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-Bien sûr que tu ne savais pas. Tu ignores tout d'Idris. D'ailleurs, ça ne t'intéresse pas. Ca te contrariait qu'on t'ait laissée en plan, voilà tout, alors, comme un petit enfant, tu as fait ta crise. Et maintenant, on est là, perdus, morts de froid et...

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Scène coupée du tome 3

Jace regarda Alec droit dans les yeux et il lui dit :

-Qu'y a-t-il entre Magnus Bane et toi?"

Alec inclina la tête sur le côté comme si Jace venait de le gifler ou le pousser d'un coup sec.

-Je ne... Il n'y a rien...

-Je suis au courant, rétorqua-t-il. Je ne suis pas stupide. Dis-moi la vérité.

-Il n'y a rien entre nous, répliqua Alec et en fixant son regard dans celui de Jace ajouta avec réticence :

-... Plus rien. Il n'y a plus rien entre nous. D'accord ?

-Et pourquoi ça ? Magnus t'aime vraiment.

-Laisse tomber Jace," dit Alec sur un ton d'avertissement.

Mais Jace n'avait que faire des avertissements.

-Magnus dit que c'est parce que tu es amoureux de moi. C'est vrai ?

Il y eut un moment de silence absolu. Puis Alec laissa échapper un cri d'horreur en se couvrant le visage avec les mains.

-Je vais tuer Magnus. Je vais le tuer.

-Ne fais pas ça, il tient à toi, vraiment. J'en suis certain, affirma Jace, en essayant de ne pas paraître trop embarrassé.

-Écoute, je ne voudrais pas te forcer à faire quoi que ce soit, mais peut-être voudrais-tu...

-Appeler Magnus ? Écoute, c'est fini, je sais que tu essayes de m'aider mais...

-... m'embrasser, finit Jace.

Alec manqua de tomber de sa chaise.

-QUOI ? Quoi ? Quoi ?

-Une fois, pour voir ce que ça fait.

Jace faisait de son mieux pour avoir l'air de quelqu'un qui fait ce genre de suggestion tout le temps.

-Je pense que ça pourrait aider.

Alec le regardait avec un air horrifié.

-Tu ne penses pas ce que tu dis n'est-ce pas?"

-Pourquoi je ne le penserais pas ?

-Parce que tu es le garçon le plus hétéro que je connaisse. Peut-être même le plus hétéro de l'univers!

-Exactement, répondit Jace, et il se pencha en avant pour embrasser Alec sur la bouche.

Le baiser dura approximativement quatre secondes avant qu'Alec ne le repousse avec force, en plaçant ses mains en avant comme pour se protéger d'un nouvel assaut de son ami. Il affichait la mine de quelqu'un qui va vomir.

-Par l'Ange, s'exclama-t-il. Ne refais jamais ça.

-Oh, vraiment ? sourit Jace, et le pensait presque. C'était si mauvais ?

-Comme embrasser mon frère, dit Alec un regard horrifié.

-Je savais que tu le sentirais comme ça, dit Jace en croisant ses bras sur sa poitrine. Aussi, je pense que nous devrions peut-être passer sous silence l'ironie de ce que tu viens de dire.

-Je veux bien passer sous silence tout ce que tu veux, dit Alec avec ferveur, à la condition que tu ne m'embrasses plus jamais.

-C'est d'accord, j'ai d'autres chats à fouetter de toute façon.

Jace se redressa et donna un coup de pieds dans sa chaise pour la remettre en place.

-Si quelqu'un me demande, dis que je suis allé faire un tour."

-Où vas-tu en réalité? demanda Alec, en le regardant marcher vers la porte. Tu vas voir Clary?

-Non, fit Jace en secouant la tête. Je vais à la Garde. Je vais faire évader Simon.

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— Tu sais, murmura-t-elle, Aline prétend que je ne t'intéresse peut-être plus, maintenant que ce n'est plus interdit et qu'on peut être ensemble si tu le souhaites. (Elle frissonna dans sa robe légère et croisa les bras sur sa poitrine.) C'est vrai, tu n'es plus intéressé ?

— Intéressé ? Comme si tu étais un livre ou une pièce de théâtre ?

Il s'interrompit pour trouver les mots exacts, comme quelqu'un qui tâtonne dans le noir à la recherche d'un interrupteur.

— Tu sais, je n'ai jamais vraiment cru que tu étais ma soeur. Ça me minait, mais je refusais d'y croire. Je n'ai jamais eu de sentiments fraternels pour toi. En revanche, j'ai toujours eu l'impression que tu faisais partie de moi. (Devant l'air perplexe de Clary, il grogna d'impatience.) Je m'exprime mal ! Je détestais l'idée que tu sois ma soeur. Je détestais me sentir coupable. Mais...

— Mais quoi ?

Le coeur de Clary battait si fort qu'elle en avait le tournis.

— Je voyais la joie mauvaise qu'en retirait Valentin. Il s'en est servi contre nous. Et pour ça, plus encore que pour le reste, je l'ai détesté. En même temps, j'avais besoin d'une raison de le haïr. Par moments, je ne savais plus si je devais ou non le suivre. J'ai dû faire un choix difficile... plus difficile que je ne veux l'admettre.

— Un jour, tu m'as dit qu'on avait toujours le choix, lui rappela Clary. Au final, tu as choisi l'autre camp, et c'est tout ce qui compte.

— Je sais. Je dis seulement que, si j'ai bien choisi, c'est en partie grâce à toi. Je ne peux pas me passer de toi, Clary. Et je ne le veux pas.

Il fit un pas dans sa direction, les yeux rivés sur elle.

— J'ai toujours pensé que l'amour rendait bête et faible. Aimer, c'est détruire, tu te souviens ? Je croyais que, pour être un bon guerrier, il fallait se moquer de tout. J'ai pris des risques insensés. Je crois que j'ai donné des complexes à Alec sur ses talents de combattant, tout ça parce que lui tenait à la vie. Et puis je t'ai rencontrée. Tu étais une Terrestre. Tu ne savais pas te battre. Tu n'avais jamais reçu d'entraînement. J'ai vu à quel point tu aimais ta mère et Simon ; tu serais allée jusqu'en enfer pour les sauver. Tu t'es précipitée dans cet hôtel infesté de vampires. Je connais des Chasseurs d'Ombres qui, même avec dix ans d'expérience, ne s'y seraient pas risqués. L'amour ne te rendait pas faible, il te donnait de la force. Alors, j'ai compris que le faible, c'était moi.

— Non, protesta Clary avec véhémence, tu n'es pas faible.

— Plus maintenant, peut-être.

Jace fit un autre pas vers elle ; à présent, il était assez près pour la toucher.

— Si Valentin n'arrivait pas à croire que j'avais tué Jonathan, c'est parce que j'étais le faible et qu'il était mieux entraîné. En toute logique, c'est lui qui aurait dû me tuer. Il a bien failli, d'ailleurs. Mais j'ai pensé à toi. Je t'ai vue de mes yeux comme si tu te tenais devant moi, et j'ai compris que je voulais vivre, plus que jamais, ne serait-ce que pour revoir ton visage une dernière fois.

Clary l'écoutait, incapable de bouger. Son visage était si près de celui de Jace qu'elle distinguait son reflet dans ses pupilles.

— Et maintenant je te regarde, poursuivit-il, et tu me demandes si je veux encore de toi ? Comme si je pouvais cesser de t'aimer ! Je n'ai jamais osé distribuer des marques d'affection autour de moi... Je l'ai un peu fait avec les Lightwood, Alec, Isabelle, mais il m'a fallu des années. Et pourtant, dès que je t'ai vue, Clary, je t'ai appartenu corps et âme. C'est toujours le cas, si tu veux de moi.

Pendant une fraction de seconde, Clary se figea. Puis, soudain, elle saisit Jace par le devant de sa chemise et l'attira contre elle. Il l'enlaça en la soulevant presque de terre et l'embrassa. En sentant ses lèvres sur les siennes, elle eut l'impression de recevoir une décharge électrique. Elle agrippa ses bras pour se serrer contre lui, grisée par les battements frénétiques de son coeur. Aucun coeur ne battrait jamais aussi fort que celui de Jace.

Quand il desserra son étreinte, elle dut reprendre son souffle ; elle en avait presque oublié de respirer. Il prit son visage dans ses mains, et frôla ses joues du bout des doigts. Ses yeux brillaient de nouveau comme cette nuit-là au bord du lac, mais cette fois elle crut y déceler une lueur de malice.

— Voilà, lança-t-il. Ce n'était pas si mal même si ce n'est plus interdit, non ?

— J'ai connu pire, répliqua-t-elle en riant.

— Tu sais, murmura-t-il en effleurant ses lèvres des siennes, si c'est le manque d'interdit qui t'inquiète, tu peux me fixer des limites. Me refuser des trucs.

— Comme quoi, par exemple ?

Il sourit et l'embrassa à pleine bouche.

— Comme ça.

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- Magnus, répondit-il. Je voulais lui proposer d'être mon partenaite, mais je ne l'aperçois nulle part. Tu l'as vu, toi ? demanda-t-il à Simon.

- Il était sur l'estrade avec Clary mais... ( Simon tendit le coup pour mieu voit.) Il est parti. Il doit être quelque part dans la foule.

- Vraiment ? Tu vas lui proposer ? s'étonna Isabelle. C'est un peu comme le bal de fin d'année, cette histoire de partenaires, sauf qu'au final, on va massacrer quelques démons.

- Exactement comme au bal de fin d'année, quoi, ironisa Simon.

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Alec ne sut jamais la suite: à cet instant précis, une douzaine d'Iblis déferlèrent sur la place. Il est regarda s'avancer, bouche bée.

- Et zut!

Magnus suivit son regard. Les démons les encerclaient déjà en les fixant de leurs prunelles jaunes.

-Tu cherches à changer de sujet, Lightwood.

- Tu sais quoi? Cria Alex en dégainant un deuxième poignard séraphique. Si on s'en sort, je te promets de te présenter à toute ma famille.

Magnus leva les bras, et de petites flammes couleur azur jaillirent de ses doigts, éclairant d'une lueur bleutée son visage souriant.

-Marché conclut, dit-il.

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- Tu n'aurais pas profité de sa vulnérabilité, je suppose, observa-t-elle après une pause judicieuse.

Simon ricana.

- Si tu rencontres un homme capable de profiter d'Isabelle, fais-moi signe. J'aimerais lui serrer la main.

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- Tu sais, je me rappelle ce que c’est d’avoir dix-sept ans. De s’imaginer qu’on peut sauver le monde, qu’il en va de notre devoir…

- Regarde-moi! s’exclama Jace. Tu vois un garçon de dix-sept ans comme les autres ?

Luke soupira.

- Tu es unique en ton genre, il faut bien l’admettre.

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"[...]- En toute logique, c'est lui qui aurait du me tuer. Il a bien failli, d'ailleurs. Mais j'ai pensé à toi. Je t'ai vu de mes yeux comme si tu te tenais devant moi, et j'ai compris que je voulais vivre, plus que jamais, ne serait ce que pour revoir ton visage une dernière fois.

Clary l'écoutait, incapable de bouger. Son visage était si près de celui de Jace qu'elle distinguait son reflet dans ses pupilles.

- Et maintenant je te regarde, poursuivit-il, et tu me demandes si je veux encore de toi ? Comme si je pouvais cesser de t'aimer ! Je n'ai jamais osé distribuer des marques d'affection autour de moi... Je l'ai un peu fait avec les Lightwood, Alec, Isabelle, mais il m'a fallu des années. Et pourtant, dès que je t'ai vue, Clary, je t'ai appartenu corps et âme. C'est toujours le cas si tu veux de moi.

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Entre Simon et Clary

-Tu aurais pu m'attendre, marmonna-t-il.

-Tu as...bon dos...de dire ça, lanca Clary, hors d'haleine, le corps plié en deux.Tu es ...arrivé...avant moi.

- Les vampires vont vite, expliqua-t-il avec une satisfaction certaine. Une fois rentré, je devrais me mettre au marathon.

-Ce serait ...de la triche

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- Quand tu m'as appris que Valentin était ton père, je ne t'ai pas cru, déclara-t-elle. Pas seulement parce que je refusais d'y croire, mais aussi parce que tu n'avais rien de commun avec lui. Apparemment, je me suis trompée.

Et sur ces mots, elle sortit de la pièce en refermant la porte derrière elle.

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