Proche des comédies anglaises où la frontière est toujours mince entre l'humour et l'émotion, L'Indésirable parle d'amour dans tout ce qu'il a d'indispensable et de destructeur. Entre maladresses, névroses et petites bassesses, les personnages tentent de tordre le cou à l'absurdité du monde et de se rappeler qu'une simple caresse répare bien souvent les vivants.
À Paris, la Villa Dupont broie du noir. Henri Manning, le maître des lieux, manifeste depuis quelque temps une mauvaise humeur qui déteint sur John, son jeune majordome, Hector, le jardinier, Merencia, la cuisinière, Judith la femme de ménage, et Alice, sa secrétaire particulière. Riche héritier franco-anglais, Manning a passé sa vie de bras en bras, abandonnant les femmes par lassitude autant que par jouissance. Le jour où il décide de retourner en Ombrie, sur les terres de Silvia qu'il a laissée vingt ans plus tôt au pied de l'autel, et qu'il disparaît, c'est tout l'équilibre de la Villa qui vacille. Inquiets, John et Alice partent sur les traces d'Henri et découvrent, au cœur d'une Italie aussi cruelle que puritaine, le vrai visage de leur patron.
Entre humour et émotion,
L'Indésirable nous plonge dans l'ambiance feutrée d'une livrée de domestiques qui n'est pas sans rappeler la série
Downton Abbey. Il raconte l'amour dans tout ce qu'il a d'indispensable et d'inattendu au travers de destins qui s'entremêlent pourle meilleur... ou pour le pire.
Certaines nuits, Carlo était trop éreinté pour entendre sa femme ronfler, à moins que ce ne soit le vacarme incessant des nuits trop longues passées en prison qui l'ait anesthésié. Certaines nuits, il était trop ivre pour pousser jusqu'au lit et entendre sa femme râler. Certaines nuits, il dessinait des meubles jusqu'à l'aube, puis les offrait à sa femme au petit déjeuner, juste pour le plaisir de revoir ce sourire qui l'avait tant fait chavirer.
Un très bon roman. L'histoire est originale et les personnages attachants. On a envie de savoir si la petite Suzy retrouvera son père et Henri, le goût à la vie. Voyager parmi le personnel de l'indésirable offre une vision intéressante et ce petit bond en Italie est agréable.
Résumé
Proche des comédies anglaises où la frontière est toujours mince entre l'humour et l'émotion, L'Indésirable parle d'amour dans tout ce qu'il a d'indispensable et de destructeur. Entre maladresses, névroses et petites bassesses, les personnages tentent de tordre le cou à l'absurdité du monde et de se rappeler qu'une simple caresse répare bien souvent les vivants.
À Paris, la Villa Dupont broie du noir. Henri Manning, le maître des lieux, manifeste depuis quelque temps une mauvaise humeur qui déteint sur John, son jeune majordome, Hector, le jardinier, Merencia, la cuisinière, Judith la femme de ménage, et Alice, sa secrétaire particulière. Riche héritier franco-anglais, Manning a passé sa vie de bras en bras, abandonnant les femmes par lassitude autant que par jouissance. Le jour où il décide de retourner en Ombrie, sur les terres de Silvia qu'il a laissée vingt ans plus tôt au pied de l'autel, et qu'il disparaît, c'est tout l'équilibre de la Villa qui vacille. Inquiets, John et Alice partent sur les traces d'Henri et découvrent, au cœur d'une Italie aussi cruelle que puritaine, le vrai visage de leur patron.
Entre humour et émotion,
L'Indésirable nous plonge dans l'ambiance feutrée d'une livrée de domestiques qui n'est pas sans rappeler la série
Downton Abbey. Il raconte l'amour dans tout ce qu'il a d'indispensable et d'inattendu au travers de destins qui s'entremêlent pourle meilleur... ou pour le pire.
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