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« À voir l'expression des quatre frères Bridgerton, l'arrivée d'Éloïse ne les enchantait guère.

—   Vous tirez ? Sans moi ?

— Point du tout, Éloïse, nous admirons juste ces armes.

—   Anthony, me prendrais-tu pour une idiote ?

— Bien sûr que nous tirons. Sophie s'ennuie toute seule. Tu devrais aller lui tenir compagnie.

—   Sophie est en train de lire !

— Un roman captivant, commenta Sophie au passage.

— Pourquoi ne ferais-tu pas de même, Éloïse ? C'est excellent pour l'esprit, conseilla Benedict.

—   Assez ! Donnez-moi un pistolet.

— Nous n'en avons pas assez pour tout le monde, répondit Anthony.

—   Dans ce cas, il suffira de partager.

— Tenez, dit alors Phillip en tendant le sien à Éloïse. Prenez le mien.

— Merci, cher ami. Il me semble avoir entendu Anthony qui hurlait « Deuxième manche ». J'en déduis que vous avez tous tiré une fois chacun, n'est-ce pas ?

Silence général.

— Quelque chose ne va pas ? demanda Phillip en s'adressant aux quatre frères.

—   C'est un monstre, marmonna Benedict.

— J'abandonne, déclara Grégory. D'ailleurs, je ne tire jamais le ventre vide.

— J'ai bien peur qu'il ne reste plus rien à manger. J'ai tout englouti, précisa Colin sans vergogne.

—  Avec un frère aîné comme Colin, seul un miracle a pu me sauver de la famine lorsque j'étais encore enfant.

—  Qui veut apprécier son repas doit savoir presser le pas, mon cher Grégory.

—  Colin ! Grégory ! À vous entendre, on croirait que vous avez grandi à l'orphelinat ! gronda Anthony d'un ton réprobateur.

—  Eh bien, mes frères, allons-nous tirer à la fin?

Éloïse leva le bras et, sans même paraître ajuster son tir, elle fit mouche du premier coup.

—  Où avez-vous appris à viser comme cela ? demanda Phillip, ébahi.

—  Je ne saurais vous le dire. J'ai toujours su tirer ainsi.

—  C'est une abomination, je vous le dis, commenta Colin.

—   Mais je trouve que c'est extraordinaire, Monsieur.

—   Vraiment, Phillip ?

—  Bien sûr, Éloïse. Si jamais on attaquait mon domaine, je saurais qui envoyer au front. »

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— Pourquoi tous ces cris ? poursuivit Sir Phillip.

— C'était Amanda.

— Et pourquoi Amanda hurlait-elle ainsi ?

— A cause d'une grenouille, expliqua-t-elle.

— Une grenouille ?

— Oui. Dans mon lit.

— Je vois, dit Phillip. Avez-vous la moindre idée de la façon dont elle s'est logée là ?

— C'est moi qui l'y ai mise, rétorqua Amanda.

— Peut-on savoir pourquoi ?

— J'en avais envie, répondit-elle en haussant les épaules.

—Vous en aviez envie ?

—Oui. Je voulais élever des têtards.

—Dans votre lit ?

—C'est un endroit chaud et douillet.

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— Silence, voulez-vous ? aboya Anthony. J'essaie de me concentrer.

— Un tel goût pour le silence ne te servira point en temps de guerre, lança Colin.

— Colin ! Je vais te massacrer ! Quelqu'un voit- il un inconvénient à ce que je l'assassine ? lança Anthony.

— Vous n'y pensez pas, mon cher, intervint Sophie qui était revenue entre-temps avec la limonade. Imaginez un peu le désordre, et puis tout ce sang...

— C'est pourtant un excellent engrais, commenta Phillip.

— Ah, dans ce cas... Faites donc, mon ami.

— Allez-vous vous taire à la fin ? Euh... Pardon, je ne m'adressais pas à vous, chère Sophie, s'excusa Anthony.

— Vous m'en voyez fort aise.

— Ne t'avise pas de menacer mon épouse, gronda alors Benedict.

Anthony se tourna vers son frère et le foudroya du regard.

— Vous mériteriez tous autant que vous êtes le supplice de la roue !

— À l'exception de Sophie bien entendu, commenta Colin.

— Sais-tu que ce pistolet est chargé, mon cher frère ? répondit Anthony.

— Ah, Anthony, je m'estime heureux que le fratricide soit tenu pour un acte des plus vulgaires...

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« —   Ne craignez rien, Éloïse.

—   Je n'ai pas peur.

—   Comment ça ?

— Je suis certes nerveuse, mais je n'ai nulle crainte.

—   Vous êtes sublime, ma douce.

— C'est ce que je répète à qui veut l'entendre, pourtant il semblerait que vous soyez le seul à me croire.

Phillip laissa échapper un gloussement amusé. C'était la deuxième fois qu'elle le faisait rire, et il remerciait Dieu de lui avoir donné une épouse aussi délicieuse. Il prit son visage entre ses mains, l'embrassa une fois encore, puis il inonda son corps de baisers, en prenant soin de ne pas s'aventurer trop près de son sanctuaire, même s'il brûlait d'envie d'en attiser le feu. Patience...

Phillip agrippa ses mollets et entrouvrit ses cuisses de velours. Il avait le souffle court et tentait de maîtriser l'impossible tension qu'il sentait monter en lui telle une lame de fond. Mais il fallait qu'il marque une pause.

—   Oh, Éloïse.

—   Phillip, vous êtes si... si... puissant.

—   Ne savez-vous donc pas que c'est exactement ce qu'un homme rêve d'entendre ?

—   Je n'en doute point. Ce doit être le genre de choses dont vous vous vantez en jouant aux cartes dans les tavernes locales, lança-t-elle avec une pointe d'ironie. »

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- Et alors ? L’avez-vous jamais … demanda Gregory en se penchant vers Phillip avec un air entendu.

- Gregory ! hurla Éloïse.

C’en était trop. Ses frères n’auraient jamais dû parler ainsi en sa présence, et s’il y avait bien une chose qu’elle ne souhaitait pas savoir, c’était si Sir Phillip avait culbuté une serveuse dont les seins étaient plus gros que des citrouilles.

- Elle est mariée. Et je l’étais aussi à l’époque, répondit Phillip.

- Il fera l’affaire, chuchota Anthony en se tournant vers sa soeur.

- Sache que je suis absolument ravie d’apprendre que tu décides de l’avenir de ta soeur adorée sur des bases aussi solides.

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Riez. Riez fort. Riez souvent. Lorsque les circonstances exigent le silence, contentez-vous alors d'un sourire.

N'acceptez aucun compromis. Sachez ce que vous voulez et faites ce qu'il faut pour l'obtenir. Et si vous doutez encore, soyez patiente. Les réponses à vos questions viendront en leur temps. Vous vous apercevrez souvent que ce que vous désiriez se trouvait juste sous votre nez..

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« Souhaitait-elle vraiment épouser Phillip cependant ? Cette question continuait à tarauder Éloïse. Elle éprouvait du respect pour cet homme, voire une certaine affection, mais de là à évoquer l'amour ! Comment prévoir l'évolution de ses sentiments à son égard ? Tomberait-elle jamais amoureuse de lui ? Le mystère restait entier.

Eloïse était toutefois convaincue qu'elle agissait pour le mieux en acceptant cette union. De toute façon, elle n'avait guère le choix, à moins de vouloir courir à sa propre ruine et de se voir condamnée au célibat. Quoi qu'il en soit, Phillip ferait un bon mari : c'était un homme honorable et honnête, et même s'il semblait parfois fort peu disert, il possédait néanmoins un certain sens de l'humour.

Et puis lorsqu'il l'avait embrassée...

De toute évidence, Phillip savait comment lui faire perdre la tête. Mais Éloïse avait toujours eu l'esprit pragmatique et restait persuadée que, même si la passion ne pouvait nuire à un mariage, elle ne saurait garantir la pérennité d'une union. »

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Éloïse était fine, sûre d'elle et tyrannique : tout ce qu'il cherchait chez une femme.

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- Vous laisserez-vous tenter par l’un de ces mets ? J’ai pris la liberté de demander à ce que l’on nous prépare un petit-déjeuner froid, lança Colin.

Phillip regarda le valet de pied : le pauvre homme semblait à deux doigts de s’effondrer sous le poids du plateau.

- Merci, c’est très aimable à vous, mais j’ai déjà déjeuné ce matin avant de quitter Romney Hall.

- Comment vas-tu ? demanda Anthony à sa soeur.

- Bien.

- Mais dis moi, te voilà bien enjouée, Éloïse.

- Rassure-toi, Anthony, si c’est le cas, tu n’y es pour rien.

- Tu as peut-être un peu faim ?

- Non.

Anthony se tourna vers Sir Phillip.

- Ne vous inquiétez pas, Phillip. D’ordinaire, Éloïse se montre beaucoup plus loquace.

Ce dernier se demandait si Éloïse allait gifler son frère, lorsque le valet de pied laissa soudain choir le plateau qui tomba sur la table avec fracas. Il fallait avouer qu’Hercule lui-même aurait eu du mal à transporter de quoi satisfaire l’appétit insatiable de Colin.

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- Dites-moi, Miles, vous croyez vraiment que je vous paye pour exprimer pareille impertinence ?

- Évidemment, et plutôt bien d'ailleurs.

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