Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Résumé
L’écriteau qui vous prévient obligeamment que vous vous trouvez à Mexico est bien superflu. Ça grouille tellement de Mexicains dans tous les coins qu’il faudrait être bouchée pour ne pas deviner immédiatement qu’on est au Mexique. Et, si ça ne suffisait pas, il y a, de l’autre côté de la rue, juste en face de l’hôtel, une grande pancarte annonçant Plaza de Tor os, ce qui veut dire que c’est à cet endroit-là qu’ont lieu les courses de taureaux. C’est d’ailleurs pour ça que je suis venue au Mexique, pour voir les courses de taureaux.
Cette envie m’est venue lorsque j’ai entendu dire que, dans les courses de taureaux, il y a quelque chose qu’on appelle « la minute de vérité ». Moi, j’avais toujours cru que ça arrivait aux femmes, sur le coup de minuit, dans leur boudoir, mais ça vient peut-être de ce que je suis née à Hollywood et que j’y ai été élevée.
Vous vous souvenez de moi ? Je m’appelle Mavis Seidlitz. Des tas de gens prétendent que je suis une blonde évaporée, mais c’est ridicule,
Afficher en entier