Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 706
Membres
1 013 471

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

"Elle a écrit des textes sacrés et profanes, aimé une femme, fondé deux monastères, composé de la musique, des poèmes, soigné, exorcisé, percé le secret des plantes, tenu tête aux puissants (...)".

Afficher en entier

"En cette époque d'épidémies et de métamorphoses, dans la noblesse rhénane, on offre aisément sa dernière fille au couvent comme l'aînés à marier. Et c'est ainsi qu'offerte, Hildegarde l'est, en l'an 1106, à l'âge de huit ans, à Dieu comme à un homme. L'événement a beau être ordinaire en ce temps-là, le déchirement n'en est pas moins cruel."

Afficher en entier

""Habitare secum", a énoncé saint Benoît dont la règle va façonner les journées de l'enfant. Habiter avec soi-même. Il n'y a pas d'autre salut pour l'homme. Très vite, Hildegarde le sait, très vite elle comprend que cette loi, pour être libre, elle doit la faire sienne. Tout est là. En elle."

Afficher en entier

"Si des mains d'Otto, Hildegarde va prendre le voile, c'est parce qu'elle a choisi contre les vanités du siècle, l'opulence du silence. C'est là que réside sa liberté. Dans cette foi qui n'est pas une croyance mais l'état naturel de son être."

Afficher en entier

"Entre chaque livre, son état s'affaiblit. Et cela s'avérera vrai jusqu'au Livre des œuvres divines, celui des dernières visions, qui ayant si bien pénétré ses veines, suscitera en elle une grande fatigue qui tantôt allégera, tantôt rendra plus pénible encore l'épuisement dû à sa maladie."

Afficher en entier

"Ce qui croît en bas croît en haut: Hildegarde s'épanouit à hauteur de sa réputation. Celle qui s'est mise au service ne fait que suivre ses visions. Or l'une d'elles lui indique de quitter Saint-Disibod pour s'en aller fonder son propre monastère. Sur le Rupertsberg, près de Bingen. À six heures de marche, là où la Nahe se jette dans le Rhin, rivière dans le fleuve. La géographie de Dieu est précisé. C'est une grande tâche que celle de fonder son propre lieu. Une grande tâche symbolique et profonde."

Afficher en entier

"Prendre soin de l'être c'est envisager l'homme dans sa globalité. Ce que fait Hildegarde pour qui le corps est arbre de vie. Elle en connaît les portes. Les matrices. La symbolique. Elle sait que " le cœur détient la connaissance; le foie la sensibilité; le poumon l'aptitude à reconnaître le sol et le chemin, que la bouche est la trompette de ce que l'homme proclame et une aide pour la restauration du corps." La parole soigne. Bien sûr. Hildegarde sait cela."

Afficher en entier

"Hildegarde connaît les plantes, leurs vertus, a parlé à chacune d'elles, les cultive en son couvent, prépare les remèdes dans sa propre pharmacie. Elle en utilise les bienfaits, décrit dans ses livres: ici la propriété thérapeutique du camphre, là celle de l'arnica ou encore de l'épeautre, dont elle défend la consommation régulière, avec le miel et le vin."

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode