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Extrait ajouté par x-Key 2010-12-11T00:17:58+01:00

Quand un homme a vraiment aimé une femme, pour lui l'histoire n'est jamais finie.

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Extrait ajouté par Cathy2909 2019-05-28T11:59:21+02:00

"En famille, il y a des sujets tabous, des choses auxquelles on ne fait jamais allusion, et au bout d'un certain temps il devient tout à fait impossible de les évoquer, encore moins de s'expliquer." (p 366)

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Extrait ajouté par Cathy2909 2019-05-28T11:57:09+02:00

"A mon âge, les souvenirs ont quelque chose d'encombrant, tu le constateras quand tu seras vieux." ( p 362)

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Extrait ajouté par Cathy2909 2019-05-28T11:55:34+02:00

"Cette espèce d'héritage moral de nos ancêtres, avec leurs émotions, leur vécu, et aussi les deuils qu'ils n'ont pas pu achever et qu'on reprend à son compte." ( p 283)

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Extrait ajouté par Bibounine 2018-08-07T19:45:19+02:00

Au début, il n’avait pas cru qu’elle irait au bout de ses études de médecine, persuadé qu’elle voulait juste faire comme papa, comme Adrien, et que la route serait trop longue pour elle. En outre, ayant obtenu son bac à seize ans, elle était dérisoirement jeune pour cette première année de fac, bouclée non sans mal. Mais elle s’était accrochée, avec son âpreté coutumière, et, une fois son doctorat de médecine en poche, elle avait poursuivi par une spécialité de pneumo. Toujours un peu incrédule quant à ses motivations, mais plutôt flatté de sa réussite, Henry lui avait alors offert d’entrer dans sa clinique de Saint-Germain, ce qu’elle avait refusé. Elle préférait le secteur public, l’ambiance d’un grand hôpital, elle voulait se « confronter à la réalité », selon son expression. Et peut-être n’avait-elle pas eu tort, Henry ne disposant pas vraiment d’un poste de pneumologue à plein temps dans sa polyclinique.

Une affaire en or, cet établissement situé en plein cœur de Saint-Germain-en-Laye. Il avait eu le nez creux en investissant là vingt ans plus tôt. À l’époque, il voulait désespérément quitter Albi pour monter à Paris. L’état mental de Camille commençait à se dégrader, elle frôlait la dépression, il devait l’arracher à son obsession, et cet impératif familial correspondait tout à fait à ses ambitions professionnelles. Sans hésiter, il avait consacré l’essentiel de sa fortune à acquérir des parts de la clinique et s’était endetté pour s’offrir cet appartement de grand standing dont les fenêtres donnaient sur un somptueux parc. Camille avait apprécié l’endroit, leur nouvelle vie l’avait apaisée un temps.

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Extrait ajouté par Bibounine 2018-08-07T19:44:50+02:00

Elle le savait, résignée d’avance à la lenteur du deuil et soulagée d’avoir passé le cap de cet enterrement qui lui avait paru insurmontable. Perdre sa mère était la pire chose qui lui soit arrivée ; à trente-deux ans elle n’avait pas connu de vrai drame, sauf peut-être cette douloureuse séparation d’avec Samuel, qui les avait meurtris autant l’un que l’autre. Pour tout le reste, son caractère tenace s’était révélé un atout précieux et non un handicap, au contraire de ce qu’on lui prédisait lorsqu’elle était enfant. Gamine têtue, trop perfectionniste, trop exigeante, elle piquait des crises de rage si elle n’arrivait pas à atteindre les buts qu’elle se fixait. Or elle mettait souvent la barre trop haut, du moins ses parents l’affirmaient-ils en riant.

Ses parents… Un mot qu’elle ne prononcerait plus, sinon au passé. Sa mère avait-elle vraiment, dans la confusion mentale où elle se trouvait ces derniers temps, ingurgité tous ces médicaments par distraction ? Ou bien était-ce consciemment qu’elle avait renoncé à se battre contre la maladie qui la minait ? Condamnée, avait-elle hâté la fin ? Elle parlait peu d’elle-même, trop pudique pour se confier, opposant à chacun, depuis toujours, une expression affectueuse et énigmatique. Quelques semaines avant sa mort, elle avait fêté son soixantième anniversaire, mais personne n’aurait pu lui donner son âge, seuls ses cheveux blancs la trahissaient. Née d’une mère vietnamienne et d’un père français, elle arborait un type asiatique assez marqué, et Pascale avait hérité d’elle ses grands yeux noirs étirés vers les tempes, des pommettes hautes, une peau mate, un petit nez ravissant.

— Si ça te fait plaisir, on peut monter à Albi, proposa Samuel.

Il devait projeter de la conduire jusqu’à la maison de son enfance, dont elle lui avait rebattu les oreilles, mais elle n’y tenait pas, pas aujourd’hui.

— Non, garde le cap sur Gaillac, c’est très bien…

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Extrait ajouté par SARA81 2018-03-07T17:33:03+01:00

Dans ses rares moments de liberté,Pascale avait cherché en vain la trace de Raoul Coste. Soit elle n'était pas douée pour mener une enquête policière,soit elle n'avait pas eu de chance mais parmi tous les Coste contactés, aucun ne connaissait de Raoul.Découragée elle ne perdait pourtant pas de vue son objectif,et d'une manière ou d'une autre,elle apprendrait un jour la vérité sur Julia Sans Soucis.............

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Extrait ajouté par coucougi 2012-07-01T21:45:50+02:00

"Merci d'être venue, et merci d'être vous." ETRE VOUS... C'est pas mignon ça ? Je trouve ce type formidable, même s'il t'obtient une place à Albi et que je me retrouve à faire la route seule ! Georges ne m'a jamais envoyé de fleurs, je lui ai fait tout un plat avec les tiennes ce matin, sans préciser l'identité de l'admirateur, rassure-toi. J'espère qu'il a saisi l'allusion et qu'il trouvera le chemin d'Interflora...

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Extrait ajouté par lady 2010-07-09T23:38:54+02:00

sur un coup de tête, pascale demande au chaffeur de taxi del'amener à peyrolles, ledomaine familial où elle a passé son enfance.

brusquement l'évidence s'impose à elle: c'est ici qu'elle veut vivre.

mais àsa grande surprise, son père, toujours proriétaire des lieux, s'oppose violemment àson projet.

qu'a-t-il pu se passer à peyrolles?

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Extrait ajouté par lady 2010-07-09T23:38:54+02:00

devant elle, à une trentaine de mètres, la maison blanche lui apparut enfin.

Pascale s'attendait à la trouver moins imposante que dans son souvenir, mais non, elle était identique, exactement semblable à l'image précise qu'en avait conservée sa mémoire.

Large, solide, élégante, presque orgueilleuse avec ses colonnes accouplées autour des fenêtres, son perron surélevé et sa terrasse fermée par une balustrade en poire ... Sa maison.

L'endroit où elle avait été si insouciante et si heureuse qu'il était pour toujours associé à l'idée du bonheur.

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