La boîte à merveilles
Auteur
- Ahmed Sefrioui (Écrivain)
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Classement en biblio - 105 lecteurs
extrait
J'étais un enfant seul. Cela, je le savais. Point farouche de nature, j'ébauchai de timides amitiés avec les bambins de l'école coranique, mais leur durée fut brève. Nous habitions des univers différents. J'avais un penchant pour le rêve. Le monde me paraissait un domaine fabuleux, une féerie grandiose où les sorcières entretenaient un commerce familier avec des puissances invisibles. Je désirais que l'Invisible m'admît à participer à ses mystères. Mes petits camarades de l'école se contentaient du visible, surtout quand ce visible se concrétisait en sucreries d'un bleu céleste ou d'un rose de soleil couchant."
Afficher en entierCommentaires récents
Lu dans le cadre d'un cours, je pense que c'est l'un des livres les plus ennuyants et les plus inintéressants qui soit passé entre mes mains.
Peut être un petit, mais alors tout petit, plus du fait que ça nous fait quand même découvrir a travers les yeux de l'auteur, la vie au Maroc a cette époque. Mais sinon tout le reste est aussi ennuyant que le personnage principal, et les évènements.
Un petit livre que j'ai du me forcer a lire la veille de mon examen.
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Les trois quarts du roman ne sont que longueur et ennui, mais j'avoue que je me suis retrouvée au fur et à mesure de ma lecture un peu attachée en quelque sorte aux personnages, à Sidi Mohammed et à l'atmosphère du livre.
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j'ai bien aimé le roman il lie la vie traditionnelle des marocains à l'époque avec toute sorte d'éthique, mœurs et les us.
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nice gg bien cooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooool
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c'est un des très bon livre qui raconte une histoire d'origine marocaine pure; l'écrivain a inclue des mots en arabe marocaine comme : dar chouwafa ; gnawa ... et des pesages de cette culture comme apporter des enfant un bain maure; et autant d'autres . je trouve que vraiment que AHMED SAFRIWI a utiliser un champs lexical vague et varié ; je l'ai vraiment adoré ce livre ; il est tellement bon à lire ; il représente aussi la vie marocaine ancienne . plain de belles choses . :) vous devez vraiment le lire car c'est un grand plaisir de vivre la vie des autres sans le savoir ...
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Etant marocaine, j'ai apprécié me plonger dans cet univers du passé, ampli de superstition, d'anciennes coutumes... Lu dans un cadre scolaire mais je ne regrette pas une seconde de l'avoir découvert ! :)
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Malgré les villas somptueuses , le tgv et le tous dérière ce fameux tableau du Maroc on voit bien qu'il existe encore la superstition, les croyances et le tous et c'est ce qu'Ahmed Sefrioui nous a citer dans sa biographie !!
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Résumé
L'auteur-narrateur personnage raconte son enfance alors qu'il avait six ans. Par un va et vient entre le point de vue de l'auteur-narrateur adulte et de l'auteur-narrateur enfant , le lecteur entre dans le monde solitaire du narrateur qui malgré quelques timides amitiés ne semble compter comme véritable ami que la boite à merveilles. En faisant le bilan de son enfance, l'auteur raconte ses journées au Msid auprès du fqih et de ses condisciples (=collègues), la maison de Dar Chouafa et les habitudes de ses habitants ainsi que le souvenir de fierté de sa mère concernant ses origines et son habitude à passer du rire aux larmes en plus de son art de conter les événements d'une façon qui passionnait son auditoire. De part son genre, le récit reste un véritable témoignage du vécu de ses personnages par la fréquence des noms de quartier qui constituent une véritable cartographie géographique. La figure calme du père est mise à rude épreuve dans le marché des bijoux quand il vient aux mains avec le courtier avant d'acheter les bracelets or et argent à sa femme.Cet incident précède l'annonce de la perte du capital dans le souk des haïks ce qui fait basculer le niveau de vie de la famille dans la pauvreté. Après avoir assuré le quotidien de sa famille, le père part aux environs de Fès pour travailler comme moissonneur. Après un mois d'absence, il rentre chez lui pour apprendre le divorce de Moulay Larbi avec sa seconde épouse, la fille du coiffeur, ce qui lui permet d'exprimer son soulagement quant à ce dénouement.
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