Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 593
Membres
1 013 051

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Une accusation si troublante, Daphne Clair:

— Où est-il ? questionna-t-il d’un ton brusque.

Décontenancée, elle cligna des yeux.

— Je vous demande pardon ? Je pense que…

Elle allait ajouter « vous faites erreur », mais ne put terminer.

— Vous m’avez très bien compris, reprit l’homme d’une voix rauque. Où est-il ? Où est mon fils ?

— Certainement pas ici ! Vous devez vous tromper d’adresse.

Peut-être cherchait-il l’un des autres locataires de la maison ? En tout cas, elle ne pouvait rien faire pour lui. Elle allait donc refermer la porte lorsque, d’une main ferme, son mystérieux visiteur l’en empêcha et pénétra dans le hall.

D’instinct, elle battit en retraite. Erreur regrettable, car l’inquiétant personnage en profita pour claquer la porte du pied. Dans son affolement, elle lui tourna le dos pour fuir le long du couloir. Vaine tentative ! Une poigne d’acier lui saisit le bras, et lui fit faire volte-face.

Elle ouvrit la bouche pour hurler, dans l’espoir que ses voisins viendraient à sa rescousse, mais ne laissa échapper qu’un son étranglé. L’intrus l’avait bâillonnée de sa large main, et l’acculait contre le mur. Son corps, souple et puissant, était si proche qu’elle pouvait sentir la chaleur qui en émanait, et le parfum de son eau de toilette où se mêlaient des effluves de cuir et d’herbe fraîchement coupée. — Ne soyez pas stupide, dit-il d’une voix où perçait une pointe d’accent étranger. Je ne vous ferai aucun mal.

Il semblait maintenant plus agacé qu’en colère. Elle songeait bien à le gratifier d’un coup de genou qui aurait pu lui permettre de s’échapper, mais il la relâcha avant qu’elle ne puisse mettre son plan à exécution.

— Essayons de nous comporter comme des gens sensés, déclara-t-il en s’écartant.

Il pouvait bien donner des leçons à ce sujet ! songea-t-elle, indignée.

— La seule chose sensée que vous pourriez faire, ce serait de sortir de chez moi avant que j’appelle la police !

Un pli barra le front du visiteur, au-dessus de ses sourcils sombres. De nouveau, ses yeux lancèrent des éclairs courroucés.

— Tout ce que je demande, c’est de voir mon fils…, répliqua-t-il d’une voix lasse.

Elle haussa le ton.

— Je vous ai déjà dit qu’il n’était pas ici ! Pourquoi ne voulez-vous pas me croire ? Vous faites erreur,

Afficher en entier

Sous l’emprise de la passion, Jennie Lucas:

— Bonjour.

Le cœur de Lia fit un bond dans sa poitrine. Roark était en bas des marches, les mains dans les poches. Elle qui le croyait au-dessus du Pacifique !

— Que fais-tu ici ?

Sous son regard étincelant, elle sentit une vive chaleur l’envahir.

— Je t’attendais.

Il la rejoignit et lui prit la main. Même à travers ses gants, le contact de ses doigts l’électrisa.

— Je croyais que tu repartais en Asie aujourd’hui, dit-elle d’une voix étranglée.

Il promena sur elle un regard avide.

— Pas avant cet après-midi.

Mon Dieu ! Elle était pourtant sûre de ne pas le revoir… Mais pourquoi n’était-elle pas plus contrariée par sa présence ? A vrai dire, elle était même en proie à une douce euphorie… C’était insensé !

Tout à coup, elle tressaillit.

Ruby !

Il fallait absolument éloigner Roark de la maison !

Afficher en entier

L’ivresse du désir, Penny Jordan:

Jay regardait la jeune femme avec attention. A moins d’être une excellente actrice, elle avait ressenti un réel choc en le voyant. Lui-même était sincèrement étonné.

Que signifiait tout ceci ? Cette femme qui l’avait séduit avec un art consommé, quelques jours auparavant, cette femme qui avait reçu de l’argent des mains d’un homme, se présentait à présent à lui comme une femme d’affaires !

D’un regard expert, il examina sa tenue. Elle avait revêtu un tailleur-pantalon de couleur claire avec un chemisier de style indien. Le clin d’œil en direction de sa culture était discret, mais plutôt habile.

— Entrez, je vous en prie, déclara-t-il avec politesse. Sayeed n’a cessé de me vanter vos nombreux mérites.

Il marqua une pause et savoura le sous-entendu qu’il venait de glisser dans sa remarque.

Keira serra les dents de colère et de honte. Jugeant préférable de ne pas répondre à la pique de son hôte, elle garda le silence.

Jay fronça les sourcils, irrité qu’elle ne lui adresse pas la parole. Pour qui se prenait donc cette Anglaise ? Et pourquoi diable portait-elle le parfum qui l’avait ensorcelé le soir du mariage ? Cette fragrance élégante et sensuelle ne lui rappelait que trop les instants intimes qu’ils avaient partagés.

Il s’approcha d’elle et lui lança avec colère :

— Sayeed a-t-il couché avec vous ? Hein ? C’est peut-être pour ça qu’il a tellement envie que je signe ce contrat avec vous ? Attendez…, je crois comprendre… il vous a promis son aide en échange de vos faveurs ?

— Non, répondit Keira entre ses dents. Je ne « couche » pas pour décrocher des contrats. Je n’en ai pas besoin. Mon travail parle pour lui-même.

Jay eut un rire narquois.

— Bien sûr, c’est d’ailleurs ce que j’ai pu constater l’autre soir ! Et quel travail !

Keira sentit le rouge lui monter aux joues. Les propos de son interlocuteur étaient sans ambiguïté. Une colère dévastatrice s’empara d’elle. Elle s’efforça malgré tout de parler avec calme.

— Croyez ce que vous voulez. Rien ne vous permet de sous-entendre quoi que ce soit à mon sujet !

— Je ne crois rien du tout, ma chère. C’est la logique et non pas l’imagination qui gouverne mon jugement. Je vous rappelle que j’ai été témoin d’une scène assez… comment dirais-je… parlante !

— Vous n’avez été témoin de rien du tout !

— Allons, j’ai vu l’homme avec lequel vous étiez vous remettre une coquette somme d’argent.

Keira défia Jay du regard. D’un point de vue strictement professionnel, elle n’avait plus rien à perdre à présent. Il ne lui restait plus qu’à défendre ce qu’elle avait de plus précieux : son honneur.

— Et parce que vous avez vu cet homme me donner de l’argent, vous imaginez que… que je suis une prostituée, c’est bien ça ? Eh bien, laissez-moi rire de votre sens de la « logique ». Ce n’est qu’une supposition farfelue alimentée par votre esprit retors !

Comment osait-elle lui répondre sur ce ton-là ? Comment pouvait-elle défendre l’indéfendable et l’accuser, lui, d’avoir un esprit retors ? Décidément, c’était le comble !

— Cet homme vous a donné de l’argent. Je l’ai vu de mes propres yeux.

— Oui, c’est vrai, vous l’avez vu me donner de l’argent. Et alors ?

— Comment ça, et alors ?

— C’est un vieil ami. Il me devait de l’argent parce que je l’ai aidé à décorer son appartement. Si vous ne me croyez pas, vous pouvez le lui demander.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode