La Cité des songes, Tome 1 : Une couronne de roses et de givre

Bien sympathique comme histoire, j'aime beaucoup la dualité entre les menaces politiques et les menaces physiques, qui semblent ne pas avoir de lien de primer abord alors que tout semble lié à l'intrigue de cette mystérieuse cité des songes. Hâte d'en savoir plus !

Une saga que je n'arrive pas à lire, je n'ai pas accrocher à l'histoire et l'univers trop " young adult " pour moi.

C'est une romantasy avec un ennemies to lovers (je n’ai d'ailleurs pas compris le passage de ennemies à lovers...). J’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire qui me semblait très classique au départ. Il s'est avéré que certains éléments m'ont fait accrocher comme par exemple le fait d'avoir trois points de vue, deux très vite connectés et un troisième qui prend son temps pour développer son lien avec les deux autres. Je reste cependant sur ma faim, je trouve que les personnages manquent un peu de profondeur, ils sont très immatures et manichéens... L’univers est intéressant mais encore sous développé. S’agissant du premier tome, je suis curieuse de découvrir la suite pour voir comment évoluent l’intrgue, les personnages et le world building.

J'aime toujours autant les livres de Georgia Caldera, son écriture est fabuleuse et ses scénarios me happent à chaque fois et ce premier tome n'en fait pas exception. L'histoire est originale, addictive, les personnages attachants. J'avoue que je n'ai pas reussi à accrocher au point de vu de Rin et que j'étais contente qu'ils soient peu nombreux même si je me doute de leur utilité. J'entame la suite de ce pas.

Un vrai coup de coeur, l'univers est original, il y a des manigances, un bon ennemies to lovers, du slow burn, tout ce que j'aime !

La princesse de la tour du Printemps a disparu la veille de son mariage arrangé avec le prince de la Tour de Givre, Rozarian. C'est ainsi qu'Auréa, Chasseresse Thaumaturge, se voit confier la mission de la remplacer pour protéger leurs relations avec la Tour de Givre. Elle doit maintenant apprendre à vivre aux côtés de ce prince antipathique et souffrant. Mais surtout, personne ne doit savoir qu'elle n'est pas la véritable princesse, ni qu'elle est Thaumaturge. Si le royaume est misogyne, il est aussi cruel avec les Thaumaturges qui sont traitées en esclaves dans la tour du Givre, là où elles sont tenues en haute estime à la Tour du Printemps.

Dans ce premier on voit donc évoluer la relation entre Auréa et Rozarian. Au départ, ils s'envoient des pics, avant de réussir à s'apprivoiser et s'apprécier. Auréa a à coeur de faire évoluer la place des femmes dans cette cour et, petit à petit, elle réussi à elbarquer Rozarian dans sa philosophie.

En parallèle, on apprend vaguement qu'une histoir, une prophétie lie ce duo avec une certaine Rin dont on sait peu de choses alors que le résumé de ce tome-ci est centré sur cette prophétie...

Si j'ai bien aimé ce premier tome dans l'ensemble grâce au duo princier et à la plume de l'auteure, j'ai été assez déçue par le peu d'action de ce tome. Un tome qui n'aborde quasiment pas le sujet central du résumé: La fameuse cité des songes.

Après avoir lu plusieurs romans longs et difficiles à plus d’un niveau, j’avais besoin d’une valeur sûre et quoi de mieux que le livre de Georgia Caldera pour cela !

Effectivement, pour moi, c’est une auteure absolument géniale, j’ai aimé tous ses romans et ici aussi, j’ai beaucoup apprécié. La plume est détaillée sans être ennuyante, soutenue sans être hachée. En résumé, c’est très addictif et on ne s’ennuie pas. Les descriptions et l’action savamment dosées font que c’est fluide et agréable à lire. On ne retrouve pas de longueurs, de points morts ou de passages ennuyant, non, ici c’est très prenant et surtout des plus passionnants !

Du côté des personnages, j’ai adoré l’opposition de caractère entre nos deux héros. Ils se lancent des piques et c’est assez percutant d’ailleurs. Ça met du rythme au récit. Ils apprennent à se connaître petit à petit et à s’ouvrir l’un à l’autre, à évoluer. J’adore cette évolution, d’ailleurs, et je trouve que tous les détails sont très bien amenés parce que pour certains d’ente eux les concernant, je n’ai rien vu venir. L’auteure a su me surprendre et me faire apprécier l’action comme il se doit.

Pour l’univers, j’ai quelques petites choses à dire aussi. J’adore le principe des tours, du Dévoreur, de l’aspect fantasy en lui-même. Par contre, j’ai eu un peu plus de mal avec la manière dont l’auteure a amené l’opposition de deux modes de vie. J’ai eu l’impression que cet univers devait forcément faire lien avec notre réalité et nos préceptes actuel. En comparaison avec la Passe-miroir de Christelle Dabos qui décrit une société similaire, c’était de manière neutre. Ici, c’est comme si l’auteure voulait faire passer un message ou prendre part à quelque chose. Enfin, ce n’est que mon sentiment face à ma lecture, je me trompe peut-être mais je tenais quand même à faire part de mes impressions.

La fin nous laisse sur des charbons ardents avec un bon petit cliffhanger et heureusement que j’ai le tome 2 sous le coude pour me lancer sitôt fini le premier tome !

Conclusion : Il n’empêche que c’était une excellente lecture avec un univers abouti et des personnages qui le sont tout autant. Je lirai la suite avec plaisir.

Ce livre fût une bonne surprise. Si je m'étais arrêtée à l'opinion que j'ai eu de ma dernière lecture de Georgia Caldera, j'aurais manqué une agréable lecture. Ce n'est pas à un coup de cœur pour moi, loin sans faut, mais ce roman possède de nombreux points forts. Il est bien meilleur que les larmes rouges !

Je conseille ce livre à de jeunes lecteurs ou à des lecteurs de fantaisie débutants. Quant aux habitués du genre, cela peut représenter une lecture légère, mais amusante, colorée et plutôt originale.

L'univers n'est pas développé dans le premier tome à mon avis. Ça reste plutôt simple dans ce qui est de la géographie. Il y a un royaume qui incarne le printemps, un autre l'hiver et il y a la terre des damnés qui semblent un peu de caractères asiatiques. Ce n'est pas sur ces points que ce roman est original. Cela fait penser, en autres choses, à Un Palais d'épines et de roses et ses différentes cours qui représentent les saisons.

Par contre, je pointe les efforts, le travail, de l'auteure pour avoir imaginer des créatures et des peuples qui sortent de l'ordinaire. Les thaumaturges, ces mages, qui possèdent des cristaux magiques ancrées dans leur peau et qui leur donnent leurs pouvoirs sont assez colorés. Ce sont des femmes ont cheveux couleurs mauve argent contrôlant les différents éléments. Le monde est surtout féministe. Il y a des reinaumes dirigés par des reines et un seul royaume par des hommes plutôt arriérés. Les femmes n'y sont pas respectées. Les bêtes qu'on y rencontre me semblent intéressantes, mais pas assez décrites à mon goût. Pour les chevaudruches et les serpentaigles, il n'y a aucune description. Premier point faible du livre. J'ai particulièrement adoré le renard-feu du personnage principale, Auréa. Il est trop cool ! L'idée du dévoreur de monde, gigantesque, qui créée des fissures et menacent les différents royaumes est excellente.

Quant à l'histoire, elle est intéressante. Je me suis particulièrement intéressée aux rêves de deux personnages féminins qui imaginent une terre magnifique qui pourrait abriter les gens et les sauver de la menace du dévoreur de monde. J'ai envie d'en savoir plus avec cette prophétie des dragons chevaucheurs de tempêtes et leurs quatre cavaliers. Autre chose que j'ai aimé, c'est qu'il y a un imposant envers qui on peut compatir et comprendre pourquoi ils agissent ainsi. Le principal méchant dans ce livre, autre le dévoreur de monde qu'on ne voit qu'à la fin, est le peuple des damnés et, contrairement au précédent qui est vraiment méchant, les damnés veulent juste survivre. On apprend à aimer Rin, son peuple, malgré les horreurs qu'ils commettent. Après tout, ils représentent des déchets pour le reste du monde, on envoie tous les pestiférés là-bas et ils sont affamés. Peut-on vraiment leur reprocher leur rébellion. Ils ne sont pas tant plus méchants que les autres royaumes qui pensent à leur propre enrichissement. On ne rencontre pas cela si souvent. Mais gros point faible, l'histoire présente des longueurs qui auraient pu être coupées. Elle se concentre trop sur la relation conflictuelle, mais touchante d'Auréa et de Rozarian.

Personnes qu'on apprécie assez vite ! Auréa est sensible, courageuse. Rozarian est un prince assez intéressant. Il a un histoire sensible, tragique. il est beau, mais présente un handicap à la jambe suite à un accident déplorable et il ne rêve que de liberté. J'ai vite détesté pas mal des gens du peuple de givre surtout le roi qui continue de traiter les femmes de manière aussi archaïque sans parler de comment ils traitent leurs thaumaturges, femmes si respectées ailleurs, elles dont l'existence les vouent pourtant à la protection de leur royaume de naissance. Leurs existences dans ces cachots du royaume de givre avec le mécanisme fixé sur leur cristal enfoncé dans leur thorax qui menace sans cesse la vie ! C'est juste révoltant !

La fin était assez intense. Déjà qu'un secret révélé de Rozarian était sidérant, le début de bataille de la fin et le point final du livre laisse sur la faim. Spoiler(cliquez pour révéler)Avouez que l'assaut des damnés sur le peuple de givre et l'apparition du dévoreur de monde dans le ciel laisse sans voix ! On ressent de la détresse pour le déroulement que prend les projets d'Auréa et de sa reine depuis que la véritable princesse du printemps est morte et que le peuple de givre n'a pas levé le petit doigt pour les aider !On a envie de poursuivre très vite !

Un vrai plaisir de retrouver la plume de Georgia Caldera. Un réel dépaysement dans ce monde où se mêlent des personnages et des créatures très différentes les uns des autres. Un univers où on se perd un peu au début et j'ai eu un peu de mal à y entrer. Les personnages sont attachants et ont un caractère bien trempé. J'ai pris plaisir à cette lecture, mais mon sentiment est mitigé. Comme s'il manquait un petit quelque chose... Peut-être les personnages sont-ils un peu trop lisses... Rozarian, connu pour être foncièrement mauvais, ne l'est pas vraiment ; Rin est une guerrière sans pitié et j'aurais aimé que son personnage soit un peu plus approfondi pour amener ses décisions finales. Le personnage d'Auréa est le plus développé dans ce tome. Elle est forte mais avec ses faiblesses et ses doutes.

Agréable lecture et lecture du tome 2 dans la foulée.

💕 Coup de cœur confirmé avec cette relecture 💕

J'attaque mes lectures 2024 avec une valeur sûre 😁

1ère lecture : novembre 2022

Ouais, ça date un peu 😅

Obligée de le relire pour avoir les éléments bien frais dans ma tête pour ma lecture du tome 2 😜

Georgia Caldera est l'une des autrices dont j'achète les livres les yeux fermés 🙈

Après "Les Brumes de Cendrelune", "Embrasse l'hiver et danse avec lui" et celui ci, je n'ai plus aucun doute, j'aime sa plume à la folie 💜

Tout ce que j'adore est réuni dans ce livre : un bon enemies to lovers slow burn, de la magie, des complots politiques, des trahisons à la pelle, des personnages forts et complexes 💕

J'ai adoré Auréa comme j'ai adoré Rozarian, ainsi leur relation chaotique et explosive depuis leur mariage forcé 😅

Aucun des 2 n'a envie d'être là et chacun le fait payer à l'autre 😜

Je ne me rappelais pu à quel point Rozarian était un sacré c*nnard avec Auréa pendant les 3/4 du livre 🤣

À sa place, je l'aurais étripé dans son sommeil 😇

Il l'aurait bien mérité le saligot 😁

J'ai moins aimé Rin, j'ai eu du mal avec sa fidélité aveugle à sa reine 😕

J'ai beaucoup aimé Minerviane 🥰

J'ai ÉVIDEMMENT détesté le roi de Givre et la façon dont sont traitées les femmes et surtout les Thaumaturges dans son royaume...

Cette pensée archaïque qui réduit les femmes, même nobles, à des objets, ça devrait même pas exister, en fiction, comme en vrai 🤬

J'avais complètement oublié l'existence de certaines personnages hyper importants, du coup, j'ai vraiment bien fait de choisir de relire ce tome 1 😁 Et pis ça fait encore plus de Rozarian chéri à se mettre sous la dent 🤭

Je vous conseille la lecture de cette duologie, ça, c'est évident 😂