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-Mais, et vous ? s’enquit Gabriel, et il s’aperçut qu’ils étaient tout près l’un de l’autre, à présent. C’est a vous de faire un chois, maintenant. Rester ou partir.

-Je vais rester, répondit Cecily. Je choisis la guerre.

Gabriel laissa échapper un soupir.

-Vous allez renoncer à votre foyer ?

-Une vieille bicoque perdue au fin fond du Yorkshire ? Nous sommes à Londres, ici.

-Abandonner vos habitudes ?

-L’habitude est synonyme d’ennui.

-Et cesser de voir vos parents ? Vous saver que la Loi l’interdit…

Elle sourit.

-Tout le monde enfreint la Loi.

-Cecy, dit-il en faisant un pas vers elle, et sans crier gare il l’embrassa sur les lèvres.

Ses mains d’abord posées timidement sur ses épaules glissèrent le long du taffetas de sa robe et s’attardèrent sur sa taille. D’abord, elle se raidit de surprise, puis elle s’abandonna a son étreinte et, les lèvres entrouvertes, il gouta la saveur sucrée de sa bouche. Quand il s’écarta d’elle, il avait le tournis.

-Cecy, répéta t-il, la vois rauque.

-Cinq, fit-elle, les joues cramoisies, mais son regard ne cillait pas.

-Cinq ? répéta-t-il, perplexe.

-Cinq points, c’est ma note. Votre technique requiert peut être encore du travail, mais vous avez un don naturel, cela ne fait aucun doute. Ce qu’il vous faut, c’est de la pratique.

-Voulez-vous être mon professeur ?

-Je me sentirais très insultée si vous en choisissiez un autre, répliqua t-elle en penchant la tete pour l’embrasser de nouveau.

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-Toutes les vies sont difficiles, répliqua Sophie. Avant mon arrivée à l’Institut, je menais une existence peu enviable. Je suppose qu’au fond, si je désire devenir une Chasseuse d’Ombres, c’est pour être capable de me défendre : si un autre homme venait a s’en prendre à moi, à l’instar de mon ancien employeur, je le tuerais sur le champ.

Tout en parlant, elle se toucha machinalement la joue mais, devant l’air mi choqué, mi gêné de Gideon, elle suspendit son geste.

-J’ignorais que votre cicatrice venait de là, murmura t-il.

Elle détourna le regard.

-Et maintenant vous aller me dire qu’elle n’est pas si laide ou que vous ne la voyez meme pas.

-Si, je la vois, dit-il doucement. Je ne suis pas aveugle, et notre peuple est marqué de nombreuses cicatrices. Je la vois, mais je ne la trouve pas laide. Ce n’est qu’un joli détail parmi tant d’autres chez la plus jolie jeune fille que j’aie jamais vue.

A present, Sophie rougissait tout à fait, elle sentait ses joues s’échauffer, et tandis que Gideon se penchait par dessus la table en la fixant de ses yeux gris-vert, elle prit une résolution. Ce n’était pas son ancien employeur. C’était Gideon. Et cette fois, elle ne le repousserais pas.

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Chaque coeur a sa propre mélodie. Tu connais la mienne.

Jem à Tessa

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« Tes mots m’ont changé, Tessa ; ils ont fait de moi un homme meilleur. La vie, c’est un livre, et il y a encore des milliers de pages que je n’ai pas lues. J’aimerais en lire autant que possible avec toi, avant de mourir… »

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« — Je… j’ai quelque chose pour toi. Un cadeau de mariage. Mais j’aimerai te l’offrir dès à présent si tu le permets.

— Un cadeau ? répéta-t-elle, perplexe. Mais nous venons de nous quereller !

Il eut un sourire charmant qui éclaira tout son visage, un de ces sourires charmant qui faisaient oublier sa maigreur et sa fatigue.

— Les disputes font partie intégrale du mariage, à ce que l’on m’a dit. Celle-ci aura tenu lieu d’entraînement.

— Mais…

— Tessa, t’es-tu vraiment imaginé qu’il existait un sujet de dispute, grave ou bénin, susceptible de remettre en question mon amour pour toi ? »

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« Sa canne épée dans la main, Jem s’avança vers Tessa.

– Tessa fais-le pour moi, tu veux bien? dit-il à mi-voix.

– Tu ne me crois pas capable de me battre parce que je suis une femme, répliqua-t-elle en le défiant du regard.

– Je ne te crois pas capable de te battre parce que tu portes une robe de mariée. Si cela peut te consoler, je ne pense pas que Will pourrait se battre dans une tenue pareille, lui non plus.

– Peut-être pas, lança Will, qui avait l’ouïe assez fine pour les entendre. Mais j’aurais fait une belle mariée. »

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Will lui traduisait l'inscription en latin gravée sur le mur de la crypte où était enterré Christopher Wren - « Si vous chercher son monument, regardez autour de vous » - quand, d'un geste absent, elle avait cherché sa main. Il avait reculé en rougissant.

Le dévisageant avec surprise, elle avait demandé :

- Quelque chose ne va pas ?

- Non, avait-il répondu avec trop d'empressement. Mais je ne vous... je ne t'ai pas amenée ici pour te violenter dans la galerie des murmures.

C'est à ce moment-là que Tessa avait explosé.

- Je ne t'ai rien demandé de tel ! Mais, par l'Ange, Will, veux-tu bien cesser d'être aussi poli ?

Il l'avait considéré d'un air perplexe.

- Mais tu ne préfères pas que...

- Non, je ne préfère pas ! Je ne veux pas que tu sois poli ! Je veux juste que tu sois Will ! Je n'ai pas envie que tu me montres des détails d'architecture intéressants comme un guide Baedeker ! Je veux que dises des choses folles et drôles, et que tu inventes des chansons, et que tu sois...

« Le Will dont je suis tombée amoureuse », avait-elle failli conclure, mais elle s'était mordu la lèvre avant d'ajouter :

- Ou je te frappe avec mon parapluie.

- J'essaie de te faire la cour, avait-il répliqué, exaspéré. Tu l'avais compris, n'est-ce pas ?

- Mr Rochester n'a jamais fait la cour à Jane Eyre.

- Non, il s'est habillé en femme et il a terrorisé la pauvre file. C'est ce que tu veux ?

- Tu serais très laid en femme.

- Pas du tout. Je serais magnifique.

Tessa avait ri.

- Voilà. Je retrouve le Will que je connais. C'est mieux ainsi, tu ne trouves pas ?

- Je ne sais pas, avait-il répondu en la regardant. J'ai peur de répondre. Il paraît que, chaque fois que j'ouvre la bouche, les Américaines ont envie de me frapper avec leur parapluie.

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«Will. » Son cœur hésita. Elle repensa à la mort de Will, au chagrin, aux longues nuits de solitude. Pendant des années, chaque matin, elle l'avait cherché dans un demi-sommeil ; comme il lui avait fallu du temps pour s’habituer au fait que son côté du lit serait toujours vide ! il y avait aussi eu tous ces moments où, songeant à quelque plaisanterie, elle s'était tournée pour la partager avec lui, et n'avait trouvé personne près d'elle. Ces moments où, assise seule à la table du petit déjeuner, elle s'était rendu compte qu'elle avait oublié la couleur précise de ses yeux ou la sonorité de son rire ; comme la musique de Jem, ils s'étaient perdus dans le monde silencieux des souvenirs.

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La vie, c'est un livre, et il y a encore des milliers de pages que je n'ai pas lues. J'aimerais en lire autant que possible avec toi, avant de mourir...

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"— Chaque cœur a sa propre mélodie. Tu connais la mienne."

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