Extraits

Tom n'avait jamais porté de cockring mais il savait que l'anneau était destiné à empêcher sa queue de grossir d'avantage en contrôlant l'afflux de sang dans son membre viril. Lorsque son maître recommença à le branler, Tom en sentit immédiatement les effets. Le sang voulait monter, mais l'anneau l'en empêchait. C'était comme s'il avait envie d'uriner mais ne pouvait pas. La sensation était étrange mais pas déplaisante.

- Mets-toi à quatre pattes, Tom, ordonna le maître.

Tom obéit immédiatement, bien que toujours un peu gêné lorsqu'on lui faisait exposer son anus. Le maître sortit un gode noir de taille respectable du sac, mais assez court et avec le bout légèrement recourbé. Des sangles de cuir noir pendaient de la base. Il le mit contre les lèvres de Tom, qui ouvrit la bouche et le lécha soigneusement. Son maître lui fit un sourire d'approbation avant de lubrifier généreusement l'objet.

Tom sortit de la douche et se sécha rapidement. Il laissa la serviette dans le panier à linge. Il fut reconduit dans sa chambre par deux gardes aussi nus que lui, ne serait-ce que par le baudrier en cuir qu’ils portaient et qui leur permettait d’avoir matraque et sifflet à portée de main.

Cela faisait maintenant deux semaines qu'il avait été enlevé alors qu'il séjournait dans une petite île perdue de Grèce, loin de son Londres natal. Personne ne savait qu'il était ici mais Tom se souciait de moins en moins d'être secouru.

Il avait été terrifié lorsqu'il avait été amené ici, attaché et bâillonné. Un homme blond, un peu plus âgé que lui, au corps d'athlète, lui avait expliqué qu'il était désormais prisonnier et qu'il pouvait devenir son esclave sexuel ou bien être livré à un bordel pour hommes où il serait violé jusqu'à être brisé.

Le maître sourit.

- Je vais clamer devant tous que tu es mon esclave et que personne d autre que moi n a le droit de te toucher. Ensuite, je te baiserai.

- Devant tout le monde ? s exclama Tom en sentant le rouge monter à ses joues.

- Ca fait partie de la proclamation, lui répondit simplement son maître. Je te ferai jouir et crier ton plaisir devant tous les autres maîtres.

- Je ne pourrais jamais jouir devant d autres personnes ! s écria Tom.

- Plains-toi, moi j étais vierge, sourit John. Au moins tu sais à quoi t attendre.

- Et tu as réussi à jouir ? demanda Tom, incrédule.

- J ai crié si fort que j ai dû assourdir la moitié de l île, répondit l autre esclave en riant.