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Jace, les cheveux fouettés par le vent, la regarda par dessus son épaule.

- A quoi tu penses ?

- Tout est si différent, vu d'ici !

- Rien n'a changé, dit-il en manœuvrant la moto en direction de l'East River, vers le pont de Brooklyn. A part toi.

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Jace le regard fixé sur Clary, fit mine de se lever. Elle remarqua les cernes sous ses yeux, la tension qui émanait de lui.

- Clary, je...

- Reste assis, ordonna Valentin. Laisse la faire le cheminement d'elle même, Jonathan.

Jace obéit sans protester. Malgré le brouillard qui l'entourait Clary lutta pour comprendre. Jonathan ?

- Tu prétendais t'appeler Jace, dit-elle. La encore tu m'as menti ?

- Non. Jace, c'est un diminutif.

Elle se trouvait tout prés du précipice à présent, elle pouvait presque regardait en bas. Jace la dévisageait, l'air de penser qu'elle faisait beaucoup d'histoire pour un détail aussi insignifiant.

- Il rappelle mes initiales, poursuivit-il. J.C

Le précipice s'ouvrit devant Clary, le menaçant de ses ténèbres.

- Jonathan, dit-elle d'une voix presque inaudible. Jonathan Christopher.

Jace fronça les sourcils:

- Comment sais-tu...?

Valentin l'interrompit d'une voix douce:

- Jace, j'ai voulu te ménager. Une mère décédée, ça me semblait plus supportable qu'une mère qui t'a abandonné avant ton premier anniversaire.

Les doigts de Jace se ressérerent convulsivement autour de son verre:

- Ma mère est en vie?

- Oui. En ce moment même elle dort dans une chambre à l'étage en dessous. Oui, poursuivit-il avant que Jace puisse parler. Jocelyne est ta mère, Jonathan. Ce qui fait de Clary...ta sœur.

Le verre tomba, répandant le vin sur la table.

- Jonathan, dit Valentin

Jace était devenu livide.

- Ce n'est pas vrai ! S'écria-t-il. Il y a forcément une erreur. Ca ne peut pas être vrai!

Valentin regarda son fils sans ciller:

- J'aurais pensé qu'il y aurait lieu de se réjouir, observa-t-il, l'air songeur. Hier encore, tu étais orphelin, Jonathan. Et voilà que tu as un père, une mère et une sœur dont tu ne soupçonnai même pas l'existence.

- Ce n'est pas possible ! Clary n'est pas ma sœur. Si c'étais le cas...

- Oui ?

Jace se tut, mais son expression d'horreur et de dégoût parlait pour lui. Un peu chancelante Clary contourna la table, s'agenouilla devant lui et voulut lui prendre la main:

- Jace...

Il recula vivement en agrippant la nappe souillée.

Clary sentit sa haine pour Valentin monter en elle comme un sanglot.

En s'abstenant de dire ce qu'il savait, il avait fait d'elle ça complice silencieuse. Et maintenant qu'il avait asséné la vérité comme un coup de massue, il contemplait froidement son oeuvre. Jace ne voyait donc pas à quel point il était méprisable?

- Dis moi que c'est faux ! Supplia Jace, les yeux fixés sur la nappe.

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- Mon père croyait en un dieu juste, Deus Vult c'était sa devise: c'est la volonté de dieu. C'était aussi celle des croisés qui ont été massacrés au combat tout comme mon père. Quand je l'ai vu, gisant dans son sang, j'ai compris que je n'avais pas cessé de croire en dieu. J'avais seulement cessé de croire que dieu se soucie de nous que dieu existe ou pas, à mon avis ça n'a pas d'importance. Dans l'un ou l'autre cas, nous sommes seuls.

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- Mais tous les démons sont ils mauvais ? S'il existe des exceptions parmi les vampires et les loups garou peut-être...

Jace dévisagea Clary, l'air excédé:

- Ce n'est pas du tout la même chose. Les Vampires, les Loups-Garou et même les sorciers ont une part d'humanité. Ils font partie de ce monde, ils y sont nés. Les démons, eux, viennent d'ailleurs. Ce sont des parasites interdimentionnels.

Ils débarquent dans un monde et l'exploitent. Ils ne savent pas créer, ils ne savent que détruire. Ils réduisent un endroit à néant et, une fois leur travail de mort accomplie, ils passent à un autre. C'est la vie qu'ils veulent, pas seulement la tienne ou la mienne, mais tout ce qui vit ici-bas, les villes et les rivières, les océans, tout, sans exception. Et la seule barrière entre eux et la destruction de ça - il montra le paysage urbain qui se déroulait derrière la vitre du carrosse, en agitant la main comme pour englober la ville entière, des gratte-ciel aux embouteillages de Houston Street - Ce sont les Nephilim.

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- Heureusement que c'est moi. Alec t'aurai rendu ta gifle.

- Oui, j'ai l'impression que ça le démange, dit Clary en shootant dans une canette de soda vide. Comment t'a t'il appelé ? Para quelque chose ?

- Parabataï. Ce mot désigne deux guerriers qui combattent côte à côte comme des frères. Alec est plus que mon meilleur ami. Mon père et le sien étaient des parabataï dans leur jeunesse. Son père est aussi mon parrain, c'est pourquoi j'habite avec eux. Ils sont ma famille adoptive.

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- Clary, tu es une artiste, comme ta mère. Ça signifie que tu vois le monde différemment. Tu possèdes ce don de distinguer la beauté et la laideur dans les choses les plus banales. Çà ne veut pas dire que tu es dingue... Tu es juste différente. Il n'y a rien de mal à être différent.

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- Tu te souviens qu'a l'hôtel tu m'as promis que, si on s'en sortait vivant, tu enfilerais une blouse d'infirmière pour me donner un bain ?

- Tu as mal entendu. C'est Simon qui t'a promis ce bain.

Jace se tourna vers Simon, qui lui fit un large sourire :

- Des que je serai sur pied, beau blond !

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- Tu es mon meilleur ami, dit Clary. Je ne suis pas fâchée contre toi.

- Et pourtant, tu n'as pas pris la peine de m'appeler pour m'informer que tu sortais avec un faux blond pseudo-gothique que tu as sans doute rencontré au Pandémonium, dit Simon avec amertume. J'ai passé ces trois jours à me demander si tu n'étais pas morte !

- Je ne sors avec personne, repondit Clary, soulagée que Simon ne puisse pas la voir rougir dans l'obscurité.

- Et mes cheveux sont naturellement blonds, ajouta Jace. Simple précision.

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- Tout le monde devrait avoir droit à un petit quelque chose pour son anniversaire, déclara Jace en attaquant la seconde pomme. Ce n'est pas un jour comme les autres. Quand j'étais enfant, le jour de mon anniversaire, je pouvais faire tout ce que je voulais.

- Tout ? répéta Clary en riant. Quoi, par exemple ?

- Eh bien, pour mes cinq ans, j'ai demandé un bain de spaghettis.

- Mais ton père n'a pas voulu...

- Si justement. Il a trouvé que ce n'était pas un cadeau très coûteux et que, si c'était vraiment ce que je souhaitais, pourquoi pas ? Il a ordonné aux domestiques de remplir la baignoire d'eau bouillante et de pâtes, et quand elles ont refroidi...

Il haussa les épaules :

- J'ai pris un bain dedans.

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- Alors, tu es tombé amoureux ?

- Malheureusement chère madame, je reste moi même mon seul véritable amour.

Dorothea partit d'un éclat de rire :

- Au moins tu ne risque pas d'être éconduit, Jace Wayland.

- Pas forcément. Je m'envoie balader de temps en temps, histoire d'entretenir la flamme.

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