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La blancheur qu'on croyait éternelle



Description ajoutée par x-Key 2016-02-17T23:09:16+01:00

Résumé

Mathilde et Lucien vivent à Paris, dans le même immeuble, mais ne se connaissent pas. Pourtant, ils se ressemblent.

Il n’aime pas danser, elle n’aime pas se déguiser ; il aime les films avec Jean-Louis Trintignant, elle nourrit une passion secrète pour Romy Schneider ; il a gardé le ticket de métro du premier jour où il est allé au cinéma seul, elle a toujours dans son sac le foulard que lui a offert Julien.

Mais surtout, ils ont, depuis l’enfance, la même impression persistante de ne jamais se sentir à leur place nulle part. Ces deux sentimentaux parviendront-ils à se reconnaître dans une foule plus vraiment sentimentale ?

"Ce deuxième roman de Virginie Carton va au-delà de la pure romance en cinémascope. Il brosse deux portraits sensibles, avec tact, pudeur, humour. C'est délicieux. "

Delphine Peras, L'EXPRESS.

"L'auteur fait mouche avec cette comédie romantique, douce-amère, intelligente et drôle."

Eliane Girard, PRIMA

(Source : LGF - Le livre de poche)

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Classement en biblio - 21 lecteurs

extrait

« Il fixait la route avec gravité comme l’aurait fait son héros. Il imaginait la caméra filmer son profil concentré et en ressentait une jouissance indicible. » (page 14)

« Si les vieilles voitures ont du charme, elles ont aussi l’âge de leur moteur. » (page 25)

« Que restait-il de Deauville sans Trintignant ? » (page 28)

« Les rentrées d’argent n’étaient pas pharaoniques, aussi Lucien reportait-il à une date indéterminée le moment où il vivrait avec style. » (page 33)

« Pour la première fois, elle emménageait avec un homme et, pour elle, vivre avec un homme, c’était devenir une femme. » (page 77)

« Elle se disait que grand-mère, ça n’avait rien à voir avec mère. C’était plus doux, ça bougeait moins et ça racontait des histoires. » (page 82)

« Il suffit parfois de changer de costume pour que les autres nous regardent autrement. » (page 86)

« Ils avaient pris deux trains quand lui ne parvenait pas à se décider à monter dans le premier. » (page 93)

« Peut-on grandir lorsque l’on n’a jamais été responsable que de soi ? » (page 93)

« Lucien se demandait à quel moment de sa vie il avait été jeune. » (page 119)

« Lorsque le présent ne propose rien, que l’avenir est incertain, on est parfois tenté de retrouver ce qu’on a bien connu, de revenir là d’où l’on vient. » (page 129)

« Penser l’avenir le fatiguait. » (page 140)

« Mathilde détestait parler de maquillage, ou de coiffeur, ou de vêtements. Elle trouvait que cela était de l’ordre de l’intime, de la poésie que l’on mettait à paraître ce que l’on voulait paraître. Que les autres devaient se contenter d’être spectateurs sans chercher à entrer dans nos coulisses. » (page 141)

« Au moment d’entrer dans la cour, Mathilde regarda ce spectacle humain, la fresque d’une jeunesse aboutie au rang d’adulte, des garçons, des filles qu’elle avait croisés sur sa route, qui n’avaient de commun avec elle que d’avoir fait les mêmes études, la même année, sans doute pas pour les mêmes raisons. (page 144)

« Il lui fallait de toute urgence rentrer à Paris.

Son voisin connaissait Alain Souchon.

Sa vie à Paris était donc trépidante. » (page157)

« Mathilde était de ces gens qui doutent, les gens qui trop écoutent leur cœur se balancer. » (page 164)

« C’est le problème avec les engagements : la plupart du temps, on essaie de s’y tenir. » (page 166)

« Lucien se disait qu’être adulte, c’était être joyeux, à condition de ne pas toucher d’ampoule électrique dans son bain. » (page 173)

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Commentaires récents

Or

J'ai passé un très bon moment. Un roman joliment mélancolique. De belles références musicales d'une autre époque.

Les deux personnages principaux ont une personnalité très touchante.

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Bronze

Un roman sympathique et facile à lire mais pas transcendant. Ca ne révolutionne pas le genre de la romance.

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Argent

C'est un livre que j'ai dévoré, lu d'une seule traite. La fin est connue d'avance, mais on se prend à découvrir le cheminement des deux héros. De plus, les personnages secondaires se révèlent excellents et prenants.

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Argent

https://beyondthelinessite.wordpress.com/2016/07/03/parlons-bouquin-la-blancheur-quon-croyait-eternelle/

Je suis assez partagée à propos de ce livre. Déjà j’ai été assez surprise car, alors que je m’entendais à une romance, j’ai découvert une sorte de portrait croisé. En soi ça ne m’a pas dérangé car l’auteur sait sublimer ses personnages. Sa plume est délicate et sensible et je me suis reconnue dans certains des ressentis de Mathilde et Lucien. Je ne dirais pas que ceux-ci sont attachants mais ils sont touchants, ils vivent avec l’impression d’être deux passagers à quai qui auraient loupé le train et on a envie de les prendre sous notre aile et de leur dire que tout ira bien.

Si j’ai été légèrement déçue c’est que je m’attendais à quelque chose de frais, de doux et d’un peu régressif comme le laissait penser la couverture mais j’ai trouvé un ton plus amer que prévu. D’ordinaire j’aime les promenades nostalgiques que peuvent nous offrir certains livres, films ou lieux mais ici j’ai trouvé que l’auteur jouait beaucoup trop sur cette corde. Si une touche de nostalgie peut éclairer un roman de la douce lueur du passé une grosse couche ne fais que ternir le présent et c’est exactement cette sensation que j’ai eu. Même si le livre laisse entrevoir le bonheur, j’ai trouvé le ton parfois trop monocorde. Par exemple l’auteur revient très souvent sur des passages de l’enfance de Mathilde et Lucien mais s’attarde uniquement sur les moments douloureux : les déceptions d’enfant, les humiliations d’école, les peurs… On comprend rapidement que leurs jeunes années n’ont pas été les meilleures bien qu’elles n’aient été marqué par aucun drame particulier. Mais l’enfance est également faite de son lot de joies et de petits bonheurs et j’ai eu l’impression que l’auteur ,en éclipsant quasiment ces moments là, ne fais que la moitié de deux portraits et forme ainsi des personnages incomplets auxquels je n’ai pas pu m’attacher.

Au final, deux jours après avoir fini le roman, leurs noms commencent déjà à s’effacer de ma mémoire ce qui est dommage car c’est tout de même une belle histoire et un livre avec lequel j’ai passé un moment agréable et poétique.

7/10

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Diamant

Un roman sans prétention, simple, mais efficace.

"La blancheur qu'on croyait éternelle" est un livre à découvrir. Il se lit rapidement et laisse derrière lui un sentiment de bien-être.

Son histoire, ses personnages, la façon dont il est écrit ... tout est plaisant. Je vous invite à découvrir ce roman, qui, j'en suis sûre, vous fera passer un agréable moment de lecture.

http://www.leslecturesdelily.com/2014/09/la-blancheur-quon-croyait-eternelle.html

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Argent

Un roman frais , sympathique à lire, dans lequel on retrouve les paroles de toute une génération de chanteur, qui colle à la peau des personnages. Un joli roman qui tend à prouver que même les personnes qui ont peu confiance en elles peuvent trouver le bonheur.

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Lu aussi

Aujourd’hui je vais vous parler d’un petit livre un peu doudou. Un livre à lire pour un petit moment de bien-être même si je n’ai pas complètement accroché, peut-être à cause de la lenteur qui le caractérise.

[...]

Virginie Carton traite la solitude de ces deux êtres avec une écriture pleine de pudeur, de douceur et un soupçon d’humour qui vous fera sourire. Vous l’aurez sans doute remarqué en lisant le titre, impossible d’échapper à la mélodie de L’Amour à la Machine d’Alain Souchon. Mais ce n’est pas la seule note musicale du roman. Non celui-ci est fourni avec une playlist de musiques d’un autres temps mais que l’on n’a jamais oubliées. J’adore ce principe de playlist et ici les chansons collent parfaitement à l’ambiance du roman, c’est un petit plus, un petit plaisir que de les réentendre. Un bonus qui nous fait du bien. Il y a un autre bonus dans ce bouquin. [...]

L'intégralité ici: http://lune-et-plume.fr/la-blancheur-quon-croyait-eternelle-de-virginie-carton/

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Date de sortie

La blancheur qu'on croyait éternelle

  • France : 2014-03-19 (Français)

Activité récente

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Les chiffres

lecteurs 21
Commentaires 7
extraits 2
Evaluations 8
Note globale 6.75 / 10

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