignés, pas l’ombre d’un muscle saillant et appelant au viol, ni même de beau minois à fossettes, et encore moins de sourires carnassiers pouvant à eux seuls dérégler nos thermostats internes.

Tout ce que je vois autour de moi, c’est l’antithèse du canon romanesque réunie dans son intégralité dans un même lieu.

– Mais ils sont où les mecs beaux comme des dieux, Lola ? s’enquiert ma coloc adorée, aussi surprise que moi.

L’interpellée éclate d’un rire ironique.

« Beaux comme des dieux » ? Je ne vois pas de quoi tu parles… Le seul mec pas mal dans le club, c’est Archy, mais il doit avoir passé la cinquantaine, facile ! Et Pete, le barman… Mais lui, il n’y a que le poney de ma grand-mère qu’il n’a pas monté…

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Extrait ajouté par mistressangie60 2022-02-10T15:39:37+01:00

Je ferme puis ouvre à nouveau le livre, et relis les dernières paroles de l’auteure. « La romance, quoi qu’il advienne, existe autour de nous… »

Ben voyons… Je l’aime bien, elle, mais parfois, faut qu’elle arrête. Je ne sais pas sur quelle planète elle virevolte, ou à quelle herbe elle tourne, mais, franchement… Il suffit de jeter un oeil par ma fenêtre, d’apercevoir le ciel menaçant même au mois de mai, mon voisin d’en face, constamment ivre et bedonnant qui passe son temps totalement à poil pour comprendre que, s’il y a romance autour de moi, c’est bien enterrée ou fortement grimée en vie misérable.

Mes yeux se posent sur la suite de la phrase de cette auteure à moitié illuminée : « Il suffit de la trouver… »

Ah, ben, oui, forcément ! Suis-je bête ! Demain, je vais frapper à la porte du prince charmant et hop, romance, luxe et grand amour… Merci pour ce précieux conseil

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Extrait ajouté par hataway3 2021-01-04T05:15:41+01:00

– Comment ça ? Quelle partie dégueu ?

– Ben, c’est simple… J’ai lu quelques-uns de vos bouquins. En fait, je les embarque dans les toilettes la nuit… Et, par exemple… Les nanas se jettent sur des sportifs en plein effort, et leur roulent des pelles, les pelotent et tout le bazar…

– Et donc ?

– Et donc, les filles, un mec qui fait du sport, ça pue, c’est collant et crade… Et je ne parle pas de l’haleine. Pareil pour les toilettes… Vos héroïnes, là, elles ne vont jamais aux toilettes ? Bonjour le tue-l’amour, ça… Parce que, nous sommes bien d’accord que les odeurs, parfois… enfin bref… Et les pets, on en parle ? Et les ronflements ? Et alors, parfois, ils se roulent même des galoches au réveil… Sérieux ? Donc, ça, ma grande, tu ne le retrouveras jamais dans la vraie vie… Un mec qui te sent les aisselles à la fin de la journée, ou mieux, qui te masse les pieds en te suçant les orteils sans que tu sois passée par la case douche, ça n’existe pas… Ou alors, le mec est un fétichiste, et dans ce cas, je préconise la fuite…

Je secoue la tête, écœurée.

– Non, mais Stan… Les détails, on n’en a pas réellement besoin…

Il retire sa chaussure et sa chaussette et tend le pied vers moi.

– Un détail, tu dis ? Vas-y, suce-moi l’orteil, Laryrette… Ose me dire que c’est sensuel !

C’est bon, j’ai envie de vomir.

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Extrait ajouté par hataway3 2021-01-04T05:13:13+01:00

Dommage qu’il s’autoproclame le roi des connards. Cela dit, je le garde dans un coin quand même. Le connard est aussi un personnage très bon pour la romance, ne lui en déplaise. Et d’ordinaire, le connard est réputé pour baiser comme un bon dieu de professionnel du cul !

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Extrait ajouté par hataway3 2021-01-04T05:12:24+01:00

– LALY ! N’oublie pas la poubelle ! C’est ton tour. Cuite ou pas, tu n’y coupes pas ! Y a des mouches !

Je grogne à l’attention de mon insupportable coloc – on y revient à ce titre, mais pas pour les raisons de romances.

– Les mouches, c’est toi qui les intéresses, pas la poubelle ! T’as senti tes pieds dernièrement ?

– CONNASSE !

– TÊTE DE BITE !

– BON, VOUS ARRÊTEZ VOUS DEUX ? JE SUIS EN APPEL AVEC SOLENDRO !

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Extrait ajouté par hataway3 2021-01-04T05:10:33+01:00

Non, je ne suis pas certaine du tout. Je veux rester ici, à espérer un baiser, toute la nuit, peut-être toute la vie, et encore après… Je l’ai eu ma romance, mais elle vient déjà de se terminer avant même de commencer.

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Extrait ajouté par hataway3 2021-01-04T05:09:28+01:00

N’oubliez pas, la romance, quoi qu’il advienne, existe tout autour de nous… Il suffit de la trouver…

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Extrait ajouté par Coralie-57 2020-04-04T12:48:45+02:00

– Comment ça « les culottes » ? Je ne vais pas demander aux hommes de m’offrir des culottes, non ? J’imagine bien : « Si tu veux m’offrir un truc, je suis une fan de culottes, surtout n’hésite pas » ! Stan, tu sais que tu devrais quand même aller consulter ?

– Non, Laly ! répond-il en levant les yeux au ciel. Je parle du niveau d’humidité de tes culottes. Genre, ton boss, deux culottes noyées. Le biker, en revanche, une simple petite humidité à peine perceptible… Et hop, la culotte a parlé, le boss remporte ! Enfin, tu vois l’idée ?

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