L'ostéopathie pour tous
Auteur
- Célia Le Dressay (Écrivain)
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extrait
Le mot "ostéo-pathie" provient de deux racines grecques : ostéon (os) et pathos (maladie).
Dans notre cas, il faut comprendre "maladie par l'os" et non "maladie de l'os".
En 1874, A. T. Still, père de l'ostéopathie, veut par ce nom traduire l'idée que lorsque les structures du corps (os) sont mal ajustées... cela favorise l'apparition de la maladie... et que, inversement, on peut guérir la maladie en "réajustant" les structures en cause...
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Plutôt instructif !
A lire pour ceux qui sont intéressés, pour ceux qui se méfient, aussi.
La grande idée de l'ostéopathie, c'est que le corps est équipé pour se défendre et se rééquilibrer. En cas de dysfonctionnement, des tensions se créent. Inversement, en débloquant ces tensions, on rend au corps accès à ses capacités d'autoguérison. Les résultats obtenus par le docteur Still furent édifiants, et l'ostéopathie continue d'évoluer aujourd'hui encore. Les molécules chimiques ne sont pas le seul moyen d'action dont nous disposions - le corps est une telle merveille ! -, et c'est tant mieux.
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L'ostéopathie pour tous
- France : 2011-09-16 - Poche (Français)
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Editeurs
Résumé
Une bande dessinée, pleine d’humour et d’intelligence, qui explique merveilleusement bien ce qu’est l’ostéopathie.
À l’instar de Andrew Taylor Still, le fondateur de l’ostéopathie, qui définissait notre discipline comme « la loi de la matière, du mouvement et de l’esprit », Célia Le Dressay, ostéopathe DO, a merveilleusement su nous transmettre la matière, le mouvement et l’esprit de l’ostéopathie par le moyen d’une bande dessinée.
[…] C’est avec une parfaite délicatesse que Célia manie l’autodérision et conduit son constant parti pris de vulgarisation, sans jamais tomber dans le vulgaire.
[…] L’esprit ostéopathique, « le souffle » imprègne chacune des pages de cet ouvrage. On pourrait même imaginer que, si Andrew Taylor Still avait en son temps connu l’outil de la bande dessinée, sa BD aurait pu ressembler à celle-ci.
Puisse ce livre trouver sa juste place, il le mérite, dans toutes les mains : celles des ostéopathes, celles des étudiants, et surtout celles des patients bien sûr…
François Bel, Ostéopathe DO.
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