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Esther Greenwood, dix-neuf ans, est à New York avec d’autres lauréates d’un concours de poésie organisé par un magazine de mode. De réceptions en soirées passées pour tuer le temps, ce sont quelques jours d’une existence agitée et futile que vit la narratrice. En même temps, elle se souvient de son enfance, de son adolescence d’étudiante américaine, des amours qu’elle a connues. Tout bascule lorsqu’Esther quitte New York. Tentative de suicide, traitements de choc, guérison, rechute et pour finir, l’espoir. Esther est à la fois « patiente » dans l’univers hospitalier et observatrice au regard aigu de ce monde, qui a pour toile de font l’Amérique des années 50.
J’étais vidée de toute chaleur et de toute peur. Je me sentais étrangement en paix. La cloche de verre était suspendue au-dessus de ma tête. J’étais la proie du souffle d’air.
Esther Greenwood nous fait voyager à travers l’Amérique des années 50 dans laquelle elle ne trouve pas sa place. Lauréate d’un concours de poésie, elle est invitée à séjourner à New York et se voit offrir un stage dans un magazine prestigieux. Ce qui se présentait comme le début d’une vie prometteuse marque, en fait, le début d’une lente descente aux enfers.
D’entrée de jeu, on se glisse dans la tête d’Esther. On y découvre ses pensées, d’abord détachées, maussades, puis de plus en plus moroses. Insidieusement, la dépression s'installe et un profond mal-être prend racine en elle.
J’avais imaginé une lecture bien plus sombre au vu des thèmes abordés, mais de manière assez surprenante, la distance que met l’auteure entre les pensées d’Esther et ses actes apporte presque une certaine… ironie ? Sans pour autant atténuer la gravité ou l’aspect poignant de certaines scènes.
L’écriture, fluide et expressive, sonne avec tellement de justesse. Son talent de poétesse transparait vraiment ici. J’ai été surprise de voir la facilité avec laquelle elle retransmettait ses sentiments, mais aussi sa faculté à dépeindre la psyché de son personnage.
En bref, un livre poignant porté par une plume poétique, sincère et tellement parlante. J’ai été épatée par la justesse avec laquelle Sylvia Plath dépeignait la dépression, tout en gardant un aspect réel et une touche de poésie.
Un livre profond et saisissant qui représente bien la souffrance d'une jeune femme au début de sa vie qui s'effondre sous les attentes d'une société qui la malmène. La métaphore du figure est très beau. Ce livre est évidemment très déprimant mais bien écrit, même si certains passages m'ont été un peu difficiles à suivre. En outre, le racisme dont est imprégné le livre est notable et très déroutant.
La lecture était addictive et me tenait en haleine, et j’ai adoré le style d’écriture – simple et fluide avec une intersection de la chronologie des événements totalement compréhensible qui rajoute un autre niveau à l’écriture, à l’histoire et à la façon de lire son autobiographie (ou semi-autobiographie).
J’ai été surprise que le livre ne soit pas si long que ça, ça a été une lecture vraiment rapide, fluide et simple pour moi - je l’ai lu en VO et le niveau de langue est facile et très compréhensible (à part le nom des différents vêtements d’époque que l’on a plus et qu’il faut googler).
Plath se concentre surtout sur sa condition mentale mais traite aussi tout du long de la condition de la femme à l’époque, des difficultés, des doubles-standard, des attentes de la société.
On peut être surpris pas certains éléments de langage utilisés par les USA des années 50, mais elle capture bien la société de l’époque à travers ses personnages, ses dialogues, et la façon dont on voyait et traitait les personnes dépressives ou internées.
Un des meilleurs livres que j'ai lu de ma vie. L'intensité des émotions est incroyable. La description des sentiments du personnage principal est extrêmement émouvante. Je recommande, mais attention aux âmes sensibles
Ce roman d'inspiration autobiographique m'a plu par son écriture et la description fine des représentations du monde de la narratrice.
Elle décrit ici ce qu'elle vit de la dépression, de sa vision du monde et notamment de la société du milieu du XXème siècle. Je le recommande et plus particulièrement aux personnes entourées de proches bipolaires ou maniaco dépressifs afin de tenter de comprendre cette maladie.
Encore une lecture de cours mitigée. Les… disons, neuf premiers chapitres sont exceptionnels. Remplis de sarcasme, d’engagement, de piquant, d’intelligence, d’humour, vraiment master class. Les onze autres… quelle déception. Je ne m’attendais absolument pas à cette tournure au cœur de la dépression, le suicide, les asiles, les violences en tout genre. Déjà j’étais été profondément choquée par certaines scènes/phrases, et j’ai trouvé dommage que ça ne soit mentionné nul part que ce livre peut contenir des propos violents. Ensuite, tout simplement j’ai eu l’impression que la protagoniste et l’histoire perdaient tout leur charme. Je n’ai pas trop compris comment un livre aussi prometteur peut perdre toute sa splendeur aussi rapidement. Mais sinon les premiers chapitres, je m’en souviendrai longtemps !
Cet unique roman de Sylvia Plath, publié un mois avant son suicide est aussi magnifique que perturbant, triste que lumineux et expose de manière pudique la dépression, surtout quand elle est due au sentiment de se sentir non-conforme dans un monde cadenassé par les archétypes. Ce roman m'a plongée dans un malaise énorme, tant il sonne vrai, réaliste et profond et sans doute aussi car nous sommes tous plus ou moins dans cette prison mentale nommée à juste titre " la Cloche de verre" et qu'en prendre conscience peut être extrêmement douloureux.
Je ne sais pas comment aborder un tel livre, il est clairement autobiographique mais aussi romancé, c’est un livre pendant lequel je me suis ennuyé mais j’ai quand même été pris par le récit, j’ai été intimement touché par Esther Greenwood, peut-être parce qu’à son retour de New-York elle est devenue un peu trop comme moi, dépressif, insomniaque et autres joyeusetés du genre, je pense notamment au thème du suicide qui m’attire et me provoque aussi de la crainte, et à l’atmosphère quasi apocalyptique de la fin qui ressemble à ma vie en ce moment, à quelques détails près.
Sylvia Plath n’a pas simplement écrit un roman autobiographique, elle a écrit une œuvre d’art, un livre qui explique très bien et mieux que la plupart des bouquins sur la dépression, comment un humain peut se sentir dans ces conditions. Le livre se déroule dans l’Amérique des années 50, mais il pourrait tout aussi bien de dérouler de nos jours que peu d’événements changeraient. La plume de Plath est
La fin est brusque, mais je ne m’attendais pas à autre chose, face à la brutalité de la vie et des envies de notre protagoniste d’en finir. Le début est joyeux et drôle tandis que peu à peu ça devient sombre et morbide, pourtant elle garde souvent cette pulsion de vie malgré ses tentatives de suicides, elle vit. Il y aurait tant à dire sur ce roman mais je préfère la vision personnelle que j’ai, ma lecture de l’œuvre mise en relation avec mon vécu.
J'ai lu ce livre dans le cadre de mes études. J'aimais je ne me serais tournée de moi-même vers ce roman je pense. Et quelle erreur !
J'ai beaucoup aimé ce livre qui suit Esther lors de son stage dans un magazine de mode et où plusieurs sujets sensibles s'entrechoquent afin de nous peindre une société des années 50. Entre place de la femme, sexualité, drogue, maladie mentale...
J'ai eu de la peine pour Esther à certains moment de plus que, Sylvia Plath s'est inspiré de sa vie pour ce roman.
Résumé
Esther Greenwood, dix-neuf ans, est à New York avec d’autres lauréates d’un concours de poésie organisé par un magazine de mode. De réceptions en soirées passées pour tuer le temps, ce sont quelques jours d’une existence agitée et futile que vit la narratrice. En même temps, elle se souvient de son enfance, de son adolescence d’étudiante américaine, des amours qu’elle a connues. Tout bascule lorsqu’Esther quitte New York. Tentative de suicide, traitements de choc, guérison, rechute et pour finir, l’espoir. Esther est à la fois « patiente » dans l’univers hospitalier et observatrice au regard aigu de ce monde, qui a pour toile de font l’Amérique des années 50.
Éditions France Loisirs
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