Il y avait assez de lumière filtrant des fenêtres de la façade pour qu’il puisse distinguer le pied de l’escalier. Agrippant la balustrade, il se lança à l’assaut des marches et se retrouva dans l’obscurité. Se guidant de sa main sur la rambarde, il monta les marches jusqu’à un palier où il tendit l’oreille pour se repérer. Les grondements rageurs venaient de la gauche.
s le couloir, couvrant la zone de son canon, prêt à tirer.
Il faisait presque complètement noir, si l’on exceptait une petite mare de lumière, à l’autre bout du couloir. Elle venait d’une lampe torche.
Jenson voulait cette lampe. Il en avait besoin. Mais elle se trouvait à l’autre bout du couloir, bien trop près de la zone d’obscurité d’où filtraient des halètements sourds et rapides.
Relevant le canon de son arme, il se précipita vers la torche d’un pas lourd, sa respiration saccadée couvrant l’autre, plus rauque. Il marcha sur quelque chose qui aurait pu être une massue, sauf que c’était mou. Un bras, peut-être. Puis son pied cogna contre un obstacle dur et il tomba de tout son long, sentant ses dents s’entrechoquer avec l’impact. Le poids du fusil écrasa ses phalanges contre le sol.
Il étendit la main droite pour attraper la torche et en orienta le rayon vers l’origine des grognements.
Les mâchoires de la créature lâchèrent la nuque de l’enfant. Elle tourna la tête. La peau de son visage était bouffie et blanche comme celle d’un ventre de poisson. On aurait dit qu’elle souriait. Elle se tortilla pour se libérer du poids de l’enfant.
Jenson laissa tomber la lampe et tenta de relever le canon de son arme.
Il entendit un faible ricanement, puis la bête le prit.
Quand j'ai pris ce livre, j'ignorais que son autre titre était La cave aux atrocités, sinon je me serais peut-être abstenue. Comme je l'ai déjà mentionné, le gore n'est définitivement pas ma tasse de thé, à moins que l'auteur arrive à faire passer la pilule par la qualité de son écriture. Et quand le sexe s'ajoute au gore, à plus forte raison s'il s'agit de pédophilie, on risque de m'avoir perdue avant même que j'ouvre le livre.
Dans ce roman donc, Roy, père pédophile, sort de prison et cherche à se venger de sa femme et à faire subir d'autres sévices à la petite fille.
Qualifier l'atmosphère de malsaine est un euphémisme. J'ai quand même lu le bouquin, mais le dégoût l'a emporté sur le reste. Le style ne l'a pas sauvé, puisque l'écriture est plus que simple.
Les amateurs du genre y trouveront probablement leur compte, ça n'a pas été mon cas.
Décidement, je n'ai pas beaucoup de chance en ce moment avec mes lectures... C'est la première fois que je m'essaie à ce genre (horreur) et franchement, c'est juste une parodie d'horreur... Je n'ai même pas frissonné en lisant ce livre. C'était même risible: je me voyais devant un mauvais film d'horreur, tout était prévu... Bref, j'aurais dû commencer par un autre titre... Sans compter les innombrables fautes d'orthographes, conjugaison et grammaire faites par l'éditeur qui parfois rendent incompréhensible ce roman! 7,2/ 10 (note à ce jour sur BN) me semble vraiment très bien payé, pour ma part, ce sera un 4/10...
Un livre très sombre et trés trés étrange. A l'époque j'étais plutôt jeune donc j'ai été assez troublée par la fin du livre. Aujourd'hui elle me surprend plutôt en effet celle ci est totalement inattendu, comme fait à la va vite. Cependant le livre reste vraiment captivant et la lecture n'est pas compliqué.
Après la lecture de ce livre ... la seule chose que je dirais est âmes sensibles s'abstenir, l'auteur nous livre ici tout ce qu'il y a de plus horrifique en nous offrant une représentation réaliste du côté le plus sombre de l'homme et de ce qu'il pourrait faire de pire et parallèlement tout simplement un "monstre". Des passages m'ont choqué, et la fin m'a laissé sans voix. J'en vient à penser qui est le plus dangereux l'Homme ou "le monstre" de cette Maison de la bête. Honnêtement je sais la réponse mais je n'en dirai pas plus. Ce fut une lecture qui ne m'a vraiment pas laissé indifférente, pourtant je n'ai pas eu de coup de cœur
C'est pas que je n'ai pas appréciée mais certain passage sont si agréable à lire que ça m'a coupée dans mon envie. En ma lecture je ne m'attendais pas du tout à trouver ce genre de scène dedans.
quelle déception à la fin de ce roman ! je m'attendait à autre chose... dommage, on m'en avait fait des éloges. J'ai vraiment aimé sauf le dernier chapitre où tout est "tarabiscoté"
Le résumé de l'histoire nous parle d'un monstre qui vit dans une cave, en fait c'est un peu plus compliquer que ça!!! Et là tout va plus vite, tellement vite qu'on ne s'attend pas du tout à ce qui arrive. Une fois l'épilogue lu on se dit : c'est pas possible!
mais si vous voulez la suite il vous fraudas le lire ...
Résumé
Donna enjamba un tapis roulé.
Et écrasa une main.
Elle hurla de nouveau.
C'était une femme, à moitié dévorée. De la jambe gauche, il ne restait qu'un bout de fémur. L'autre était sectionnée à la hauteur du genou.
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