L'Unité Alphabet

Deux officiers anglais sont abattus par les allemands lors d'une mission de reconnaissance. Pour survivre, ils prennent la place de deux officiers SS mourant dans un train hôpital les conduisant dans un asile, internés à l'Unité Alphabet, ils y subissent des traitements sensés les guérir de leurs maux. Il y a malheureusement d'autres simulateurs qui les tiennent à l'œil. Bryan s'enfuira donc seul et regrettera d'avoir laissé son meilleur ami James dans cet hôpital. 30 ans plus tard Bryan reprend ses recherches et retourne sur les lieux ou se trouvait l'hôpital pour savoir ce qui est vraiment arrivé à James. J'ai apprécié ma lecture, le livre est bien écrit.

Vol au dessus d'un nid de coucou chez les Nazis.

Très bien écrit et prenant, mon premier livre de cet auteur qui m'a donné envie de découvrir sa série du Département V.

Pendant plusieurs heures j'ai cherché mes mots pour vous expliquer mon ressenti sur ce livre écouté.

A première vue cela démarrait plutôt bien, l'histoire se met en place le sujet est très intéressant et plutôt inédit pour moi puisque l'on parle de tortures d'officiers allemands dans un hôpital psychiatrique allemand pendant la seconde guerre mondiale.

Je découvre ainsi comment les médecins utilisaient ces hommes comme des cobayes .

L'avion de Bryan et James pilotes de la RAF est abattu,seul espoir pour eux prendre la nationalité allemande pour survivre.Les deux hommes sont accueillis dans l'unité alphabet.

Ensuite viens la partie la plus importante,celle ou l'un des pilotes Bryan décide trente années plus tard de partir à la recherche de son ami et copilote James avec qui il était interné dans cet hôpital.

Lui avait réussi à s'échapper laissant son coéquipier à une mort certaine.

J'avoue avoir vite perdu le fil de l'histoire vu la quantité de personnages surtout que chacun des hommes change trois fois d'identité.

Et oui nos deux anglais vont prendre une identité allemande dans l'hôpital allemand pour survivre puis pour fuir après la guerre les protagonistes changent une seconde fois de nom et oui les SS sont activement recherchés à la fin de la guerre pour répondre de leurs actes.

Ayant beaucoup de doute sur l'histoire et les personnages je regarde la quatrième de couverture (lecture à l'aveugle comme souvent pour moi) et je comprend un peu mieux le déroulé mais ne fait pas le lien entre les personnages.

D'ailleurs merci Céline pour tes éclaircissements !

Tout ça sans compter sur les incohérences multiples et variées, beaucoup d'événements ou situations me semblent irréalisables ou rocambolesques.

J'essaie de me dire que parce que c'est un livre audio cela n'a pas fonctionné mais vu tous nos échanges avec Céline nous sommes dans le même état d'esprit ouf.

Enfin bref, décidément je crois que je dois véritablement mettre les auteurs nordiques de côté.

Si le cœur vous en dit, lisez ce livre et faîtes vôtre propre avis,je serai ravie d'échanger avec vous.

Un livre ou la tension psychologique est présente du début à la fin.

Il faut bien suivre car passé et présent se mélangent et les personnages changent également d'identité. Pour ce roman l'auteur s'est inspiré de ce qu'il a vu étant enfant quand son père, psychiatre, l'emmenait avec lui voir ses patients dans les asiles de fous. Ces faits avérés sont terrifiants.

Je tenterais peut-être la série de l'auteur.

Même si l’auteur précise que ce n’est pas un roman de guerre … la première partie le fait penser.

Je dirai même comme un documentaire romancé.

2 britanniques sont en biplaces et se crashent. Pour éviter d’être fusiller, ils se font passés pour nazis et fous.

De la commence la terrible histoire de l unité alphabet.

Pour la deuxième partie, on est plus ou moins 30 ans plus tard, Bryan qui a su s’échapper de cet enfer allemand en y laissant son ami James est, depuis lors, pris de remords et le cherche en vain.

Jusqu’au jour où il a enfin une piste …

Est il mort ? Si non, ou est il?

J ai apprécié le style course poursuite - contre la montre de la deuxième partie.

Si vous n’avez pas aimé le style de ce roman ne vous arrêtez pas la ! Adler-olsen a écrit une série qui est totalement différente de ce one shot !

L'histoire est très longue à se mettre en place et j'ai bien failli abandonner cette lecture. Une fois que l'on rentre dans la deuxième partie, ça va beaucoup mieux.

N'étant pas fan des récits de guerre, je savais que j'allais avoir du mal à apprécier ce livre mais le côté thriller et hôpital psychiatrique m'a convaincue de tenter l'aventure. Ce récit en deux parties se lit comme une duologie, chaque partie ayant une construction similaire avec un début un peu lent, puis une tension qui s'installe crescendo avant d'atteindre le climax final.

J'ai largement préféré la première moitié dans l'hôpital car même si au début j'ai mis du temps à rentrer dans l'histoire, finalement j'ai été happée par l'ambiance dérangeante, parfois vraiment malsaine, qui s'en dégage. J'ai particulièrement aimé le traitement de la folie, à se demander qui sont les plus fous dans l'histoire.

La seconde moitié m'a moins plu, déjà parce que le résumé de quatrième couverture en dit beaucoup trop, ensuite parce que le cadre change et je n'ai pas retrouvé l'atmosphère angoissante de la première. Les rebondissements étaient prévisibles, à la fin le méchant attend trois ans avant de se décider à tuer ses victimes sans autre justification que de faire traîner le suspense... Sans compter que ne supporte pas le procédé de faire avancer l'intrigue "par le plus grand des hasards".

Par ailleurs, autant j'ai apprécié Bryan et James au début, autant j'ai moins accroché avec Bryan par la suite, d'autant plus que les personnages secondaires qui interviennent dans la seconde partie m'ont agacée. Petra m'a déçue, j'ai trouvé Laureen insupportable, et évidemment il fallait que les deux femmes du roman se mettent en danger et attendent que leur chevalier servant viennent à leur rescousse... Bref. Si ce n'était pas une lecture désagréable, elle m'aura pas marquée.

Roman plutôt psychologique dans un fond de seconde guerre mondiale.

La première partie parle plutôt de l'internement de deux amis devant feindre une pseudo maladie mentale. La deuxième est une ellipse de plusieurs années.

Le roman a été légèrement fastidieux pour moi à la lecture en raison de nombreux mots compliqués mais j'ai réussis! La psychologie et la ténacité que les hommes du roman ont eu m'a beaucoup touché, la guerre n'est qu'en second plan, ici on est plus centré sur la pseudo maladie psychologique, l'amitié et la trahison. J'ai beaucoup aimé l'univers de ce roman et le lire, un très bon roman si vous voulez vous mettre aux romans un peu historiques mais pas trop et bourré d'émotions.

Très bon thriller que je conseille vivement même si pour ma part il n'est devenu addictif qu'aux alentours des 250 pages lues. Je trouve que c'est une belle leçon de vie que l'auteur nous a transmis à travers ses personnages.

J'ai moins aimé ce roman que la saga du département V de l'auteur. La narration est différente car il n'y a pas de retour dans le passé. On suit une chronologie.

Il y a aussi beaucoup de longueurs.

Ce livre n'est pas mauvais mais il faut aimer l'auteur pour l'apprécier