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L'Homme qui pleure de rire



Description ajoutée par Cacoethes-scribendi 2019-12-16T16:25:09+01:00

Résumé

Octave Parango a été concepteur-rédacteur dans les années 1990, model scout dans les années 2.000 . Le voici qui découvre dans les années 2010 un nouveau métier…

Après 99 Francs sur la tyrannie de la publicité et Au secours pardon sur le marchandisation de la beauté féminine, ce nouveau roman satirique, hilarant et désespéré clôt la trilogie d’Octave Parango sur les aliénations contemporaines.

Tout est malheureusement vrai (et vécu) dans cette satire, hilarante et désespérée, des dérives de notre société de divertissement.

(source : éditions Grasset)

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Classement en biblio - 38 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par dreamygirl 2023-06-28T08:51:34+02:00

Tout d’un coup, les réseaux sociaux permettaient de cibler les annonces publicitaires en temps réel sur chaque consommateur, individuellement, au moment le plus efficace. Octave prétendait qu’il haïssait les réseaux sociaux parce qu’ils espionnaient nos secrets pour les vendre à des entreprises. La réalité est qu’il leur en voulait surtout de lui avoir piqué son boulot. À présent, tout le monde pouvait être Octave. À titre d’exemple : lorsque le groupe Condé Nast avait demandé à Octave d’animer la Cérémonie des Hommes de l’Année il y a dix ans, le magazine GQ avait loué le musée d’Orsay et invité trois cents personnalités à souper. Cette année, ils l’avaient rappelé pour animer de nouveau la cérémonie… debout sur une estrade, dans un restaurant gratuit. Il avait annoncé les lauréats comme s’il animait la Semaine de la Saucisse de Morteau dans un hypermarché. Ce qui étonnait Octave, c’était que les journalistes n’aient pas vu venir la révolte du prolétariat alors… qu’ils en faisaient partie. La dèche concernait tous les secteurs médiatiques. Les politiciens n’avaient même plus besoin de nous pour être élus ! On voyait d’anciens ministres tapiner pour trois sous sur C8, d’ex-vedettes de la télé vendre leur podcast ou créer leur chaîne YouTube que personne ne regardait, et même une ancienne miss météo au chômage mendier du fric sur Instagram. Le déclassement touchait tous les flambeurs des années nonante sans exception. Ils faisaient moins les fiers qu’au Jane’s Club de Cannes en 1992… où Octave avait tapé de grosses lignes de poudre blanche à quatre pattes sur le couvercle de la cuvette des chiottes avec les dirigeants de sa chaîne à péage ainsi que le CEO de l’agence Publicis, mort peu après, du même cancer que Jean-Luc Delarue.

Et aujourd’hui sur France Publique

Parango gagnait moins que le SMIC.

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Commentaires récents

Pas apprécié

Le dernier tome de la série d'Octave Parango, alter ego jumeau de Beigbeder, me laisse une impression de sale dans la bouche. Le quatrième de couverture annonce une dénonciation de la dictature du rire? Eh bien, en cela, l'argument et les propos sont faibles. L'auteur passe plus de temps à régler ses comptes avec France Inter (on y reconnait sans problème les protagonistes qu'il cite) et à pleurnicher sur "J'étais mieux avant, je ne me reconnais pas dans ce monde". Il a son petit mot acerbe sur tout et tout le monde et ne cesse de se faire passer pour une victime Certes, il a de la verve et de la culture, mais son nihilisme destructeur le tire tellement vers le bas qu'on finit la lecture avec un parfum de néant narcotique et accablant.

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Pas apprécié

Quatre jours pour venir à bout de ce livre . vraiment pas mon genre de lecture , sans intérêt , écrit par et pour des parisiens du meme monde qui se complaisent dans la drogue, l'alcool et le sexe .

Au début une analyse pertinente mais brève sur les humoristes puis çà part en vrille. C'est décousu et il nous propose que des délires sous l'emprise de drogue et du sexe.

j'avais abandonné la lecture de Windows on the world emprunté à la bibliothèque il y a quelques années .

Celui-ci m'a été offert mais me conforte dans l'idée que je ne lirais plus cet auteur

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Argent

Beigbeder, ou plutôt son double littéraire, Octave Parango, relate les heures qui ont précédé son éviction de France Inter (ici France Publique). Savoureux et ludique. Même si ce n’est pas le meilleur de la trilogie !

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Commentaire ajouté par Virgile 2020-04-11T16:18:25+02:00
Argent

Du Beigbeder comme on aime, avec de l’humour, de l’autodérision, du snobisme et une plume efficace. Tout ce que ceux qui aiment l’auteur aiment y est, ce qui n'était pas forcément le cas avec le livre précédent. Une lecture détente.

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Or

Règlement de compte d'un incompétent non professionnel se dira le lecteur au fait de l'affaire du licenciement de Fred de France Publique (à moins que ça ne soit un autre nom).

Peut-être, sans doute même, mais comme d'habitude avec l'écrivain que l'on aime détester, car quoi qu'on en pense, le talent est bien là, aussi horripilant soit-il.

Comme toujours, l'autodérision sauve le bonhomme, ne peut que le rendre innocent face à ce dont on aurait bien voulu l'accuser en débutant son autofiction et parvient à rendre pertinente sa charge d'une violence inouïe, à l'humour d'une acidité provoquant un reflux gastro oesophagien contre la société rigolarde. La manière dont il revisite son passé est également savoureuse, et la fin bouleversante.

Un grand bravo.

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Or

Octave Parango signe ici son retour. Après avoir travaillé dans le monde de la publicité, dans celui de la mode, le voilà maintenant chroniqueur pour la radio France Publique. Il va malheureusement se faire évincer en plein direct, puisqu’il est venu sans son papier et s’est risqué à l’exercice compromis de l’improvisation. Bien évidemment, cela ne marchera pas de la manière escomptée.

Je dois avouer que c’est le premier opus de la saga Octave Parango que je découvre ici. J’en connaissais bien évidemment le principe, ce personnage littéraire étant en fait l’alter ego de Frédéric Beigbeder. Impossible de ne pas voir le parallélisme avec l’évincement de l’auteur auprès de la radio France Inter.

Je pensais que j’allais me retrouver en quelque sorte avec un roman critiquant le monde radiophonique et j’ai donc été surprise de me retrouver devant un pamphlet contre la démocratisation du rire.

L’auteur y dénonce cette volonté d’aujourd’hui à vouloir à tout prix fixer des heures fixes pour rire. En effet, c’est lors de la tranche horaire de son espace radiophonique qu’Octave devra tout faire pour faire rire ses auditeurs. La banalisation du rire le fait paraître anodin.

L’auteur a parsemé son récit de réflexions très intéressantes et surtout, le personnage d’Octave Parango est si haut en couleurs que cela donne, bien malgré lui, des moments de rires inopinés.

La plume de l’auteur est franche, directe et emplie d’une certaine fraîcheur. J’avais un peu peur de me retrouver devant un style alambiqué et finalement, cela a été loin d’être le cas. J’y ai retrouvé beaucoup de propos caustiques, et j’ai gardé en vue que derrière Octave, c’est souvent Frédéric qui s’exprimait. Ma première expérience littéraire avec cet univers a été une franche réussite.

Un très bon roman qui sort des sentiers battus, de par une plume acerbe et caustique, des propos emplis d’une vraie réflexion et surtout un personnage principal qui sert indubitablement un roman frais et entraînant.

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Or

Un roman original, incisif, souvent loufoque et mordant sur les travers de la société française. What else? Un ouvrage qui a le mérite de nous faire réfléchir, de nous faire découvrir l’envers du décor et de nous emmener souvent dans le nonsense à la Britannique que j’aime tant ! Des interrogations, des réflexions, des analyses sous-jacentes d’une société qui marche sur la tête…

Un pur moment de lecture-bonheur !

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Commentaire ajouté par Lemur 2020-01-27T22:30:28+01:00
Or

Une vraie réflexion sur le temps qui passe ! Et avec Beigbeder le temps passe très vite!

Un de ses meilleurs romans.

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Date de sortie

L'Homme qui pleure de rire

  • France : 2020-01-02 (Français)

Activité récente

Noyau l'ajoute dans sa biblio or
2021-07-11T22:14:35+02:00

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 38
Commentaires 8
extraits 10
Evaluations 10
Note globale 6.7 / 10

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