Extraits

« Je vous jure, le premier qui corrige encore une fois ma grammaire se retrouvera avec mon poing dans la figure. »

p. 400

"Le monde a déjà connu une fin. Il en connaîtra une autre. Le monde termine et le monde renaît. Le monde renaît toujours."

"Les Autres n'ont pas inventé la mort, ils l'ont juste perfectionnée."

Quand vous avez regarder la mort dans les yeux et que la mort à cillé la première, rien ne semble impossible

"L'ombre lève les bras en l'air et je sais-je sais avant même d'entendre mon nom qu'il m'a retrouvée, tenant sa promesse intenable, celui que j'ai marqué de mon sang et qui m'a marquée de ses larmes,Spoiler(cliquez pour révéler)un Silencieux, mon Silencieux, qui trébuche vers moi dans la lumière pure d'un soleil hivernal, porteur de printemps."

"Dans les bois, dans le froid mordant, à la surface d'une mer sans limite, chuchotant son nom, confiant son souvenir au vent, à l'étreinte du silence, aux arbres-sentinelles et à la bienveillance des étoiles fidèles, tel son homonyme, pure et éternelle, univers infini contenu dans tout ce qu'elle est.

Cassiopée."

"_Quoi que vous vouliez que je fasse, je n'obéirai pas. Vous perdez votre temps.

_Et le temps est tout ce qui nous reste, n'est-ce pas ? Le temps - et les promesses."

Alors comme ça, Vosh, tu prétends savoir comment nous pensons. Dans ce cas, tu sais ce que je suis sur le point de te faire. Je vais te peler la gueule avec ma pince à épiler. T'arracher le cœur avec une aiguille à coudre. Je vais t'infliger sept milliards de mini-antailles qui te feront pisser le sang - une pour chacun d'entre nous. C'est le prix à payer. Prépare toi, connard, parce que quand on retire l'humanité des humains, il ne reste que des humains sans humanité.

En d'autre mots, tu obtiendras exactement ce que tu as voulu, espèce d'ordure!

"Découvrir la vérité était comme tenter de courir après l'horizon"

Spoiler(cliquez pour révéler)— J’ai une théorie à propos des rats, je poursuis. Tu veux l’entendre ?

Toujours le silence.

— Tuer un rat, c’est facile. Tu n’as besoin que d’un morceau de vieux fromage et d’une tapette. Mais pour tuer des milliers de rats, un million de rats, un milliard – voire sept milliards –, c’est un peu plus difficile. Pour cela, il te faut un appât. Du poison. Tu n’as pas besoin d’empoisonner tes sept milliards de rats, juste un certain pourcentage qui répandra le poison dans le groupe.

Il ne bouge pas d’un pouce. J’ignore s’il m’écoute, et même s’il est réveillé.

— Nous sommes les rats. Le programme téléchargé dans les fœtus humains – ça, c’est l’appât. Quelle est la différence entre un humain qui transporte une conscience extraterrestre et un humain qui croit la transporter ? Il n’y en a qu’une seule. Le risque. Le risque, c’est ça, la différence. Pas notre risque. Le leur. Pourquoi auraient-ils pris de tels risques ? La réponse, c’est qu’ils ne l’ont pas fait. Ils ne sont pas là, Razor. Ils n’ont jamais été là. Il n’y a que nous. Il n’y a toujours eu rien que nous.