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J'avais toujours pensé que le destin était très lâche. Je le voyais comme un monsieur malveillant qui multipliait les coïncidences, pour son compte, afin de vous faire croire que les choses arrivaient par hasard, alors qu'il avait déjà décidé de tout.

(Page 21)

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Spoiler(cliquez pour révéler)(...) Je serrai le bouclier dans ma main. Le bouclier se mit alors à me parler, ou plutôt à parler à travers moi.

- Du balai! Du balai! criai-je. Dépêche-toi de filer, espèce de grenouille de bénitier!

Je m'étonnai le premier de ce que je venais de dire, mais c'était comme si j'avais dans la tête toute une série d'insultes et de noms nouveaux, qui ne demandaient qu'à sortir de ma bouche.

Alors je les laissai sortir.

- Rentre chez toi, va bambocher avec ta famille de pourceaux! Qu'est-ce que tu attends, tête d'oignon? Prends garde! Pour te botter les fesses, je suis prêt à appeler Atlas, Goliath (...) et Gargantua!

Cette liste interminable de noms venait tout droit du bouclier, qui était aussi magique que la lance mais qui, au lieu d'avoir été forgé pour servir un héros irlandais, avait été fabriqué pour l'anniversaire d'un géant farceur et bon vivant, d'un joyeux luron, dont l'esprit m'accompagnait.

Quelle que fût la raison de mon courage, le géant sembla très impressionné. Au point qu'il... recula.

Il recula vraiment. Il ne fit pas un , mais deux pas en arrière. Alors, je perdis toute retenue.

- Rentre chez toi! Lèche-poêles, fabricant de galoches, rentre immédiatement! Éplucheur de fèves, allumeur de réverbères, vendeurs de poulets, déguerpis! Écorcheur de chevaux morts, pêcheur de grenouilles, écumeur de marmites, disparais! Vendeur d'allumettes, traîne-savates, cireur de chaussures, chasseur de rats, hors de ma vue!

(pages 204 & 205)

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J'avais entendu dire un jour que la peur attire plus que la joie. Que l'horreur fascine. C'était sacrément vrai. J'étais partagé, tiraillé entre le besoin de m'échapper le plus vite possible, et celui de rester, de regarder.

(page 182)

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Je me dis que la seule différence entre une école et une prison, c'est qu'avec un peu de chance on peut sortir de prison en moins de cinq ans.

(page 16)

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La porte s'entrouvrit, et une petite main blanche aux doigts longs et fuselés se glissa par l'entrebâillement Puis un bras, une épaule apparurent, et enfin…

Je crois que je suis resté bouche bée, la première fois que j'ai rencontré Aiby Lily. Et je crois que je le suis resté si longtemps, qu'elle m'a demandé :

-Tu te sens bien ?

Aiby était grande, maigre,avec de longs bras et de longues jambes. Des cheveux noirs et lisses retombaient en cascade sur ses épaules, ses yeux étaient d'un vert lumineux. Elle était...eh bien, pas vraiment habillée : c'était comme si des vêtements lui étaient tombés dessus quand elle avait ouvert son armoire.

Elle portait deux Tee-shirts, un jean déchiré, une ceinture bizarre et de curieuses chaussettes rayées.

Elle était splendide. C'était la plus belle fille que j'avais jamais vue.

[...]

Le ciel gronda, et je laissais l'eau me piquer les yeux, couler sur la peau. J'ouvris grands les mains. Il était normal qu'il pleuve : je venais d'avoir un véritable coup de foudre. [...]

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