Avec la parution de la trilogie de La Bête, David Goudreault a ébranlé le paysage littéraire québécois. Repoussant les limites de l'humour grinçant, il a offert un regard à la fois dur et tendre sur les oubliés de la résilience, grâce à un protagoniste qui, en dépit de sa violence, est touchant de naïveté.Les lecteurs trouveront dans cet ouvrage les textes intégraux de La Bête à sa mère, La Bête et sa cage et Abattre la bête, accompagnés respectivement de préfaces inédites de Kim Thúy, Manu Militari et Fred Pellerin, ainsi que d'un mot de l'auteur.
La chambre était petite et humide. Dans tout le sous-sol, il régnait une odeur de vieilles planches mouillées. Pas intolérable, mais ça indiquait quand même un milieu propice à la moisissure. Contrairement aux planches, je ne pourrirais pas longtemps ici. Surtout que j'avais omis de racheter des pompes pour mon asthme. Je crachais déjà mes poumons, avec un peu de sang, au réveil. C'était moins pire quand je me réveillais passé midi. «Le monde appartient à ceux qui se lèvent», a dit Shakespeare, un auteur européen.
J'ai reçu La Bête intégrale par la poste juste avant Noël l'an passé, d'une amie qui qualifiait d'hérésie le fait que je ne connaisse pas David Goudreault. J'ai vite compris ce qu'elle entendait par là.
D'une manière qui relève du génie, cet auteur compte parmi ceux capables de susciter chez leurs lecteurs un amalgame de sentiments contradictoires. Sa Bête, dont le véritable nom n'est révélé qu'à un seul endroit de l'histoire (ce qui n'est pas anodin, comme plusieurs autres détails du livre, qui en font une oeuvre à lire et à relire, et même à enseigner en littérature, à mon avis), dégoûte souvent et horrifie parfois, tout en éveillant la compassion à l'occasion et l'amusement par moments. Ici, on déteste et condamne le personnage; là, on ne peut s'empêcher d'avoir pitié et de lui souhaiter le succès de sa quête; ailleurs encore, on fait un examen de conscience devant ses critiques pertinentes, ou bien on éclate de rire à l'un de ses traits d'esprit bancals.
Bref, si vous ne connaissez pas encore David Goudreault, je vous encourage fortement à mettre fin à votre hérésie et à découvrir sa plume magistrale ainsi que son anti-héros marquant.
Je me suis permise d'écrire mon commentaire en 4 partie distincte pourque ceci est 3livre en un
La bête a sa mère :
J'ai terminé la bête a sa mère avec tellement d'éxasperation , comment un être humain peu-il être autant déconnecté de la société et pourtant
" fonctionné" de la sorte sans répercution et en s'en tirant a si bon conte a chaque fois. Plus l'histoire avançais plus je me disais imposible de ressentir plus de mépris pour un personage et pourtant chaque chapitre en rajoutais une couche.
J'étais complètement sous l'emprise du mystère de sa mère, j'avais si hâte a cet rencontre.et la fin LA FIN ! J'ai sauté sur la bête et sa cage j'avais besoin de reponse.
La bête et sa cage :
Je me doutais fortement en lisant les 3titre dernières mon livre que la bête et sa cage serais une prison.la préface de Manu Militari me rendais extrêmement fébrile de commencé ma lecture étant une grande fan de ses album et de sa plume.
Ont peu doré que sa commence asser rought , disont que je n'est aucune expérience pour ce qui est de la prison mais s'est expérience, ses sévice et l'ambience sont exactement comme je me l'imaginais.La touche d'humour a et d'innocence du personage principal rend le tout un peu plus léger sans pour autant tourné a la comédie. L'exaspération du personage principal se transforme tranquillement en pitier, Donnez lui de l'aide psychologique please.
Abattre la bête.
J'était tellement exaspérer enfin il étais interne.Se fut de trop courte durée. Le personage vie de plus en plus dans une réalité qu'il est le seul a vraiment comprendre .
J'ai dévoré la fin.j'ai bien aimé le dénouement de cette histoire.
Super belle trilogie!
L'auteur nous apporte une histoire noir remplie d'humour pour allégé le tout.j'ai rie très souvent le personage est presque attachant a la fin.
C'est vraiment excellent comme livre et en même temps troublant de se mettre dans la peau d'un personnage aussi dérangé et qui a eu un parcours aussi cabosseux. Excellent auteur et je conseille fortement cette trilogie!
Résumé
Avec la parution de la trilogie de La Bête, David Goudreault a ébranlé le paysage littéraire québécois. Repoussant les limites de l'humour grinçant, il a offert un regard à la fois dur et tendre sur les oubliés de la résilience, grâce à un protagoniste qui, en dépit de sa violence, est touchant de naïveté.Les lecteurs trouveront dans cet ouvrage les textes intégraux de La Bête à sa mère, La Bête et sa cage et Abattre la bête, accompagnés respectivement de préfaces inédites de Kim Thúy, Manu Militari et Fred Pellerin, ainsi que d'un mot de l'auteur.
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