Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 785
Membres
1 008 182

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

“I fell in love with you," he said, "because you were one of the bravest people I've ever known. So how could I ask you to stop being brave just because I loved you?”

- je suis tombé amoureux de toi, dit-il, parce que tu étais l'une des personne les plus courageuses que j'ai jamais rencontré. Alors comme pourrais-je te demander d'arrêter d'être courageuse juste parce que je t'aime ?

Afficher en entier

“It's my special magical power. I can read your mind when you're thinking dirty thoughts."

"So, ninety-five percent of the time."

She craned her head back to look up at him. "Ninety-five percent? What's the other five percent?"

"Oh, you know, the usual--demons I might kill, runes I need to learn, people who've annoyed me recently, people who've annoyed me not so recently, ducks."

"Ducks?”

"I hate ducks. Don't know why. I just always have.”

- C'est mon super pouvoir magique. Je peux lire tes pensées quand tu as des "dirty thoughts"

- 95% du temps alors.

Elle tendit le cou pour le regarder.

- 95% ? Qu'en est-il des 5% restant ?

- Oh, tu sais, les trucs habituels, les démons que devrais surement tuer, les runes que je dois apprendre, les gens qui m'ont ennuyé récemment,les gens qui m'ont ennuyé pas si récemment, les canards.

- Les canards ?

- Je déteste les canards. Je sais pas pourquoi. J'ai toujours détesté les canards.

Afficher en entier

“It’s a good thing we know the person who’s dating Magnus Bane,” he said. “Otherwise, I get the feeling we’d all just lie around all the time wondering what the hell to do next. Or trying to raise the money to hire him by selling lemonade or something.”

Alec looked merely irritated by this comment. “The only way you could raise enough money to hire Magnus by selling lemonade is if you put meth in it.”

- C'est une bonne chose que nous connaissions la personne qui sort avec Magnus Bane, dit-il (Simon). Autrement, j'ai le sentiment qu'on aurait plus qu'à traîner tout le temps en se demandant que diable faire ensuite. Ou essayer de récolter l'argent pour l'engager en vendant de la limonade ou quelque chose comme ça"

Alec semblait vraiment irrité par ce commentaire.

- La seule façon pour que tu puisses récolter assez d'argent pour engager Magnus en vendant de la limonade c'est si tu mets de la cocaïne dedans.

Afficher en entier

"J'ai fait un rêve," dit Magnus, les yeux dans le vague. "J'ai vu une ville faite de sang, avec les tours en os, et le sang coulait dans les rues comme de l'eau. Peut-être réussirez-vous à sauver Jace, Chasseurs d'Ombres, mais vous ne pourrez pas sauver le monde."

Source :http://twilight-teamsuisse.blogspot.fr/

Afficher en entier

"Tu es un Lightwood," dit-elle. "Ta famille n'abandonne jamais. Je savais que tu ne laisserais pas ce que je t'ai dit ce soir là de côté."

Afficher en entier

Prologue

Simon se leva et regarda hébété devant la porte de sa maison.

Il n'avait jamais connu une autre maison. C'était l'endroit où ses parents l'avait amené après sa naissance. Il avait grandi dans les murs de cette maison de Brooklyn. Il avait joué dans la rue sous l'ombre des feuillages des arbres en été, et avait fait des luges improvisées sur des couvercles de poubelles en hiver. Dans cette maison toute sa famille avait veillé shivah après que son père soit mort. Là, il avait embrassé Clary pour la première fois.

Il n'avait jamais imaginé le jour où la porte de sa maison serait fermée pour lui. La dernière fois qu'il avait vu sa mère, elle l'avait appelé monstre et lui avait demandé de s'en aller. Il lui avait fait oublier qu'il était un vampire, en utilisant un charme, mais il ne savait pas combien de temps cela durerait. Alors qu'il se tenait là dans l'air froid d'automne, regardant devant lui, il savait qu'il n'avait pas duré assez longtemps.

La porte était couverte d'étoiles de David, éclaboussées de peinture, la forme du symbole gravé pour Chai : la vie. Des Téfilines étaient attachées à la poignée et au marteau de la porte. Un hamesh, la main de Dieu, couvrait le judas.

Un peu sous le choc, il mit sa main sur la mezouza de métal disposée sur le côté droit de la porte. Il vit de la fumée s'échapper de l'endroit où sa main avait touché l'objet sacré, mais il n'avait rien senti. Pas de douleur. Seul un vide terrible l'entrainant lentement dans une rage froide.

Il commença au bas de la porte et entendit l'écho à travers la maison. "Maman!" cria-t-il «Maman, c'est moi!"

Il n'y eu pas de réponse seulement le bruit des verrous que quelqu'un tournait de l'autre côté de la porte. Son audition accrue avait reconnu les bruits de sa mère, sa respiration, mais elle ne dit rien. Il pouvait sentir la peur et la panique, même à travers le bois. "Maman!" Sa voix se brisa. «Maman, c'est ridicule! Laisse-moi entrer! C'est moi, Simon!"

La porte vibra, comme si elle l'avait frappé. «Va-t'en!" Sa voix était rude, méconnaissable par la terreur. «Assassin!"

«Je ne tuent pas les gens." Simon appuya sa tête contre la porte. Il savait très bien qu'il pouvait l'enfoncer d'un simple coup de pied, mais cela aurait servi à quoi? «Je te l'ai dit. Je bois du sang d'animal."

Il l'entendit murmurer doucement, quelques mots en hébreu. «Tu as tué mon fils», disait-elle. "Tu l'as tué et mis un monstre à sa place."

«Je suis ton fils"

"Tu as son visage et tu parles avec sa voix, mais tu n'es pas lui! Tu n'es pas mon Simon!" Sa voix s'éleva presque en un cri. "Va-t-en de ma maison avant que je ne te tue, monstre!"

"Becky", répondit-il. Son visage était mouillé de larmes, il leva ses mains pour essuyer sa joue, et il vit qu'elles étaient maculées de sang. «Qu'as-tu dit à Becky?"

"Reste loin de ta sœur." Simon entendit un cliquetis à l'intérieur de la maison, comme si quelque chose avait été renversé.

«Maman», répéta-t-il, mais cette fois sa voix était étouffée. Il émit juste un chuchotement rauque. Sa main commençait à trembler. "J'ai besoin de savoir, est-ce que Becky est là? Maman, ouvre la porte. S'il te plaît,"

«Éloigne-toi de Becky!" Elle s'éloignait de la porte, il l'entendait à peine . Puis vint le crissement de l'inimitable porte de la cuisine qui se balançait, le grincement du lino alors qu'elle marchait dessus. Le bruit d'un tiroir qui s'ouvre. Soudain, il imagina sa mère saisissant l'un de ses couteaux.

Avant que je ne te tue, monstre.

Une pensé le fit tressaillir. Si elle le frappait avec un couteau, la marque le défendrait. Elle la détruirait comme elle avait détruit Lilith.

Il laissa tomber sa main et s'éloigna lentement, trébuchant dans les marches et sur le trottoir, et alla chercher refuge contre le tronc ombragé d'un grands arbres. Il resta là, où il était, à regarder la porte de sa maison, marquées et défigurées par les symboles de la haine que sa mère nourrissait à son égard.

Non, il se souvint. Elle ne le haïssait pas. Elle pensait qu'il était mort. Celui qu'elle détestait était quelque chose qui n'existait pas. Je ne suis pas ce qu'elle dit que je suis.

Il ne savait pas combien de temps il était resté là, à regarder, si son téléphone n'avait pas commencé à sonner, vibrant dans la poche de son manteau.

Il l'atteint comme par réflexe , en remarquant que le motif de la croix de David de la mezuzah qu'il avait touchée, lui avait brûlé la paume de la main. Il changea de mains pour mettre le téléphone à son oreille. "Bonjour?"

"Simon?" c'était Clary. Elle semblait à bout de souffle. «Où es-tu?"

"Chez moi", dit-il, et s'interrompit. «Chez ma mère», corrigea-t-il. Sa voix sonnait creux et était lointaine à ses propres oreilles. «Pourquoi n'es-tu pas retournée à l'Institut? Tout le monde va bien?"

"C'est juste qu'elle...», bredouilla-t-elle. «Juste après ton départ, Maryse est redescendue du toit, où Jace était censé nous attendre. Il n'y avait personne là-haut."

Simon se déplaça, sans trop se rendre compte qu'il le faisait. Comme un automate, il se mit à marcher dans la rue, vers la station de métro. «Que veux-tu dire par, il n'y avait personne là-haut?"

"Jace a disparu», répondit-elle, et il pouvait entendre la tension dans sa voix. "Tout comme Sébastien".

Simon s'arrêta à l'ombre d'un arbre aux branches nues. "Mais il était mort. Il est mort, Clary-"

"Alors peux-tu me dire pourquoi il n'est plus là, parce qu'il n'y est plus, je peux te l'assurer», reprit-elle, sa voix brisée. «Il n'y a rien là-haut, à part beaucoup de sang et de verres cassés. Ils sont tous les deux partis, Simon. Jace a disparu...."

Source : http://www.lacitedestenebres.com/

Afficher en entier

"I never cared", he said. "I wanted you anyway. I always wanted you"

"Cela ne m'a jamais dérangé" dit-il. "Je te voulais de toute façon. Je t'ai toujours voulue"

Source : http://twilight-teamsuisse.blogspot.com/

Afficher en entier

"Is he happy like this? Really happy? And if he is, what are you saving him from?" — CoLS

"Est-il heureux comme ça? Vraiment heureux? Alors si c'est le cas, de quoi le sauves-tu?"

source "Ma petite bulle"

Afficher en entier

— J'espérais qu'ils colleraient des affiches un peu partout comme avec les chats perdus, reprit-il. " Disparu : adolescent d'une beauté renversante, qui répond au doux nom de Jace ou de "Chaud Lapin""

Afficher en entier

“It’s me,” he said, and cleared his throat. “I could understand if you didn’t believe me, but I swear on the Angel, Iz, it’s me.” Alec said nothing, but his grip on Jace’s hand tightened. “You don’t need to swear,” he said, and with his free hand touched the parabatai rune near his collarbone. “I know. I can feel it. I don’t feel like I’m missing a part of me anymore.”

“I felt it too. Something missing. I felt it, even with Sebastian, but I didn’t know what it was I was missing. But it was you. My parabatai.”

- C'est moi, dit-il et il s’éclaircit la voix. Je peux comprendre si tu ne me crois, mais je te jure sur l'ange, Iz, c'est moi.

Alec ne dit rien mais sa prise sur la main de Jace se ressera.

_ Tu n'as pas besoin de jurer, dit-il, et avec sa main libre il toucha le rune de parabatai près de sa clavicule. Je le sais. Je peux le sentir. je n'ai plus l'impression qu'il me manque une part de moi.

- Je l'ai senti aussi. Quelque chose qui manquait. Je l'ai senti, même avec Sebastian,mais je ne savais pas ce qui me manquait. Mais c'était toi. Mon parabatai.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode