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– Quand demandez-vous la rançon ? Je peux vous donner le numéro de mon père…

Elle farfouille dans son sac en bandoulière et en sort son téléphone portable dernier cri, commençant à faire défiler sa longue liste de contacts.

Aussitôt, son ravisseur s’en empare et défait la coque pour extraire la carte SIM.

– Hey ! Mais vous faites quoi ?

– Objet interdit chez moi !

Il découpe la carte aux ciseaux, détruisant ainsi toute chance à la police de localiser la demoiselle.

Cette dernière soupire.

– On peut régler ça entre nous, on n’a pas besoin de mon père. Combien vous voulez ? Cent mille euros ? Plus peut-être ?

– Pourquoi demanderais-je une rançon ?

– Parce que ma famille est riche et que c’est pour cela que vous m’avez enlevée ! Je vous fais un chèque ? Vous préférez peut-être la carte. Vous prenez la gold ?

– Je ne veux pas de ton argent. Désolée, mais c’est pas ton pognon qui m’a motivé.

La jeune femme le regarde avec étonnement. Elle ne comprend plus.

Il n’a pas de commanditaire et ne désire pas d’argent.

Que veut-il ?

Que compte-t-il réclamer en l’échange de sa vie ?

– Pourquoi m’avez-vous enlevée ?

– Parce que tu es jolie.

– Quoi ? C’est tout ?

– Pour quoi d’autre ?

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– Vous êtes blessé, dit-elle en se levant.

Il ne cille pas, concentré dans sa tâche.

La jeune femme se lève et s’approche. Sans lui demander sa permission, elle soulève la manche de son tee-shirt.

Instantanément Pavel braque son pistolet sur elle, la faisant sursauter, lâcher le tissu et reculer.

Il la fixe comme s’il avait oublié ne pas être seul et se déride, reposant l’objet sur la table.

– Ça guérira, lâche-t-il enfin, faisant ainsi retomber la tension qui venait subitement d’envahir la pièce.

– Pas si la balle n’est pas ressortie. Je peux regarder ? Je fais des études de médecine.

Il la fixe à nouveau, la dévisageant sans discrétion, puis éclate de rire. Mais son hilarité n’a rien de drôle, au contraire, il émane quelque chose de menaçant de lui. Cependant, persuadée d’être détenue pour qu’il obtienne une rançon, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds.

– Quoi ? Vous pensez que je ne suis pas capable d’exercer la médecine ? Une blonde n’a pas de cervelle selon vous ? Je ne suis bonne qu’à être mannequin ?

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Je me sentis ridicule lorsque, comme pour l'attendrir, je posai deux doigts sur ses lèvres. Avec surprise, je le sentis frémir. Je ne pouvais tout de même pas avoir le même effet sur lui que lui sur moi... Si ? Je plongeai les yeux dans les siens.

Je me mordis alors l'intérieur des joues et me reculai légèrement. Ce type, je l'avais déjà vu, c'était certain... Mais impossible de me rappeler où et comment. Pourtant, on n'oublie pas une bombe pareille lorsque l'on croise son chemin.

– Je vois que je ne te suis pas si étranger que cela, en fin de compte... constata-t-il en me lâchant et en se relevant.

Son sourire était espiègle et n'annonçait rien de bon... Je me tordis les doigts. Comment allais-je me sortir d'une telle situation ?

– Tu ne dois pas t'en rappeler, chérie, mais c'est toi qui m'as mené à ma déchéance, il y a sept cents ans.

Sept cents ans... Je n'étais pas la seule à débloquer ! Avec de la chance, on ne se retrouverait pas dans le même hôpital.

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La fatigue arriva d’un coup, la fugueuse n’avait plus la force de courir aussi longtemps car un point de côté fit son apparition au mauvais moment. Il fallait ignorer la douleur, s’enfuir et courir encore plus vite pour trouver un semblant de tranquillité.

La course sembla durer des heures, alors qu’à peine quelques minutes s’écoulèrent. Épuisée, Marie crut que sa vision se troublait quand une forme indistincte apparut dans son champ de vision. Trop occupée à fuir, elle cligna des yeux et avança encore. Puis elle entendit un cri et s’arrêta malgré elle.

Lorsqu’elle se retourna, elle fut surprise de ne voir aucun des hommes.

Où avaient-ils disparu ?

Puis il y eut un second cri, plus long et plus effrayé que le premier, si bien qu’il glaça le sang de la jeune fille qui reprit sa course sans tarder.

Au même moment, les trois hommes affrontaient la mort. Quelque chose d’énorme se trouvait devant eux, or dans la nuit, ils ne surent dire ce que c’était, ils n’eurent même pas le temps de penser à sa nature, car ils périrent l’un après l’autre, dans une douleur effroyable.

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– Et moi je suis certain que vous n’arriverez jamais à lui faire changer d’avis. Vous savez… la dernière fois que j’ai vu le visage de mon frère, c’était quand nous étions gosses, dit-il d’un ton amer.

– Quoi ? Mais vous…

– Nous nous parlons à travers la porte ou au téléphone quand il daigne bien le décrocher.

De plus en plus ahurie par ce genre de comportement, Cassie plissa le regard et secoua la tête.

– Mais pourquoi est-il comme ça, je veux dire, personne ne peut vivre de cette façon.

– Détrompez-vous, Cassie. Adrian pense qu’il agit pour le bien des gens. Il se prend pour un monstre et je crois que c’est à cause de ma grand-mère. C’est elle qui l’a enfermé dans cette partie de la maison quand il avait dix ans. En quelque sorte, elle l’a rendu un peu sauvage mais il n’est pas agressif, je vous rassure. Il ne connaît seulement pas les bonnes manières et quel comportement adopter en société.

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– Non, le coupa-t-il, le ton grave. Adrian est seul et je pense qu’il ne vous laissera pas l’approcher donc, vous ne serez pas gêné par mon frère, il n’y a aucun souci sur ce point.

– Que voulez-vous dire ? Vous m’aviez dit que je devais préparer ces repas et…

– Je n’ai pas dit que vous deviez les partager avec lui. Écoutez… mon frère est complètement renfermé et il ne s’agit pas du tout d’un passage dû à son fort caractère, il a toujours vécu ainsi.

– C’est très… triste, dit-elle en baissant les yeux, intriguée par cet homme. Quel âge a-t-il, si ce n’est pas indiscret ?

– Il est plus jeune que moi, répondit-il en esquissant un faible sourire. Il a vingt-trois ans.

– Mon âge… et, il n’a aucun ami à qui parler ? insista-t-elle, abasourdie d’entendre de pareilles révélations.

Alex secoua la tête, confirmant par ce mouvement que son frère Adrian avait depuis toujours vécu seul et isolé de toute civilisation.

– N’ayez pas peur de lui, il ne vous fera aucun mal. Tout ce qu’il souhaite c’est que le ménage soit fait. Il n’est pas infirme mais il souffre beaucoup depuis son plus jeune âge. Je suis désolé, je ne suis pas amené à parler de cette partie de sa vie privée

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Elle se perdit dans ses souvenirs, le jour où elle avait débarqué à Camden. Elle venait de faire une fugue après la mort de ses parents. Orpheline, elle avait dû apprendre à se débrouiller toute seule jusqu’à ce que Jack arrive dans sa vie. Il lui était venu en aide alors que deux hommes l’avaient bloquée au fin fond d’une ruelle sombre. Il venait de fermer le bar et allait rentrer chez lui lorsque ses cris l’avaient interpellé. De suite, il n’avait pas hésité et avait affronté ses deux agresseurs qui devaient mesurer une vingtaine de centimètres de plus que lui.

– Je peux savoir pourquoi tu souris comme ça ?

Elle leva les yeux vers les siens et pouffa.

– Cassie ! Tu es sans boulot et sans logement dans peu de temps, qu’est-ce que tu comptes faire ?

– Cesse de t’inquiéter pour moi, Jack.

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– Tu vois, tu me connais mieux que tu ne le pensais.

– Il n’empêche que je refuse de…

– Contente-toi de savoir que tu peux faire tout ce dont tu as envie avec moi, l’interrompit-il en faisant remonter ses mains qui se glissèrent sous son t-shirt. Où tu veux, quand tu veux, comment tu le veux et autant de fois que tu le désires.

Sophia ne put s’empêcher de sourire. Parce qu’elle savait qu’il ne s’agissait pas de paroles en l’air. Seulement, une fois encore, comment le savait-elle ?

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– Quand est-ce que je rencontre votre patron ?

– Qu’est-ce qui te fait penser que j’ai un patron ? la questionne-t-il en posant ses yeux sur elle.

Il l’a déjà dévisagée à l’aéroport, mais de près il peut voir qu’elle a les ongles manucurés, qu’elle est maquillée avec finesse, qu’elle porte une tenue raffinée, et constater qu’elle sent bon.

– Vous n’avez pas pu faire ça tout seul.

– Navré, princesse, se moque-t-il. Je suis le seul dirigeant de ma vie.

Rebecca est déçue. L’espace d’un instant, elle s’était imaginé qu’il pouvait y avoir toute une organisation responsable de son kidnapping, qu’il n’était qu’un pantin exécutant les ordres. Mais non, il est seul, pas de secrets d’états ou d’autres choses croustillantes du genre.

Elle tente de se consoler, en repensant à la demande de rançon ; elle vivra jusque-là une aventure trépidante.

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– Lâchez-moi ! intime-t-elle.

Sans résultat.

Le jeune homme emprunte les escaliers puis pénètre dans un appartement avant de poser son fardeau sur le sol. Il verrouille la porte, puis lui annonce :

– Tu peux avoir envie de t’enfuir, mais je te préviens que dehors c’est un véritable coupe-gorge. Tu seras plus en sécurité ici avec moi.

Elle hausse les épaules avant de le détailler.

Il est grand et costaud, ce qu’elle avait deviné en étant contre lui, il a le visage fermé, des cheveux noirs dont quelques mèches tombent sur ses yeux bleus. Il est mal rasé ; elle ignore si c’est son style ou s’il boude le rasoir, en tous les cas il est séduisant.

– Tu veux ma photo ! aboie-t-il en lui saisissant méchamment le poignet.

– Je risquerai de jouer aux fléchettes avec ! riposte-t-elle, cinglante.

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