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Argent

J'ai trouvé génial de retrouver Bengale dans cette petite histoire qui se déroule avant le roman. C'était un peu trop court à mon goût, mais j'ai quand même passé un très bon moment.

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Diamant

La baleine blanche des mers mortes n’est pas seulement la mise en image du roman. C’est une nouvelle envoûtante plongée au cœur de ce sombre univers, aux origines de la dramatique, mais tellement belle, quête de Bengale.

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Bronze

Je suis restée sur ma faim avec cette lecture. J'ai adoré le thème, j'ai adoré les dessins, mais j'aurais aimé plonger plus dans l'histoire, avec quelque chose de plus étoffé.

Et là je découvre qu'en fait cette BD complète un roman! Donc hâte de l'avoir entre les mains, car cette lecture donne envie!

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Lu aussi

Si vous me suivez depuis mes débuts sur insta (@mana.traverse.les.pages), vous vous souvenez peut-être du coup de cœur qu'avait été Mers Mortes, de la même autrice. Découvert en 2019, la plume et surtout le message transmit derrière ce roman post-apocalyptique m'avaient marquée.

Et bien cette BD est une sorte de préquel, où l'on découvre une partie du passé de Bengale. Comme c'était mon personnage préféré dans le roman, j'étais ravie d'en apprendre un peu plus sur lui !

Comme dans le titre originel par contre, le récit est violent : certaines scènes sont sanglantes et la cruauté envers les animaux marins est de mise (c'est justement l'un des propos développés par l'ouvrage).

Au niveau du dessin, ce type de trait n'est pas mon préféré mais il s'accorde bien avec le récit, le coté assez sec des contours accentuant la dureté de l'intrigue. J'ai par contre beaucoup aimé les jeux de couleurs, notamment sur les animaux marins, qui donnent de belles planches.

Bref, c'était très sympa de retourner dans l'univers inventé par l'autrice et d'en apprendre plus sur l'un des personnages, même si j'ai trouvé le récit finalement assez rapide (peut-être que j'avais envie de rester un peu plus longtemps aux cotés de cet homme étrange au blouson "The Punisher" (c'est vrai que cette méduse y fait penser…).

Et pour prolonger le propos du roman, comme la baleine est mon animal préféré, je vous laisse le lien de quelques articles, qui me paraissent accessibles au plus grand nombre et qui parlent de ces géantes des mers !

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Argent

Un plaisir de replonger dans l'univers des Mers Mortes !

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Or

Retrouvez d'autres chroniques sur mon blog : https://lesfantasydamanda.wordpress.com

--- Du roman à la BD ---

Si vous me suivez depuis longtemps, vous avez sans doute déjà remarqué qu’en temps normal je ne chronique pas de bandes dessinées. En effet, il s’agit là d’un format que j’affectionne peu, probablement parce que l’expérience de lecture ne permet pas de s’immerger des heures durant.

Cependant, je n’ai pas hésité une seule seconde à faire une exception lorsque les éditions Darkoo – que je remercie au passage – m’ont proposé en service de presse La Baleine blanche des mers mortes, une BD tirée du roman d’Aurélie Wellenstein. Et oui, bien qu’il m’ait brisé le cœur, j’ai adoré Mers mortes. J’étais donc plus que curieuse de voir son univers adapté. Sachez-le, je ne suis nullement déçue du voyage !

--- J’en ai pris plein les yeux ---

Personnellement, je trouve les dessins de Vincent Boiscommun d’une beauté sans pareille. Grâce à des couleurs vives et à une multitude de détails, ce dernier offre une véritable poésie à l’histoire. C’est tout simplement grandiose ! Selon moi, il a su donner vie à cet univers sombre dans lequel perce une lueur d’espoir.

Attention, néanmoins : comme pour le roman dont elle est tirée, la BD contient des scènes très violentes, très sanglantes, notamment par le meurtre d’animaux marins. Pour autant, et même si cela n’enlève rien à la dureté du message, j’ai estimé qu’auteur et dessinateur conservaient une certaine sobriété dans la manière d’amener les choses. C’est simple et percutant – voire choquant pour les plus sensibles, j’en conviens.

--- Comme un bonus à l’histoire d’origine ---

Pour ceux qui n’auraient pas lu Mers mortes, sachez que la BD est un genre de préquel. Elle reprend ainsi un personnage phare du roman, Bengale, dévoilant un pan essentiel de son passé. Je l’admets, j’étais plus que ravie de retrouver ce héros (ou anti-héros) et, mieux encore, de découvrir les origines de sa quête. Je ne peux vous en dire plus, si ce n’est qu’il dégage un charisme incroyable, puisant dans sa volonté sans failles pour survivre. Chrysaora, quant à elle, m’était totalement inconnue, mais j’ai apprécié la touche de douceur qu’elle apporte à l’histoire.

Le seul bémol concerne le rythme, bien trop rapide à mon goût. Cela est probablement dû au format, mais j’ai trouvé que le récit manquait de transitions, d’explications, d’approfondissement.

--- Un goût de trop peu… ---

Comme je l’ai dit plus haut, je lis peu de bandes dessinées. Je n’ai donc pas l’habitude de me contenter d’une cinquantaine de pages, aussi sublimes soient-elles, ni d’achever ma lecture en moins d’une heure. Résultat : je suis restée sur ma faim !

Heureusement, si vous rencontrez le même problème que moi, vous pourrez toujours vous tourner vers le roman afin de poursuivre cette expérience de lecture inoubliable.

--- Un message écologique fort ---

Dernier point à aborder, et non des moindres. C’est bien évidemment ce qui réunit BD et roman. Par le prisme de l’imaginaire, Aurélie Wellenstein dépeint un futur particulièrement lugubre, tant pour les créatures marines que pour la planète tout entière. Cela fait naturellement écho aux préoccupations environnementales de notre époque même si, il faut bien l’avouer, l’humanité n’est pas près de changer. Enfin, qui sait ? Peut-être suis-je trop pessimiste…

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Argent

j’ai beaucoup apprécié cette lecture.

Elle nous explique le avant du roman ”mers mortes” on retrouve d’ailleurs Bengale que j’avais adoré !

Concernant les planches ce n’est pas les dessins que j’apprecie en temps normal... mais là j’ai adoré et admiré chaque planches.

Bref très bonne lecture si vous avez apprécié le roman.

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Diamant

https://songedunenuitdete.com/2021/09/29/la-baleine-blanche-des-mers-mortes-de-a-wellenstein-et-o-boiscommun/

J’ai dévoré cette bande dessinée de la première page à la dernière ! Il s’agit d’une histoire inédite, un préquel à l’univers du roman Mers Mortes. On retrouve d’ailleurs le héros, Bengale dont les pas le portent dans un Paris dévasté et plus particulièrement devant ce qui reste de l’opéra Garnier.

Là, il rencontre une drôle de fille, Chrysaora (j’ai eu un coup de cœur pour elle) qui danse avec des méduses lors de l’une des apparitions de la mer fantôme. Les deux jeunes gens, vont alors se retrouver en compagnie d’un groupe de survivants, tous musiciens qui habitent l’opéra.

Les dessins sont beaux et la couleur directe donne indéniablement un plus à l’ambiance de la bande dessinée.

Cela lui confère une âme que l’on retrouve bien trop peu dans tout ce qui se produit aujourd’hui. Les couleurs sont belles, chaudes, presque chaleureuses alors que le récit, lui est sombre et poignant. Poignant du côté des mammifères marins et on le ressent d’autant plus grâce aux rêves de Bengale. Je dois bien reconnaître que j’ai eu beaucoup d’empathie pour cette baleine qui voit son petit mourir. On se glisse dans leur peau et on comprend leur colère vis-à-vis des humains. Tout comme ces dauphins qui se retrouvent emprisonnés dans des filets et dont on balance les cadavres dans l’eau sans aucune pitié pour eux.

De fait, la venue de la mer morte qui vient hanter les hommes et dont les fantômes des poissons et autres animaux marins prennent leurs âmes est presque une juste vengeance (dans un sens). On retrouve d’ailleurs cette baleine qui tourne autour de l’opéra et dont seule la musique parvient à calmer sa colère légitime. L’humanité a détruit ses mers et ses océans sans aucune considération pour sa faune et sa flore. Comme si, finalement, ce qu’on ne voit pas n’existe pas…

La comparaison faite entre les êtres humains et les animaux marins n’est pas des plus flatteuses pour les hommes. Déjà, la manière dont Bengale et Chrysaora sont traités par la troupe de l’opéra ne laisse guère de place à l’empathie pour ces gens là. Tout comme le passé de Chrysaora ou bien encore celui de Bengale. Ce dernier est un héros, sombre et taciturne. J’ai beaucoup aimé la manière dont Boiscommun le représente avec son blouson à l’effigie d’une méduse qu’un gamin prend pour celui de The Punisher (il y a un peu d’humour, sans que ce soit déplacé, malgré la dureté des thèmes abordés). Et étrangement, c’est ce qu’est, en quelque sorte, Bengale.

Sans trop vous spoiler l’histoire (ça serait dommage), moi qui n’aie pas encore lu le roman, j’ai tout de suite adhéré à l’univers d’Aurélie Wellenstein. Cette bande dessinée est une très bonne entrée en matière et le tout est sublimé par les dessins d’Oliver Boiscommun, une association plus que parfaite ! Cela nous offre une bande dessinée complète avec laquelle, loin d’être frustré, on a envie d’en connaitre plus et de faire perdurer le plaisir. Et c’est génial parce qu’il y a le roman ! Et pour ceux qui ont déjà lu le roman, cela complète l’univers de Mers Mortes, lui apportant un plus graphique plus que bienvenu !

Bref, j’ai adoré la BD, les dessins, l’histoire et je pense qu’elle plaira à un très grand nombre. Voilà une intrigue qui s’attache à nous dépeindre, sans en faire trop, ce que pourraient ressentir les animaux marins face aux dérives humaines sur la pollution des mers et océans et ses conséquences sur le long terme si on ne fait rien.

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