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— Il me semble avoir déjà dit ça. Tu n’es qu’un vieux cynique de mange-merde.

— Ce sont toutes ces années passées à surveiller Qu’un-Œil qui ont fait de moi ce que je suis. J’étais encore une douce et innocente petite chose quand je me suis enrôlé dans ce régiment. Un peu comme toi.

— Tu es né mauvais et cynique. »

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— Mais quelqu’un d’autre peut s’estimer heureux d’avoir eu un copain comme moi pour le déterrer. Le Vieux voulait tout juste poser une stèle. »

Gobelin a redoublé de grognements. « Jamais de la vie. Et, à la vérité, ce tunnel ne se serait jamais effondré si une merde de chien puant à deux pattes n’avait pas joué à l’un de ses jeux stupides. J’avais presque oublié tout cela, tu sais. Je ne t’ai jamais rendu la monnaie de cette pièce. Tu n’aurais jamais dû ramener cette affaire sur le tapis, espèce d’étron à visage humain. Bon sang ! Tu as bien failli crever avant de m’avoir réglé cette dette. Je savais que tu magouillais un coup tordu. Tu as fait exprès d’avoir cette attaque, pas vrai ?

— Bien sûr que oui, nez de bœuf. Dès que j’en ai l’occasion, j’essaie de mourir pour m’épargner tes coups de poignard dans le dos. Tu préfères le prendre comme ça ? Je t’ai sauvé la vie et tu le prends comme ça ? Y a pas plus con qu’un vieux con. Ramène ta fraise, sale petit crapaud dégarni. Je suis peut-être un peu plus lent depuis deux ans, mais je suis toujours trois fois plus rapide et dix fois plus malin que toutes les blanchecailles…

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J’étais en proie à une crise de conscience aussi troublante que celles dont ma foi tombait parfois victime. J’aime les livres. Je crois en la chose écrite. En règle générale, je suis contre l’idée de détruire des livres au seul motif de leur contenu détestable. Mais ceux-là recelaient les sinistres et secrètes recettes de la fin du monde. De la fin de plusieurs mondes, en réalité, car, si l’Année des Crânes se soldait effectivement par l’holocauste du mien, tous ceux qui reliaient la plaine scintillante suivraient dans la foulée.

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Iqbal m’a fait un sourire, dévoilant des chicots en mauvais état ; il fallait qu’il consultât rapidement Qu’un-Œil. « On prépare tout à mon intention.

— Parfait. » Mieux. Mille fois mieux.

Après lui avoir donné un coup de main, la vieille toupie est allée traire les chèvres. Je commençais à comprendre ce qu’éprouvait Narayan. J’allais peut-être devoir m’adosser à un mur, moi aussi, et veiller à ne pas piquer du nez.

Gota ne se plaignait même pas.

Et l’oncle Doj était resté dehors, sans doute pour profiter de l’incomparable fraîcheur de ces bois hospitaliers.

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« Nous restons la Compagnie noire. Nous n’abandonnons pas les nôtres. » Ce n’était pas la stricte vérité, mais on doit de son mieux servir son idéal si l’on ne veut pas le voir se dégrader. Une loi aussi ancienne que la frappe de la monnaie dit que l’argent mal gagné finira toujours par servir une bonne cause. C’est également vrai des principes et des règles de conduite. À force de choisir la solution de facilité, on se retrouve en position de faiblesse sitôt qu’on doit défendre une cause un peu épineuse. On doit toujours faire ce que l’on croit bon. Et l’on sait inéluctablement ce qui est bon ou non. Quatre-vingt-dix-neuf fois sur cent. On se contente alors de trouver des prétextes parce que faire le bon choix est malcommode ou plus ardu.

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On était sans doute au sec dans ce temple maléfique, mais il n'y faisait pas franchement chaud. Un feu de brousse lui-même n'aurait pu chasser le froid glacial qu'il diffusait et qui vous pénétrait jusqu'à la moelle des os, jusqu'au tréfonds de l'âme, tel un antique et immonde rhumatisme spirituel. Narayan lui-même le ressentait. Il se penchait au-dessus du feu en se trémoussant comme s'il s'attendait à chaque instant à recevoir un coup derrière le crâne, et en marmottant des paroles indistinctes laissant vaguement entendre que sa foi avait été plus que suffisamment éprouvée jusque-là.

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