L'immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes
Auteur
- Karine Lambert (Écrivain)
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extrait
L’amitié, tu sais, c’est comme une écharpe très douce dans laquel on s’enroule. Tu partages ça avec ton ami Max, c’est ton vieux pull en cachemire à toi.
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Elles s'appellent Simone, Rosalie, Gisuseppina, la Reine, et aujourd'hui c'est avec un pincement au coeur qu'elles accompagnent Carla à l'aéroport pour un voyage de quelques mois à destination de Bombay.
Toutes habitent le même immeuble dans Paris, toutes s'apprêtent à accueillir Juliette, la nouvelle locataire venue occuper provisoirement l'appartement de Carla pendant son absence...
C'est le premier roman de l'auteur et c'est la quatrième de couverture qui m'a incitée à acheter ce livre.
Karine Lambert signe-là un roman fort sympathique qui décrit le parcours de ces femmes qui ont choisi de renoncer aux hommes et qui s'en font une ou plusieurs raisons.
C'est un roman plaisant, écrit avec beaucoup de simplicité, un regard tendre sur des locataires qui évoquent leur enfance, leur passé, leurs déceptions, leur envies. L'occasion d'y faire la connaissance de six femmes âgées de 37 à 70 ans, six femmes que l'on suit à travers leur quotidien, lorsqu'elles font leurs courses, vont à la piscine ou à leur cours de danse, se retrouvent les unes chez les autres pour jouer aux cartes, écouter de la musique, cuisiner, savourer un thé, se rouler un pétard, bricoler... une vie de routine, en somme, que l'auteur nous raconte avec beaucoup d'affection et un attachement pour ces femmes qui s'entendent comme larrons en foire, chantent à tue-tête et n'autorisent aucun homme dans leur vie... à part Jean-Pierre ce brun-roux poilu, aux yeux couleur d'ambre, à la queue en panache et agile sur ses... pattes.
J'ai pris un plaisir certain à être en compagnie de ces "phénomènes", mais ce que j'attendais aussi, c'était de voir de quelle façon la nouvelle venue allait mettre la révolution dans l'immeuble. Car Juliette, pour qui une vie sans hommes est "une vie sans sel, sans sucre, sans piment, sans miel", ne conçoit pas du tout que ces cinq copines puissent se passer de la présence d'un homme dans leur vie. Mais tout se fait en douceur, le rythme est posé, tranquille... et c'est sur ce point précis que j'ai été un tout petit peu déçue, je m'attendais à plus d'effervescence... dans un autre tome peut-être...
En tout cas, c'est un premier roman bien sympa et un auteur qui gagne à être connu.
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Portraits de différentes femmes qui ont renoncé aux hommes. On s'attend à la fin, dommage
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Un titre qui me qui m'a attirée malheureusement je 'ai pas forcement accrochée.
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Bonne lecture... entre désespoir et espoir. Attachement, solidarité, humour
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Je ressort assez mitigée de cette lecture. Les personnages de l'immeuble de la Reine sont toutes touchantes, mais l'histoire racontée, ou plutôt exposée au lecteur est finalement assez oubliable. Ce qui rattrape le roman, c'est l'alchimie entre ces femmes, leurs vies qui se croisent et leurs opinions qui se confrontent, et cette petite étincelle de joie qui explose quand elles sont toutes ensemble.
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Une histoire plate, sans intérêt, aucun rebondissement.
On s'ennuie dans ce récit qui n'est pas drôle et banal.
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Une courte histoire sympa sans grand suspense, il ne s'y passe pas grand chose dans cette immeuble finalement.
Seulement une bande de copines/voisines frustrées néanmoins j'ai aimé le personnage de Juliette , un personnage auquel on s'attache au fils des pages qui se tournent.
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Il ne m'a fallut que quelques pages pour refermer ce livre et en conclure qu'il n'était pas pour moi
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Je ne m'attendais pas à ça avec parfois un récit un peu décousu. Mais j'ai aimé les personnages qui sont décrits, l'originalité de l'histoire ainsi que cette jolie fin.
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Une belle petite pépite, j'ai vraiment bien aimé le destin de ces femmes qui se lient et se liguent contre les hommes, l'amour et tous les rêves inaccessibles, puisqu'en vérité elles ne s'en donnaient peut-être pas les moyens. Juliette est là comme un vent de fraicheur pour leur ouvrir les yeux en quelque sorte. il y a beaucoup de réflexions, à la fois "feel-good" et par rapport à leurs vies passées qui m'ont interpellé. J'ai aimé la fragilité et la force qui émaillent le cœur de toutes ces femmes, de la présence masculine et seule autorisée, du chat nommé Jean-Pierre. Des histoires d'amours du passé qui sont sans fard puisque la désillusion est venu peindre une couche terne sur leur romance. J'ai aimé ces rencontres, ces discussions pendant le thé, ses repas conviviaux autour de la Reine. Je pense que je lirai d'autres livre de cette auteure, j'aime sa plume et sa vision de la vie, aussi aiguisée et sans masque que la vie elle-même. Bonus pour Gui, sicilienne, qui a donné son charme à l'histoire, de mon point de vue ( j'ai un petit faible pour les italiens et tous les méditerranéens du même genre... )
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Une histoire agréable, qui se lient, qui pousse à la réflexion, tout en douceur, avec beaucoup d'humour.
Attention tout de même à ne pas trop diaboliser les hommes !
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dates de sortie
L'immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes
- France : 2014-05-07 (Français)
- France : 2015-06-09 - Poche (Français)
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Editeurs
Résumé
Cinq femmes d’âges et d’univers différents cohabitent dans un immeuble parisien. Elles ne veulent plus entendre parler d’amour et ont inventé une autre manière de vivre. L’arrivée d’une nouvelle locataire va bousculer leur équilibre. Juliette est séduite par l’atmosphère chaleureuse de cette ruche, à un détail près : l’entrée est interdite aux hommes. Va-t-elle faire vaciller les certitudes de ses voisines ou renoncer, elle aussi ? Ce roman vif et tendre oscille entre humour et gravité pour nous parler de la difficulté d’aimer, des choix existentiels, des fêlures des êtres humains et de leur soif de bonheur. On s’y sent bien.
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