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La messagerie se mit en marche au bout de quatre sonneries : "Salut, c'est Simon. Soit je suis trop loin du téléphone, soit j'essaie de vous éviter. Laissez un message et..."

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-J'ai faim, annonça-t-elle. Si seulement maman était là pour nous préparer un bon petit plat!

-Ne parles pas de malheur! s'exclama Jace débouclant son ceinturon. Si elle était ici, elle Serait déjà en train de pester à cause des tapis!

-Tu ne crois pas si bien dire, rétorqua quelqu'un d'une voix glaciale.

Jace fit volte-face, les mains toujours agrippées à sa ceinture: Maryse Lightwood se tenait sur le seuil les bras croisés.

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- Saleté de démons! C'est ma veste préféré! s'écria Jace, furieux, avant d'achever la créature d'un coup de poignard alors qu'elle revenait à l'attaque.

p251

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page 178 à 180, Jace, Clary et les autres reçoivent une invitation de la reine de la Cour des Lumières.

- C'est risqué d'aller là-bas ? demanda Clary.

- Evidemment ! répliqua Jace, les yeux au ciel, comme si elle venait de dire la bêtise du siècle.

Elle le foudroya du regard.

- Figure toi que je ne sais rien des fées ! Les vampires et les loups-garous, je pige. J'ai vu assez de films sur le sujet. Les fées, c'est un truc de gamins. Je me suis déguisée en fée pour Halloween quand j'avais huit ans. Ma mère m'avait fabriqué un chapeau exprès.

- Je m'en souviens ! s'écria Simon. Moi j'étais déguisé en Transformer. En Decepticon, plus exactement.

- On peut revenir à nos moutons ? gromela Magnus.

- Bon, déclara Alec. Isabelle estime - et je suis d'accord avec elle - qu'on a pas intérêt à ignorer une invitation du Petit Peuple. Par ailleurs, si la cour prend parti pour nous, l'Enclave sera obligée de nous écouter.

- Les fées n'aident pas les humains ! ricana Jace.

- Les Chasseurs d'Ombres ne sont pas des humains, objecta Clary. Enfin pas vraiment.

- On ne vaut pas beaucoup mieux qu'eux.

- Les fées, ça ne peut pas être pire que les vampires, intervint Simon. Et pourtant tu t'es bien débrouillé avec eux.

Jace le dévisagea comme si il avait affaire à une créature répugnante.

- "Débrouillé" ? C'est ça ta façon de suggérer qu'on a réussi à sauver notre peau ?

- Euh...

- Les fées sont le fruit de l'union contre nature d'un ange et d'un démon. Ces créature possèdent la beauté des premiers et la cruauté des seconds. Un vampire t'attaquera si tu pénètres sur sont domaine ; une fée, elle, peut te faire danser jusqu'à ce que tu meures d'épuisement, t'inciter à prendre un bain de minuit, puis t'entraîner sous l'eau et attendre quêtes poumons éclatent, te souffler de la poussière féerique dans les yeux jusqu'à ce que tu les arraches de leurs orbites...

Clary l'interrompit au milieu de son monologue.

- Jace ! Tais-toi ! Ça suffit.

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c'est plus fort que moi, les bureaucrates vicieux, ça me tape sur les nerfs.

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- J'ai pensé qu'un peu de repos ne te ferait pas de mal. Et puis tu dormais comme une souche. Tu as même bavé, ajouta-t-il. Sur mon tee-shirt.

Clary porta la main à sa bouche.

- Désolée.

- On n'a pas si souvent l'occasion de voir quelqu'un baver avec un tel abandon, observa Jace. La bouche grande ouverte, et ainsi de suite.

- Oh, la ferme !

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- J’aurai dû m’attendre à un mauvais tour de ce genre ! dit-il à la reine d’un ton prouvant qu’il avait renoncé à son numéro de charme. Pourquoi vous faites ça ? Qu’est-ce que vous nous voulez ?

- Peut-être n’est-ce que de la curiosité de ma part, répondit la reine d’un voix suave. Je n’ai pas souvent l’occasion d’observer d’aussi près de jeunes Chasseurs d’Ombres. Comme nous, vous comptez un ange dans votre descendance : cela m’intrigue.

- Mais, contrairement à vous, nous n’avons aucun lien avec l’enfer, cracha Jace.

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Maman ! s'écria Isabelle, une fois revenue de sa surprise. Elle se précipita pour embrasser sa mère. Alec les rejoignit en essayant de ne pas montrer qu'il boitait encore un peu. Jace ne bougea pas. Une ombre était passée dans le regard de Maryse quand elle avait posé les yeux sur lui. Sa remarque n'avait pourtant rien de si terrible. Ils la taquinaient sans cesse sur son obsession de la propreté..

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Jace la suivit dans le hall, impatient de se débarrasser de son armure et de filer sous la douche. Il avait convaincu son frère et sa sœur adoptifs d'aller chasser avec lui, bien que ni l'un ni l'autre ne se sentent très à l'aise à l'idée de sortir seuls depuis que Hodge n'était plus là pour leur donner des instructions. Cependant, Juce cherchait l'oubli dans la violence : tuer le détournait de ses idées noires. Comprenant qu'il ne changerait pas d'avis, ils l'avaient suivi dans les tunnels sales et déserts du métro, où ils avaient trouvé et tué le Dragonidae. Tous trois avaient uni leurs forces dans une harmonie parfaite, comme par le passé. Comme une vraie famille

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(Jace et Maryse)

Il était en train de finir son sac quand des coups retentirent à la porte. [...]

- Qu'est-ce que tu fais ?

Si Jace la connaissait moins bien, il aurait pu croire que sa voix tremblait.

- Mes bagages. C'est ce que font les gens quand ils déménagent, non ?

Maryse blêmit.

- Ne pars pas. Si tu as envie de rester...

- Je n'en ai pas envie. Je ne me sens plus chez moi ici.

[...]

- Ta place est ici, auprès de ta famille, dit Maryse en faisant un pas vers lui.

- Tu m'as jeté dehors ! lança Jace avec colère.

[...]

- Je sais que tu me détestes, dit-elle d'une voix tremblante.

Jace tourna vers elle un regard ébahi.

- Mais en te mettant à la porte, je ne cherchais qu'à te protéger. Et puis, j'avais peur.

- Peur de moi ?

Maryse hocha la tête.

- Eh bien, merci, je me sens beaucoup mieux.

Elle poussa un gros soupir.

- Je craignais que tu ne me brises le cœur, comme Valentin. Hormis ma famille, tu as été le premier à m'inspirer de l'amour après lui, vois-tu. Tu n'étais qu'un enfant...

- Tu m'as pris pour quelqu'un d'autre.

- Non. J'ai toujours su qui tu étais. Depuis le jour où je t'ai vu descendre du bateau d'Idris... Tu es entré dans ma vie et dans mon cœur, comme mes propres enfants à leur naissance.

Elle se tut un instant.

- Tu ne comprends pas, soupira-t-elle de nouveau. Seuls les parents peuvent comprendre. Rien ne se compare à l'amour d'une mère pour ses enfants. Ils sont la plus grande source de bonheur. Mais aussi la plus grande source de conflit.

- Ça, je m'en suis aperçu, répliqua Jace.

- Je n'espère pas que tu me pardonnes. Mais si tu restes pour Isabelle, pour Alec et pour Max, je t'en serai très reconnaissante...

Ce n'était pas le bon argument.

- Je ne veux pas de ta gratitude, lâcha Jace en se tournant de nouveau vers son sac.

Il ne restait plus rien à y mettre. Il remonta la fermeture Éclair.

- "À la claire fontaine, m'en allant promener", dit Maryse.

- Quoi ?

- "Il y a longtemps que je t'aime jamais je ne t'oublierai." C'est la veille berceuse française que je chantais à Alec et Isabelle. C'était ta question, tu te souviens ?

Un dernier rayon de soleil éclaira la chambre. Dans la lumière ténue, Maryse regarda Jace de la même façon que lorsque qu'il était enfant : à croire qu'il n'avait pas changé ces sept dernières années. Elle avait une expression grave et anxieuse, mais pleine d'expectative. Son visage était celui de la seule mère qu'il ait jamais eu.

- Tu te trompes. À toi aussi, je la chantais, poursuivit-elle. Seulement, tu ne m'entendais pas.

Jace ne répondit rien. Puis il ouvrit son sac et en vida le contenu sur le lit.

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