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— C'est ta faute ! lança-t-elle soudain, la rage au cœur. Tu n'aurais pas dû m'embrasser comme ça.

Jace, qui s'était appuyé au chambranle de la porte, se redressa.

— Et comment voulais-tu que je t'embrasse ? Tu as des préférences ?

— Non.

Clary regarda ses mains posées sur ses genoux. Elle étaient froides, pâles, ridées par le séjour prolongé dans l'eau. Elle croisa les doigts pour les empêcher de trembler.

— Je n'avais pas envie que tu m'embrasses, voilà tout.

— En l'occurrence, il me semble qu'aucun de nous deux n'avait le choix.

— C'est bien ce qui m'échappe ! s'emporta Clary, Pourquoi nous obliger à nous embrasser ? Quelle plaisir la reine pouvait-elle en retirer ?

— Tu as entendu ce qu'elle a dit, non ? Elle pensait me faire plaisir.

— N'importe quoi !

— Non, c'est la vérité. Combien de fois faut-il te le répéter ? Les fées ne mentent jamais.

Clary repensa aux paroles de Jace prononcées chez Magnus. « Elles s'arrangent pour découvrir ce que tu souhaites le plus, et te l'offrent sur un plateau, mais elles trouvent le moyen de te le faire regretter. »

— Alors, elle s'est trompée.

— Non, dit Jace avec amertume. Elle a vu la façon dont je te regardais, dont toi tu me regardais ; elle a vu le regard de Simon sur toi, et elle a joué aux marionnettes avec nous.

— Moi, je ne te regarde pas, murmura Clary.

— Quoi ?

— Du moins j'essaie...

Jace la contempla de ses yeux mi-clos qui ne laissaient entrevoir qu'une étincelle dorée derrière ses longs cils, et elle se souvint que lors de leur première rencontre il lui avait fait penser à un lion, un lion aux yeux miel et aux gestes menaçants.

— Pourquoi ?

— A ton avis ? chuchota-t-elle d'une voix à peine audible.

— Alors, pourquoi ? éclata-t-il, la voix tremblante. Pourquoi toutes ces simagrées avec Simon, pourquoi tu me repousses, pourquoi tu ne me laisses pas t'approcher...

— Parce que c'est impossible, répondit Clary, et malgré tous ses efforts pour se contrôler, son dernier mot se perdit dans un sanglot. Tu le sais aussi bien que moi !

— Parce que tu es ma sœur.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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(Max) -Qui c'est elle ?

-Clary répondit Alec. C'est la soeur de Jace.

Max ouvrit de grand yeux.

-Je pensais que Jace était fils unique

-C'est ce qu'on pensait tous marmonna Alec

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"Elle se tourna vers Jace, furieuse.

- Tu n'étais pas obligé d'être aussi...

Elle se tut devant l'expression abbatue, étrangement vulnérable, de son visage. Il finit sa phrase pour elle:

- Désagréable ? Ma mère adoptive m'a fichu dehors en me donnant m'ordre de ne plus jamais remettre les pieds chez elle, pourtant, en temps normal, je suis quelqu'un d'extrêmement facile à vivre. Excepté les jours pairs et impairs bien sûr."

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page 219 à 220

-admettons reprit Jace. Et donc tu as décidé que ton vieil ami Simon ferait office de distractions ?

-ça n'a rien à voir! J'aime Simon.

-Tu l'aime de la meme façon que tu aime Luke. Ou ta mère.

-C'est faux ! Qu'est-ce que tu sais de ce que je ressens ?

-Je ne te crois pas.

Clary se leva. Incapable de soutenir le regard de Jace,elle fixa la petite cicatrice en forme d'étoile qui ornait son épaule droite,un souvenir d'une vieille blessure.<<Une vie de cicatrices et de meurtres,avait dit Hodge un jour.Tu ne sais rien de cette vie là.>>

-Jace,gémit-elle.Pourquoi tu me fais ça ?

-Parce que tu me mens.Et que tu te mens à toi-meme.

Les yeux de Jace étincelaient et,bien qu'il ait glissé les mains dans ses poches,elle s'aperçut qu'il serrait les poings.

Quelque chose en elle se brisa.

-Tu veux la vérité ?Eh bien,la vérité c'est que j'aime Simon comme je devrais t'aimer,toi.La vérité,c'est que je donnerai tout pour que ce soit lui mon frère,et pas toi.Seulement,je ne peux rien y changer,et toi non plut!

à moins que tu aies une idée,toi qui es si malin !

Jace en resta bouche bée. Clary songea qu'elle n'aurais jamais,au grand jamais,imaginé dire un jour une chose pareille.L'expressions de Jace reflétait sa propre stupéfaction.

Elle s'efforça de se redonner une contenance.

-Pardon,Jace je ne voulait pas...

-Non tu n'a pas à t'excuser.

Il fit un pas vers elle,trébucha-lui qui ne trébuchait jamais-et pris son visage dan ses mains.Elle s'abandonna à la chaleur de ses doigts tout en sachant qu'elle aurais du le repousser.Elle ne pouvais cependant bouger,ni détacher ses yeux de lui.

-Tu ne vois donc pas ? dit-il d'une voix tremblante.Je n'ai jamais ressenti ça pour personne.Je ne m'en croyais pas capable.Je pensait...avec mon éducation...mon père...

-Aimer,c'est détruire.Oui,je me souvient.

-je croyais que mon coeur était à jamais brisé.Mais toi..

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-Bien que tout cela soit très amusant, j'aimerais revenir à ce qui nous occupe. Le baiser qui délivrera cette jeune fille est celui qu'elle désire le plus en secret.

L'expression de son visage et le ton de sa voix trahissaient sa jubilation, et ses mots transpercèrent Clary comme un poignard. Simon la regarda? l'air blessé. CLary aurait voulu le prendre dans ses bras, mais elle restait immobile, figée d'horreur?

-Pourquoi faites-vous ça ? s'indigna Jace.

-Et moi qui pensait te faire plaisir !

Jace rougit et prit soin d'éviter le regard de Clary.

-C'est ridicule ! maugréa Simon. Ils sont frère et soeur.

-La reine haussa gracieusement les épaules.

-Le désir va parfois de pair avec la répulsion, et il n'est pas toujours accordé comme une simple faveur à ceux qui le méritent entre tous. Étant donné que ma magie est enchaînée à mes mots, vous connaîtrez la vérité. Si elle ne désire as ce baiser, elle ne sera pas délivrée.

Simon marmonna quelque chose ; Clary ne l'écoutait pas. Ses oreilles bourdonnaient comme si un essaim d'abeilles malfaisantes s'agitait à l'intérieur de son crâne. Son ami se tourna vers elle, furieux.

-Tu n'est pas obligé de faire ça, Clary, c'est un piège...

-Non, ce n'est pas un piège, dit Jace. C'est un test.

-Eh bien, je ne sais pas pour toi, Simon, lança Isabelle d'un ton nerveux, mais moi j'aimerais bien tirer Clary de ce guêpier.

-Parce que toi, tu embrasserais Alec si la reine de la Cour des Lumières l'exigeait ?

-2videmment, si l'autre option était de rester coincé ici pour l'éternité, répliqua Isabelle avec irritation. Quelle importance ? C'est juste un baiser.

-Exactement, renchérit Jace.

Clary le vit s'avancer vers elle comme à travers un brouillard. Il posa une main sur son épaule et se pencha.

-C'est juste un baiser, répéta-t-il d'un ton cassant.

En revanche, ses mains se firent étonnamment douces. Clary leva la tête. Les yeux de Jace lui parurent très sombres, ce qui était peut-être dût aux lumières tamisées. Elle distingua son propre reflet, minuscule, dans ses pupilles dilatées.

-Tu n'as cas fermer les yeux et penser à autre chose suggéra-t-il.

Clary obéit. Elle sentit le poids des mains de Jace sur ses épaules , seule source de chaleur dans la pièce humide et froide.

D'abord, il effleura ses lèvres, qui s'entrouvrirent au contact des siennes. Presque malgré elle, elle se détendit et se hissa sur la pointe des pieds pour enlacer le cou de Jace tandis qu'il glissait les mains dans ses cheveux. Brusquement, leurs lèvres se firent plus pressantes. Un murmure pareil à un soupir parcourut la cour. Clary ne percevait plus que l'afflux du sang dans ses veines et l'impression grisante de légèreté dans tout son corps.

Les mains de Jace lâchèrent ses cheveux, descendirent le long de son cou ; elle sentit la pression de ses paumes sur ses épaules. Il s'écarta doucement en détachant ses bras de sa nuque. Pendant une fraction de seconde, Clary perdit l'équilibre comme si on venait de lui arracher un organe vitale, et elle fixa Jace d'un air ébahit : il n'éprouvait donc rien ? Cette idée lui était insupportable.

Il lui rendit son regard, et elle y lut la même expression que ce jour-là à Renwick, lorsque le Portail qui le séparait de sa maison d'enfance avait volé en éclats. Il la fixa un instant, puis détourna les yeux.

-Vous êtes satisfaite ? lança-t-il à la reine et à ses courtisans. Ça vous a plus ?

La reine porta la main à sa bouche pour dissimuler un sourire.

-Pas autant qu'à vous deux, on dirait.

-Simple hypothèse : j'ai l'impression que les émotions des mortels vous divertissent parce que vous n'en éprouvez pas vous-même.

Le sourire de la reine se figea.

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- J'ai l'oreille fine. Tu devrais apprendre à te servir des tiennes, suceur de sang.

Il dévala les marches du perron avec un petit rire moqueur.

- Finalement, je préférais quand il m'appelait "Terrestre", grommela Simon.

- Avec Jace, on ne peut pas espérer choisir son surnom, observa Clary. Viens.

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p113

Embrasser Simon, c'était agréable comme lézarder dans un hamac par un après-midi d'été, avec un livre et un verre de limonade. C'était le genre d'activité qui n'impliquait ni ennui ni appréhension, ni embarras ni gêne, excepté celle provoquée par la barre en métal du convertible qui vous rentrait dans le dos.

- Aie ! fit Clary en essayant de se dégager.

- Je t'ai fait mal ?

Simon se redressa sur un coude, l'air inquiet. Sans ses lunettes, ses yeux paraissaient deux fois plus grands et plus sombres.

- Non, ce n'est pas toi. Ce canapé-lit est un véritable instrument de torture.

- Je n'avais pas remarqué, dit-il d'un air maussade tandis qu'elle ramassait un oreiller par terre pour le caler sous son dos.

- Je ne vois pas comment tu aurais pu, répliqua-t-elle en riant. On en était où ?

- Eh bien, mon visage était à peu près là où il se trouve en ce moment, mais le tien était beaucoup plus près. Enfin, c'est le souvenir que j'en ai.

- Que c'est romantique ! ironisa Clary en l'attirant vers elle.

Leurs corps étaient collés l'un à l'autre. A travers son tee-shirt, elle sentait battre le cœur de Simon. Ses longs cils, d'ordinaire dissimulés derrière ses lunettes, lui effleurèrent la joue quand il se pencha pour l'embrasser. Elle laissa échapper un petit rire nerveux.

- Pour toi aussi, c'est bizarre ? chuchota-t-elle.

- Non. Quand tu te représentes souvent la même scène, la réalité...

- Déçoit ?

- Non, pas du tout !

Simon recula et la fixa intensément de ses yeux de myope.

- Qu'est ce qui te fais croire ça ? C'est l'inverse, justement. C'est...

Clary réprima un gloussement.

- On n'est peut-être pas obligés d'en parler.

Simon ferma les yeux à demi, esquissa un sourire.

- Voilà, je cherche une réplique cinglante, et tout ce que je trouve à dire...

Clary lui rendit son sourire :

- C'est que tu as envie d'aller plus loin ?

- Arrête !

Simon lui saisit les bras, la maintint fermement pour l’empêcher de gigoter et la dévisagea avec le plus grand sérieux.

- C'est que je t'aime.

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[spoiler]Un spasme de souffrance tordit son visage.

-Ma tête...

-Il ne faut pas traîner ici, souffla Clary,soudain nerveuse. Si jamais la chose qui les a massacrés...

-...revient nous chercher?

Jace jeta un coup d’œil sur sa chemise ensanglantée et sa main couverte d'ecchymoses.

-Je crois qu'elle est partie. Mais je suppose qu'il pourrait la rappeler.

-Qui ça il? s'enquit Alec.

Jace ne répondit pas. De gris, son visage était devenu blanc comme un linge. Alec le rattrapa au moment ou il s'affaissait contre le mur.

-Jace...

-Je vais bien, prétendit ce dernier, mais il agrippa la manche d'Alec. Je peux tenir debout.

-J'ai plutôt l'impression que tu as besoin d'un mur pour te soutenir. Tu appelles ça "tenir debout" ,toi?

-Je m'appuie juste un peu.

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"- Tu n'as pas une araignée qui traine quelque part?

- Pourquoi, j'ai la tête de quelqu'un qui les collectionne? lança-t-il, l'air vexé."

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- Non ! cria Clary en resserrant ses bras autour de Simon. Je t'interdis de lui faire du mal.

- Je n'en ai pas l'intention, déclara Raphaël.

- Ce n'est pas à toi que je parle, lâcha Clary sans lever les yeux. N'y pense même pas, Jace.

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