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C’était le royaume le plus proche de celui de la reine, à vol d’oiseau, et pourtant même les corbeaux ne volaient pas jusque là-bas.
Vous croyez peut-être avoir déjà lu cette histoire. Celle d’une jeune reine sur le point de se marier. De nains courageux, honnêtes et travailleurs. D’un château prisonnier des ronces et d’une princesse qui, dit-on, aurait été maudite par une sorcière et condamnée à dormir à jamais.
Mais cette fois-ci, pas de noble prince chevauchant son fidèle destrier. Ce conte de fées est tissé avec un fil maléfique, qui se tort et s’enroule, éblouit et étincelle. Une reine pourrait bien devenir une héroïne, si une princesse devait être secourue...
J'ai bien aimé cette histoire et les illustrations. Je ne savais pas trop à quoi m'attendre quand j'ai entamé ma lecture mais j'ai été agréablement surprise par la légèreté de l'histoire.
Les mots me manquent pour dire à quel point ce conte est magnifique, magnifique étant un euphémisme, avec des illustrations tout autant magnifiques au service du conte.
Gaiman fait toujours des collabs avec de grands artistes (McKean, Doran, Russell...) et Riddell ne fait pas exception à la règle. J'avais adoré ses illustrations de quelques œuvres courtes/poèmes de Gaiman (dont celles de Dark Sonnet, exquises) et j'aime toujours autant son style, qui s'adapte très bien à la nouvelle de Gaiman. La Belle et le Fuseau avait déjà été publiée dans le magnifique recueil de nouvelles Signal d'alerte il y a plusieurs années et les illustrations de Riddell subliment cette œuvre.
Excellente réécriture de ces deux contes, inattendue et rafraichissante avec une princesse qui est celle qui va tenter de sauver l'autre. L'histoire est une sympathique histoire écrite avec brio par Gaiman (j'aurais bien continuer un peu avec ces personnages) et qui en plus bénéficie des magnifiques illustrations de Chris Riddel (j'ai particulièrement aimé sa Blanche-Neige)..
Une autre vision de 2 contes célèbres, qui s'entremêlent de façon astucieuse. Ici point de chevalier sur son blanc destrier, mais une jeune reine au caractère bien trempé, qui plutôt que de suivre la voie tracée pour elle, choisit de partir à l'aventure. Les illustrations sont magnifiques et apportent un plus à l'histoire.
C’est une réécriture très originale, aussi bien parce qu’elle mélange deux contes – la Belle au Bois dormant et Blanche Neige – que parce que les codes traditionnels du conte sont ici réinventés : en effet, le rôle normalement endossé par les princes charmants est ici donné à une reine, un choix pour le moins rafraîchissant, et qui l’est d’autant plus que cette même reine refuse de se plier aux usages de son royaume en préférant partir à l’aventure plutôt que de se marier. Je ne dirai rien du « twist » de fin, même s’il rejoint cette idée de se démarquer de toutes les réécritures qui ont déjà pu être faites. Enfin, en ce qui concerne les dessins, je les ai trouvés très beaux et parfaitement en accord avec tout le reste. Une très bonne découverte, en somme.
Une reine, dont le physique fait fortement penser à Blanche Neige, sort d'un sommeil d'une année. Dans une semaine elle devra se marier et l'idée ne l'enchante aucunement : « ce serait la fin de sa vie »... Néanmoins, la reine n'a pas le temps de s'inquiéter davantage pour son avenir, car trois de ses amis nains viennent la prévenir qu'un mal se répand à vive allure à quelques milles du royaume : un sommeil magique frappe les habitants... Bientôt, c'est le royaume de la reine qui sera touché si personne n'agit ! La reine décide d'aller affronter ce mal, après tout, elle a dormi un an, elle est certainement la mieux placée pour braver la malédiction...
Elle choisit d'aller délivrer la princesse ensorcelée, endormie depuis près de cent ans dans un château entouré de ronces... Elle laisse donc son fiancé et sa robe de mariée et revêt sa cotte de maille, se pare de son épée et enfourche son cheval. Accompagnée de ses amis nains, elle se lance dans une aventure extraordinaire... Parviendra-t-elle à sauver son royaume ? A moins que la princesse endormie ne soit pas celle que l'on croit... ?
S'inspirant des contes de Blanche Neige et de La Belle au bois dormant, Neil Gaiman nous offre ici un superbe conte moderne avec une héroïne un brin féministe... Cette histoire dépoussière les stéréotypes sur les princesses : notre héroïne préfère l'aventure au pouvoir, elle fait ses propres choix, n'a pas besoin d'un chevalier à son service, en somme, elle est maîtresse de son destin.
Le lecteur pense naïvement connaître la tournure que prendra l'histoire... C'est sans compter sur l'auteur qui nous offre une autre vision des contes bien connus. Dans La Belle et le fuseau, les apparences sont trompeuses et c'est cela qui fait le piquant de ce récit.
La mise en page est très soignée, le récit est parfaitement illustré par Chris Riddell. Les illustrations, de style baroque, sont en noir et blanc avec, par endroit, une touche de doré (elles sont également toutes présentées dans des cadres dorés). Les détails font toute la particularité de ces illustrations, mais elles sont également très expressives, voire même inquiétantes à l'occasion (les regards vides des « dormeurs », par exemple).
Deux contes détournés, proches du fantastique et de la fantasy, faisant naître une réflexion sur le rôle des femmes dans notre société...
Un joli conte revisité, j'ai beaucoup apprécié la reine, qui, pour une fois ne fait pas partie des vilains. Les dessins sont très jolis ce qui rend le tout agréable
Une bonne intrigue, avec quelques touches d’humour qui amènent un peu de pep’s. L’histoire en elle-même est magnifique, tout comme l’exil,us traitons qui l’accompagnent. C’est très agréable à lire, ça se lit tout seul !
Résumé
C’était le royaume le plus proche de celui de la reine, à vol d’oiseau, et pourtant même les corbeaux ne volaient pas jusque là-bas.
Vous croyez peut-être avoir déjà lu cette histoire. Celle d’une jeune reine sur le point de se marier. De nains courageux, honnêtes et travailleurs. D’un château prisonnier des ronces et d’une princesse qui, dit-on, aurait été maudite par une sorcière et condamnée à dormir à jamais.
Mais cette fois-ci, pas de noble prince chevauchant son fidèle destrier. Ce conte de fées est tissé avec un fil maléfique, qui se tort et s’enroule, éblouit et étincelle. Une reine pourrait bien devenir une héroïne, si une princesse devait être secourue...
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