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- Alec n'arrête pas de m'envoyer des photos agaçantes avec des légendes du type : " Dommage que vous ne soyez pas là... Non, je plaisante. "

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-Je sais que je me comporte bizarrement depuis quelque temps, poursuivit-il. Mais tu n'y es pour rien. Je t'aime. Mes sentiments n'ont pas changé.

-Alors qu'est-ce qui t'arrive ?

-Je crois que tout ce qui s'est passé à Idris: Valentin, Max, Hodge et même Sébastien... J'essaie de l'oublier mais ça me rattrape. Je...je vais me faire aider. Je vais guérir. Je te le promets.

-C'est vrai, promis ?

-Je le jure sur l'Ange. (Il se pencha pour l'embrasser sur la joue.) Rectification. Je le jure sur nous.

Clary glissa les doigts dans la manche de son tee-shirt.

-Pourquoi nous ?

-Parce-que c'est en ça que je crois. Si un jour on se marie... (Il avait dû la sentir se figer contre lui car il sourit.) Pas de panique, ce n'est pas pour aujourd'hui. Je me demandais juste ce que tu savais des mariages entre Chasseurs d'Ombres.

-Il n'y a pas d'échange d'anneaux, répondit Clary en effleurant la peau douce de sa nuque. Juste des runes.

-Une ici, dit-il en touchant sa cicatrice sur son bras. Et une autre là.

Il remonta son doigt jusqu'à sa clavicule avant de poser la main sur son coeur qui battait la chamade.

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Rêve de Jace.

Un coup frappé à la porte l'arracha à ses réflexions. Il se leva et alla ouvrir, s'attendant à trouver Isabelle venue lui emprunter un objet ou se plaindre.

Mais ce n'était pas Isabelle. C'était Clary.

Elle n'était pas habillée comme d'habitude. Elle portait un chemisier blanc noué à la taille, ouvert sur un débardeur noir décolleté, et une jupe courte qui révélait les courbes de ses jambes jusqu'à mi-cuisse. Ses cheveux roux étaient rassemblés en nattes, et quelques mèches rebelles bouclaient sur ses tempes comme s'il bruinait dehors. Elle souriait, en le regardant, ses sourcils cuivrés rehaussant ses yeux verts.

-Tu vas te décider à me laisser entrer ?

Il jeta un coup d'oeil de part et d'autre du couloir. Dieu merci, il n'y avait personne. Prenant Clary par le bras, il l'attira à l'intérieur et referma la porte. Après s'être adossé au panneau, il demanda :

- Qu'est ce que tu fais ici ? Il s'est passé quelque chose ?

- Non, tout va bien.

Elle envoya valser ses chaussures et s'assit au bord du lit. Sa jupe retroussée montrait encore un peu plus de cuisse, et Jace avait toutes les peines du monde à se concentrer.

- Tu m'as manqué, poursuivit-elle. Maman et Luke dorment. Ils ne s'apercevront pas de mon absence.

- Tu ne devrait pas être ici, grommela-t-il.

Il détestait l'accueillir de la sorte mais, pour des raisons qu'elle ignorait et qu'ils espérait ne jamais devoir lui révéler, il le fallait bien.

-Si tu veux que je parte, je m'en vais, répliqua-t-elle en se levant.

Ses yeux verts étincelèrent. Elle fit un pas dans sa direction.

- J'ai fait tout ce chemin pour te voir. Tu pourrais au moins m'embrasser avant que je m'en aille.

Il l'attira contre lui et l'embrassa. Il ne pouvait pas s'en empêcher, même si c'était une mauvaise idée. Elle se colla à lui comme une soie délicate. Il passa les doigts dans ses cheveux et dénoua ses nattes pour laisser flotter librement ses cheveux sur ses épaules, comme il les aimait. Il se souvint avoir eu envie de faire cela la première fois qu'il l'avait vue, et avoir chassé cette idée folle de son esprit. Elle était une Terrestre, une étrangère, il n'avait donc aucunes raison de la désirer. Quand il l'avait embrassée dans la serre, il avait bien cru perdre la tête. Ils étaient retournés à l'étage inférieur, et c'est alors que Simon les avaient interrompus. En cet instant, il n'avait jamais autant eu envie d'étrangler quelqu'un bien qu'il sût, en toute logique, que Simon n'y était pour rien. Mais ce qu'il ressentait n'avait rien à voir avec la logique et, à cette époque-là, quand il s'imaginait Clary le quittant pour Simon, cela l'effrayait bien plus que n'importe que démon.

Puis Valentin leur avait révélé qu'ils étaient frère et soeur, et Jace avait pris conscience qu'il existait des choses infiniment pires que de perdre Clary au profit de quelqu'un d'autre, comme le fait de découvrir que son amour pour elle était contre nature. Soudain, ce qu'il avait d'abord considéré comme le sentiment le plus pur et le plus irrépréhensible de son existence devenait un péché au-delà de toute rédemption. Son père lui avait dit un jour que c'était un supplice pour les anges d'être déchus une fois qu'ils avaient vu le visage de Dieu, parce qu'ils savaient qu'ils ne le reverraient plus jamais. Or, il avait eu l'impression de savoir ce qu'ils ressentaient.

Pour autant il ne l'avait pas moins désirée; au contraire, c'était devenu une torture. Parfois, l'ombre de ce tourment assombrissait ses souvenirs quand il l'embrassait comme en ce moment, et il serra plus fort contre lui. Elle poussa une exclamation de surprise mais ne protesta pas, quand il la souleva pour la porter vers son lit. Ils s'allongèrent en froissant les lettres éparpillées, et Jace poussa la boîte par terre pour faire de la place. Son coeur tambourinait dans sa poitrine. Ils n'avaient jamais vraiment partagé le même lit jusqu'à présent. Il y avait bien eu cette nuit à Idris, mais ils s'étaient à peine touchés. Jocelyne ne les laissait jamais passer la nuit l'un chez l'autre. Jace la soupçonnait de ne pas beaucoup l'aimer, et il ne pouvait pas lui en vouloir. A sa place, il aurait eu les même réserves à son égard.

- Je t'aime, murmura Clary. Je ne veux plus jamais de te perdre.

Elle avait ôté le tee-shirt de Jace et promenait les doigts sur ses cicatrices, notamment celle en forme d'étoile qui ornait son épaule, une jumelle de la sienne, relique de l'ange dont ils partageaient tous deux le sang.

Au moment où il défaisait le noeud de son chemisier, son autre main rencontra le métal froid au couteau de chasse. Il avait dû tomber sur le lit avec la reste de la boîte.

- ça n'arrivera plus.

Elle leva vers lui ses yeux brillants.

- Comment tu peux en être aussi sûr ?

Sa main se referma sur le manche du couteau. Le clair de lune se déversant par la fenêtre fit étinceler la lame quand il la brandit au-dessus de sa tête.

- Parce que, dit-il en la poignardant.

La lame transperça sa peau comme une feuille de papier, ses lèvres formèrent une "oh !" de surprise et, tandis que du sang éclaboussait sa chemise blanche, il pensa : "Mon Dieu, encore !"

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Jace se tourna de nouveau vers Simon.

- Le concert est à neuf heures, c'est ça? Qu'est-ce qu'on va faire pendant toute la journée?

- "On"? répéta Simon, incrédule. Tu vas te décider à rentrer chez toi?

- Quoi, ma compagnie t'ennuie déjà?

- Je peux te poser une question? Je te fascine ou quoi, pour que tu me colles aux basques?

- Hein? Désolé, je crois que je me suis endormi pendant une minute. Vas-y, continue à me parler, c'est passionnant.

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- Les jolis garçons ont toujours causé ta perte. Que peut te donner un mortel sinon dix ou vingt ans avant le début de la décrépitude, et quarante ou cinquante ans avant la mort ? Moi je peux t'offrir l'éternité.

Magnus caressa la joue de Camille. Elle était encore plus froide que le sol où il était assis.

- Tu pourrais m'offrir le passé, observa-t-il tristement, mais Alec est mon avenir.

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— Non, c'est vrai. Après tout, j'aurais pu te demander pourquoi c'est moi que tu as appelée à l'aide et pas Jace, mais je me suis abstenue. Je ne suis pas si bête. J'ai bien vu que ça ne va pas entre vous, malgré vos embrassades passionnées dans les ruelles. (Elle lança un regard perçant à Clary.) Vous avez couché ensemble, tous les deux ?

Clary sentit le sang lui monter au visage.

— Quoi... Non, on n'a pas couché ensemble, mais je ne vois pas le rapport.

— Il n'y en a pas, lâcha Isabelle en ajustant son chignon. Simple curiosité. Qu'est-ce qui te retient ?

— Isabelle...

Clary ramena ses jambes contre elle, noua les bras autour de ses genoux et poussa un soupir.

— Rien. On prenait notre temps, voilà tout. Je n'ai jamais... Tu sais.

— Jace, oui. Enfin, je suppose. Je n'en suis pas sûre. Mais si tu as besoin de quelque chose...

Elle laissa sa phrase en suspens.

— Besoin de quelque chose ?

— D'une protection, par exemple. Il faut être prudente, déclara Isabelle d'un ton pragmatique. On pourrait s'imaginer que l'Ange a eu la présence d'esprit de nous doter d'une rune contraceptive. Tu parles !

— Bien sûr que je serai prudente, bredouilla Clary, les joues en feu. Arrête. Ça me met mal à l'aise.

— Ce sont des conversations de filles. Si tu es mal à l'aise, c'est parce que tu as passé ta vie avec Simon pour seul ami. Or, tu ne peux pas lui parler de Jace. Ce serait trop gênant.

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"Ce n'était pas juste", dit Simon.

"Peut-être, dit Isabelle. Mais je vois mes frères donner leur cœur et tu n'étais pas au courant ? les coeurs sont cassables. Et je pense que même si on guérit, après on n'est plus jamais ce qu'on était avant."

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- Comme ça tu penses être un vampire, dit la mère de Simon, avec un air hébété. Et tu crois que tu bois du sang...

- Je bois vraiment du sang, rétorqua Simon. Je bois du sang d'animal.

- Mais tu es un végétarien. Sa mère avait l'air d'avoir les larmes aux yeux.

- Je l'étais. Je ne le suis plus maintenant. Je ne peux plus l'être. C'est grâce au sang que je peu vivre. La gorge de Simon se serra. Je n'ai blessé personne. Je ne boirais jamais le sang d'un humain. Je suis toujours la même personne. Je suis toujours moi.

Sa mère luttait pour garder un calme tout relatif.

- Tes nouveaux amis - sont ils des vampires, aussi ?

Simon pensa à Isabelle, Maia, Jace. Il ne pouvait pas parler des Shadowhunters et des loups-garous, ce serait trop. Non, répondit-il. Mais ils savent que j'en suis un.

- Tu as pris de la drogue? Ils t'ont fait prendre quelque chose ? Quelque chose qui te ferait avoir des hallucinations ?"

- Non, maman, c'est la réalité.

- Ce n'est pas la réalité, chuchota-t-elle. Tu penses que c'est la réalité. Oh, mon Dieu Simon, Je suis tellement désolée. J'aurais dû remarquer. Tu as besoin d'aide. Nous trouverons quelqu'un, un docteur, peu importe ce que cela coutera.

- Je ne peux pas aller chez un docteur.

- Si, tu peux. Tu dois aller quelque part, un hôpital peut-être?

Il lui tendit son poignet.

- Sens mon poul, cherche mes pulsations, dit-il.

Elle le regarda abasourdie.

-Quoi ?

- Mes pulsations, insista-t-il. Prends-les. Si j'en ai, j'irai à l'hôpital avec toi. Sinon, tu devras me croire.

Elle a essuyé les larmes de ses yeux et s'est lentement approchée pour prendre son poignet...

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Elle recula d'un pas et faillit trébucher sur une enceinte abandonnée sur le trottoir. Son sac tomba par terre au moment où elle tendait la main pour retrouver son équilibre, mais Jace l'avait déjà devancée. S'avançant pour la rattraper, il la poussa contre le mur de la ruelle et, la prenant dans ses bras, il l'embrassa passionnément.

Clary savait qu'elle aurait dû le repousser ; sa petite voix intérieure lui soufflait que c'était la solution raisonnable, mais son corps se fichait bien de la raison alors que Jace l'embrassait à perdre haleine, comme s'il risquait l'enfer en faisant cela mais que cela en valait quand même la peine.

Elle se cramponna à ses épaules, au coton trempé de son tee-shirt, sentit la dureté de ses muscles en dessous, et lui rendit ses baisers avec tout le désespoir qu'avaient suscité ces quelques derniers jours, alors qu'elle ignorait où il était et ce qu'il pensait, et qu'il lui semblait qu'on lui avait arraché le cœur.

— Dis-moi ce qui ne va pas, chuchota-t-elle entre deux baisers, le visage contre le sien. Oh, souffla-t-elle comme il s'écartait pour lui prendre les mains et les glisser autour de sa taille.

Il la hissa sur une enceinte cassée, de sorte que leurs visages se faisaient face, prit sa tête entre ses mains, et se pencha vers elle. Leurs corps se frôlaient sans vraiment se toucher, et cela lui mettait les nerfs en pelote. Elle sentait la fièvre qui émanait de lui ; elle avait toujours les mains sur ses épaules, mais ça ne suffisait pas. Elle avait envie qu'il la serre dans ses bras.

— P... pourquoi tu ne me parles pas ? reprit-elle à voix basse. Pourquoi tu ne me regardes pas ?

Il plongea son regard dans le sien. Ses cils assombris par la pluie faisaient ressortir l'or de ses yeux.

— Parce que je t'aime.

Incapable d'attendre davantage, elle agrippa les passants de sa ceinture et l'attira contre elle. Il se laissa faire sans résister, les mains plaquées contre le mur, et colla son corps au sien jusqu'à ce que leurs bustes, leurs hanches et leurs jambes s'emboîtent comme les pièces d'un puzzle. Les mains posées sur sa taille, il lui donna un long baiser langoureux qui la fit frissonner.

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New guy : “Was that redheaded chick at the garage one of them? Because she was cute.”

New guy : “Was that redheaded chick at the garage one of them? Because she was cute.”

Simon : “No. That’s Clary; she’s my best friend.” Simon pocketed his phone. “And she has a boyfriend. Like, really, really, really has a boyfriend. The nuclear bomb of boyfriends. Trust me on this one.”

Nouveau personnage : "Est-ce que la rousse qui était au garage était l'une d'entres elles (cf, ses petites-amies) ? Parce qu'elle est choue."

Simon : "Non. C'était Clary ; c'est ma meilleure amie." Simon sorti son téléphone. "Et elle a une petit ami. Genre, vraiment vraiment vraiment un petit ami. La bombe nucléaire des petits amis. Crois-moi sur parole."

- City of Fallen Angels twilight-teamsuisse.blogpost.fr

Traduction du livre

" - Une de tes copines ? demanda - Nouveau garçon -, l'air intrigué. La petite rousse que j'ai vue au garage, elle fait partie du lot ? Elle est mignonne.

- Non, ça c'était Clary, ma meilleure amie, répondit Simon en rempochant son téléphone. Et elle n'est pas célibataire. Mais alors pas du tout. Fais moi confiance. "

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