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Liste des extraits

« Il savait que la vie était ce qu’elle était, un simple souffle dans l’éternité, un instant aussi fugace que le battement d’ailes d’un papillon, une victoire qui s’achève toujours par une défaite, un chemin qui conduit inévitablement à l’abîme. »

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Les particules qui transportent les forces fondamentales sont des bosons. Les photons, par exemple, sont des bosons qui transportent l'énergie électromagnétique, comme celle du Soleil. Les particules qui constituent la matière s'appellent des fermions. Cela signifie que les électrons, les protons et les neutrons sont des fermions."

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La position de fond d'Einstein était que le monde existe indépendamment de nous et que tout est lié par une relation de cause à effet. Si le principe d'incertitude et les expériences montrent que la réalité n'a pas d'existence objective, cela n'est pas dû au fait que la réalité soit effectivement créée par l'observation, mais au fait que les instruments d'observation nuisent à l'observation elle-même, ou bien que certaines variables, qui pourraient expliquer l'étrange comportement de la matière, n'aient pas encore été découvertes. Quant à l'onde de probabilité de l'équation de Schrödinger, elle résulte de la limitation de nos connaissances. La matière n'apparaît pas en un point donné de l'onde de façon spontanée et aléatoire, mais parce que quelque chose l'a obligée à surgir à cet endroit, et le fait qu'on en ignore la cause n'empêche pas celle-ci d'exister."

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Le premier indice qui a permis de montrer que la mémoire ne pouvait être considérée comme un enregistreur fidèle est apparu lors d'une expérience réalisée à Berlin en 1902. Durant un cours à l'université, deux étudiants se sont violemment disputés, l'un d'eux allant jusqu'à menacer l'autre avec un revolver, ce qui a conduit le professeur à s'interposer. En réalité, il s'agissait d'une mise en scène, mais les autres élèves n'en savaient rien, et le professeur leur a demandé de rendre compte par écrit de ce qui s'était produit. Lorsqu'il a lu les récits, le professeur a enregistré des taux d'erreurs factuelles entre 26% au minimum et 80% au maximum.

Les comptes rendus omettaient des phrases prononcées et des actes commis par les deux protagonistes. Par ailleurs, ils faisaient tenir des propos à des étudiants qui n'avaient rien dit et agir d'autres qui n'avaient rien fait. Cette expérience suscita toute une série d'autres tests qui confirmèrent le caractère faillible de la mémoire. On découvrit que la mémoire ne se fixe pas au moment où un événement est enregistré, mais qu'elle se réorganise au fur et à mesure que le temps passe, l'esprit effaçant certains éléments, en modifiant d'autres, voir en ajoutant de nouveaux. Tels qu'ils se manifestent dans notre esprit, les événements ne correspondent pas à une réalité extérieure, ils sont une reconstruction."

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Qu'est-ce que le son ? C'est le résultat du mouvement de molécules dans un milieu quelconque, tel que l'air ou l'eau, par exemple. Lorsqu'un arbre tombe par terre, les molécules d'air sont perturbées et génèrent des pulsations successives qui se propagent en onde. Or, quand il se produit entre vingt et vingt mille pulsations par seconde, cette variation de pression provoque une vibration sur une membrane appelée le tympan, qui la transforme en impulsions électriques et la transmet à un nerf. Notez que le tympan n'a enregistré aucun son, il a simplement vibré en raison des pulsations rapides qui modifient la pression de l'air. En réalité, le tympan a stimulé le nerf en fonction du rythme de ces pulsations de molécules, créant ainsi un phénomène que la conscience désigne comme étant le son. Un sourd, par exemple, ne peut pas percevoir ce stimulus, ce qui ne l'empêche pas de sentir les vibrations des molécules d'air, mais sur sa peau."

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Le symbole TeV était formé des initiales de téra - monstre en grec - électrons et volts. 7 TeV, cela voulait dire qu'avec la dernière accélération, les protons allaient atteindre l'énergie monstrueuse de sept billions d'électrons-volts. En d'autres termes, ils s'apprêtaient à transformer l'énergie en une masse équivalente à sept mille protons, une énergie comparable à celle que possédaient les particules subatomiques une minuscule fraction de seconde après le Big Bang, la création de l'univers. À 7 TeV, l'accélération des protons allait atteindre au moins 99,9% de la vitesse de la lumière, tout au long d'un faisceau aussi fin qu'un cheveu, et s'étirant sur 27 km autour de l'accélérateur. Cela donnait une idée de l'accélération gigantesque obtenue dans le grand collisionneur de hadrons du CERN, la machine la plus complexe et la plus perfectionnée jamais conçue par le génie humain."

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L'universitaire ne répondit pas. Il gribouilla d'autre mots.

LA VIE EST BELLE ET TU ES BELLE

_Et ça? demanda t-il.

Son amie éclata de rire.

_C'est un compliment. Tu ne perds jamais une occasion...

_C'est vrai, je ne rate pas une occasion de dire la vérité, répondit-il en souriant.

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_ C'est la cerise sur le gâteau. Prends garde à ce que tu vas faire, tu entends? Tes baisers à la sortie de la fondation... Je ne t'ai laissé faire que parce que tu m'as prise par surprise et pour tromper l'Américain. Mas qu'il n'y ai aucun malentendu: n'essaie pas de profiter de la situation, tu as compris?

L'historien était l'innocence personnifiée.

_Moi? Profiter de la situation? Franchement, Flor, Tu me crois capable d'une chose pareille?

_Tu es capable du pire!

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Il se tut et s'immobilisa en entendant des éclats de voix. Les hommes étaient arrivés sur le balcon. Tomas leva les yeux et vit leurs bras tendus en avant, pointant tous les deux leur arme dans sa direction.

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L'homme au regard glacial traversa le vestibule d'un pas décidé en direction du dispositif de contrôle d'accès au CERN. Il ne se souvenait pas d'avoir vu tous ces appareils de surveillance la dernière fois qu'il était venu, mais les drapeaux tricolores accrochés dans le hall lui rappelèrent que le Président français devait visiter les installations la semaine suivante.

- Foutus Français !... marmonna-t-il. «

Agacé, il ignora le tapis roulant sur lequel il était censé déposer le contenu de ses poches et se dirigea directement vers le détecteur de métaux. Il s'immobilisa alors, tel une momie.

Un agent de sécurité suisse lui fit signe d'avancer. Le visiteur, apparemment marqué par le poids des ans, fit deux pas en avant et, tout en lisant «Jean-Claude Bloch» inscrit sur le badge qui pendait au cou du garde, il franchit le détecteur. Le portique sonna.

Un scanner à la main, l'agent s'approcha.

- Écartez les bras, s'il vous plaît.

L'homme s'exécuta et le garde le balaya de son scanner. Au niveau des hanches, l'engin émit un son significatif. Le visiteur mit les mains dans les poches, tel un enfant qui se serait fait prendre en train de voler des bonbons.

- Ce ne sont que des clés, quelques pièces de monnaie et mon téléphone portable, murmura-t-il, rien d'extraordinaire, comme vous pouvez le constater.

Le dénommé Bloch le regarda d'un air désapprobateur et désigna le tapis roulant :

- La prochaine fois que vous viendrez ici, vous y déposerez vos objets en métal. Ça nous facilitera le travail, dit-il, une pointe d'irritation dans la voix.

L'inconnu maugréa et le garde, impassible et tout à sa tâche, reprit l'examen à l'aide du scanner. Il le passa sur les jambes, puis ordonna à l'homme d'ôter ses chaussures. Il fit glisser ensuite l'appareil le long de ses épaules et de ses bras. Lorsqu'il arriva à la poitrine, l'appareil émit un nouveau son.

- Merde ! vociféra le vieux, contrarié. J'ai oublié mon petit joujou.

Il plongea la main à l'intérieur de sa veste. Le garde écarquilla les yeux, atterré, lorsqu'il vit le visiteur sortir un revolver de sa poche. Il recula d'un bond, se figea un instant, puis dégaina son arme d'un mouvement rapide.

- Pas un geste ! cria-t-il, tenant en joue le visiteur. On ne bouge plus !

Alertés par les hurlements de leur collègue, les autres agents de sécurité sortirent leurs armes à leur tour. L'alarme commença à retentir dans le hall, provoquant une confusion totale. Certaines personnes se mirent à crier, d'autres couraient vers la sortie. En un instant, la tranquillité avait laissé place au chaos généralisé.

- Allons, messieurs, n'exagérons rien, ce n'est que mon vieux colt ! Un honnête citoyen ne peut plus se protéger dans un monde si violent ?

- Pas un geste ! insista Bloch, son Glock de service pointé vers l'intrus. Baissez-vous lentement et posez votre arme par terre. -Il fit un geste menaçant pour souligner son ordre. - Très lentement, vous avez entendu ? Au moindre mouvement suspect, je n'hésiterai pas à tirer.

- C'est bon, c'est bon ! rétorqua le visiteur, apparemment peu impressionné par toute cette agitation. Je connais la procédure, ne vous en faites pas.

Le vieux se baissa doucement et posa son colt par terre. Puis il se releva, les bras en l'air. Du bout du pied, le garde qui se trouvait près de lui écarta le pistolet puis, tranquillisé, désigna le sol avec son arme.

- Couchez-vous. Les mains derrière la nuque !

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