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— Vous n’allez pas mourir, je ne vous laisserai pas…

— Je vous aime.

Layla en eut le souffle coupé.

— Quoi… ?

Son sourire mourant devint presque mélancolique. Ou peut-être, pour dire mieux, révérencieux.

— De tout mon coeur noir et flétri, je t’aime, ma femelle. Je ne mérite pas de fouler la terre sous tes pieds, ni de respirer ton parfum, ni de recevoir le don de ton sang, mais je… je serai toujours reconnaissant du changement que tu as fait naître en moi. Tu m’as sauvé, et la seule chose plus grande que mon amour pour toi est ma gratitude.

Il parlait vite en langue ancienne, comme s’il avait conscience qu’il était à court de temps.

— Je suis en paix et je t’aime, Layla.

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Kolher se tenait sur le seuil, dans une attitude toute royale, avec ses vêtements noirs et ses lunettes de soleil. Derrière lui, tous en tenue de combat et armés jusqu’aux dents, l’ensemble de la Confrérie, sans compter Blay et John Matthew, formaient un demi-cercle comme si une guerre était sur le point d’éclater.

— Bonsoir, mon vieil ami, dit le roi en lui tendant la main. Tu veux te joindre à la fête ?

Tohr déglutit avec difficulté.

— Quoi… euh… hem… pardon ?

Kolher haussa les épaules.

— Saxton a piqué une crise parce que j’aurais manqué à toutes les règles et procédures élémentaires de gestion du personnel. Apparemment, de nos jours, il faut prévenir quelqu’un avant de le virer. Tu sais, le faire venir, lui proposer une nouvelle formation, lui torcher le cul, tu vois, ce genre de chose. Avant de le virer.

Rhage renchérit :

— En plus, regardons les choses en face, tu es le plus raisonnable du groupe.

— Une queue en érection, ajouta quelqu’un. Plutôt qu’une demi-molle, comme nous autres.

— Disons un quart de molle dans le cas de Rhage…

Hollywood se retourna et lança un regard noir à V.

— OK, va te faire foutre…

— Avec quoi ?

Kolher se passa une main sur le visage.

— Seigneur, est-ce que vous allez arrêter ! 

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-J'aime Layla. Et je n'ai jamais revendiqué son corps... et je ne le ferai pas. Je ne la chercherai, ni ne poserai plus les yeux sur elle. Tu veux que je meure? Eh bien, c'est fait. Car chaque nuit qu'elle passe avec toi et tes enfants je suis assassiné de n'être pas en sa présence. Ton but est donc bien servi et accompli.

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Tu te fous de ma gueule...

Le roi tendit la main si vite que l'œil de Xcor put à peine suivre le mouvement, et,d'une façon ou d'une autre, en dépit de sa cécité, il trouva la bonne trajectoire pour saisir son guerrier à la gorge. Il n'accorda même pas un regard à Viszs et resta concentré sur Xcor.

En réaction, le frère ne se defendit pas, alors même qu'il ouvrait grand la bouche pour s'efforcer de respirer.

- N'est-ce pas merveilleux quand les gens connaissent leur place, dit Kolher à Xcor d'une voix tendue. Quand ils comprennent ces instants où ils doivent fermer leurs gueules.

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— Que ferais-tu avec ta bouche ? (Du bout du doigt, elle effleura les contours de son sexe.) Ou… non, tu utiliserais ta langue, n’est-ce pas ? guerrier. Ta langue… Elle haletait en se touchant, les yeux toujours rivés sur les siens alors qu’elle inclinait la tête sur le côté pour mieux savourer l’intensité de ses sensations.

— Tu glisserais ta langue ici… Xcor se jeta sur elle, si vite qu’il n’eut pas conscience de prendre la décision de la lécher. Et il se montra brutal lorsqu’il écarta la main de la femelle pour coller sa bouche contre son sexe, prenant ce qu’il désirait, ce avec quoi elle l’avait allumé. Ce fut au tour de l’Élue de tendre les bras de chaque côté pour chercher un appui afin de conserver un semblant d’équilibre. Mais il ne la laissa pas faire. Il la tira pour l’allonger complètement sur le carrelage, plaqua les paumes à l’intérieur de ses cuisses et la força à s’ouvrir pour plonger profondément sa langue en elle et la dévorer enfin tout son content. Elle jouit violemment contre son visage, plantant les doigts dans ses cheveux trempés, et tirant dessus jusqu’à lui faire mal. Non qu’il s’en soucie. Tout ce qui lui importait, c’était de la lécher, lui faire crier son nom, la marquer de ses lèvres et de sa langue. Mais c’était insuffisant. Alors même que la jouissance s’emparait d’elle de nouveau et qu’elle se cambrait sur le carrelage, les épaules rejetées en arrières, les seins tendus, tandis que l’eau sur sa peau faisait luire sa chair dans la faible lumière, il n’en eut pas assez. Xcor se redressa soudain et s’allongea sur elle pour la pénétrer profondément, puis il lui enfonça les ongles dans le bassin et la maintint fermement pendant qu’il commençait ses va-et-vient. Les seins de la femelle ondulaient d’avant en arrière, ses dents s’entrechoquaient, ses bras ballaient. Mais ses iris étaient enflammés comme si l’animal en lui subjuguait l’animal en elle. Il se retira à la dernière minute, s’agenouilla au-dessus d’elle, si bien que ses épaules bloquèrent momentanément le jet de la douche. Puis, empoignant son pénis en érection, il se montra encore plus brutal avec lui-même qu’il ne l’avait été avec elle, tirant violemment sur son sexe jusqu’à se faire jouir. Pour la couvrir. C’était la marque d’un mâle lié, une pratique effectuée pour que tout autre mâle en présence de sa femelle soit averti que, s’il s’approchait d’elle désormais, ce serait à ses risques et périls. Elle appartenait à un autre. Pas comme un simple objet. Mais une chose bien trop précieuse pour que d’autres jouent avec. Quand Xcor en eut fini avec elle, le jet de la douche avait commencé à perdre de sa chaleur… Non que Layla s’en soucie. Elle avait son guerrier entre les jambes, et il faisait ce qu’un mâle accomplissait lorsqu’il revendiquait une femelle, suivant en cela un instinct ancien destiné à assurer la survie de l’espèce. C’était sauvage et beau, primitif et pourtant toujours accueilli avec plaisir dans le monde moderne. Du moins dans son monde moderne à elle. Quand il s’écroula sur elle, Layla referma les bras autour de ses épaules glissantes et ferma les yeux en souriant.

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L’amour est une question entre deux âmes, dit-elle en posant la main au centre de son torse. Notre amour est entre mon âme et la tienne. Rien ne changera cela, ni ton passé, ni notre présent… ni l’avenir que nous vivrons peut-être séparément. Du moins pas de mon côté. Il prit une profonde inspiration.

— J’ai envie de te croire.

— Ce n’est pas moi qu’il faut croire ou ne pas croire. C’est une loi universelle. Tu peux en débattre à loisir… ou alors te contenter d’en accepter la bénédiction.

— Mais si elle avait raison ?

— Qui ? Et si qui avait raison ? Xcor détourna le regard et concentra son attention sur leurs pieds nus.

— Ma nourrice m’a toujours répété que j’étais maudit. Que j’étais mauvais. Quand elle… (Il s’interrompit, peu désireux de s’étendre sur les corrections qu’il recevait enfant.) Elle me disait que j’étais pourri. Que mon visage ne faisait que révéler le mal en moi. Que la véritable infection était intérieure. Layla secoua la tête.

— Elle parlait d’elle-même, dans ce cas. Elle dévoilait sa propre vérité. Dire des choses pareilles à un enfant innocent ? Lui déformer l’esprit et le terroriser ainsi ? S’il existe une autre définition du mal et de la pourriture, je ne vois pas ce que c’est.

— Tu vois trop de bonté en moi.

— Mais c’est ce que tu m’as montré. Tu as toujours été bon avec moi.

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Ceci est le 1er extrait que J.R Ward a bien voulu dévoiler du tome 15 sur Xcor et Layla :

He was born upon a winter’s night, during a historic blizzard’s gale. Deep within a damp and dirty cave, as the icy gusts threatened the earthen womb, the female who bore him had screamed and bled to bring forth unto the Black Dagger Brother Hharm the son that had been demanded of her.

Xcor had been breach. The first of many of his wrongs, and mayhap the only one that had not been his fault. And he had been wanted… until his face had emerged.

His physical defects overshadowed even the triumph of his gender, and thusly, his sire had leveled the care of his nascent self as a curse upon his mahmen, a punishment for her failure to gestate a proper offspring.

And that was the beginning of his story… which had landed him here.

In another cave. On another December’s eve. And as with his actual birth, the wind howled to greet him, although this time, it was a return to consciousness as opposed to an expelling to independent life that awoke him.

As with a newly born young, he had little control over his body. Incapacitated he was, and that would have been true even without the steel chains and bars that were locked across his chest, his hips, his thighs. Machines, at odds with the rustic environs, beeped behind his head, monitoring his respiration, heart rate, and blood pressure.

The Black Dagger Brotherhood was keeping him alive… so that they could kill him.

And as his brain began to function properly behind his skull, as thoughts finally coalesced and formed rational sequences, he recalled the series of events that had landed him, the leader of the Band of Bastards, in the custody of what had been his enemies: an attack upon him from behind, a concussive fall, a stroke or some such that had rendered him prone and on life support at the non-extant mercy of the Brothers.

Xcor had surfaced once or twice during his captivity, but the connectivity in his mental arena had been unsustainable for any length of time.

This was different. He could sense the shift within his flesh. Whate’er had been injured had finally healed. He was back from the foggy landscape of neither-life-nor-death.

Even with his eyes closed, he could not feign unconsciousness forever.

“… really worry about is Tohr.”

The tail end of the sentence uttered by a male entered his ear as a series of vibrations, the translation of which was on a delay. But the name…

“Nah, he’s tight.” There was a soft scratching sound and then he smelled rich tobacco. “And if he slips up, I’ll be there.”

The deep voice who had first been speaking got dry. “To chain him back in line — or help him murder this piece of meat?”

The Brother Vishous — yes, that was who it was — laughed like a serial killer. “Such a dim f—ing view of me you have.”

It was a wonder they were not better aligned, Xcor thought.

Then again, the Brotherhood and the Bastards had been on different sides of Wrath’s kingship. Indeed, the bullet Xcor had put into the throat of the lawful leader of the vampire race had been a clarifying event when it came to affiliation.

Since that time, however, there had been a countervailing force that had interceded upon his destiny.

The image that came to his mind was of a tall, slender female in the white robing of one of the Scribe Virgin’s Chosen. Her blond hair waved down o’er her shoulders and trailed off on a gentle breeze, and her eyes were the color of jade, and her smile was a benediction he had done naught to deserve.

The Chosen Layla had changed everything for him, recasting the Brotherhood from target to tolerable, from enemy to co-existable tenant in the world.

She had had more effect upon his black soul that e’erone who had come before, evolving him a greater distance in a lesser time that he would have thought possible.

“I almost want Tohr to get in here and rip him the f— apart. He’s earned the right.”

The Brother Vishous cursed. “We all have. F—ing traitor. The hardest thing about this is gonna be making sure there’s anything left at the end for Tohr to have at.”

And herein was the problem, Xcor thought behind his closed lids. His evolution was unknown to his previous enemy- and the only way out of this deadly scenario was to reveal the love he’d found with a female who was not his, had never been, and was not going to be.

But he would not sacrifice The Chosen Layla for anyone.

Not even to save himself…

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— Je veux que tu te rappelles une chose, murmura-t-il.

Layla renifla et tenta de se montrer aussi forte que lui.

— Quoi ?

En langue ancienne, il reprit :

— Où que j’aille, tu ne seras jamais loin de moi. Où que je dorme, tu seras près de moi. Ce que je mangerai, je le partagerai avec toi, et dans mes rêves nous serons réunis. Mon amour, tu n’as pas disparu à jamais, et je n’en prendrai nulle autre. Jusqu’à la nuit de ma mort.

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Les deux groupes se retrouvèrent au milieu de la route.

Viszs parla le premier.

— Salut, les garçons. Comment va ?

Il ne sentit ni haine ni amour émaner des guerriers. Enfin, à l’exception du type à l’extrémité gauche : celui-ci dégageait des ondes d’agressivité, mais V. eut l’impression que c’était une chose habituelle chez le guerrier et pas un truc spécifiquement en rapport avec la situation.

Viszs ne baissa pas ses flingues, mais il n’exigea pas non plus que les mâles donnent leurs armes, même si cela le rendait super nerveux. Leur désarmement aurait lieu à l’intérieur.

— Nous sommes prêts à vous suivre, annonça Xcor d’une voix ferme.

— Bien.

V. croisa le regard de chacun des salopards.

— Voici comment nous allons procéder, d’accord ? On vous escorte à l’intérieur. Vous rencontrez tout le monde et on prendra un petit cocktail avec des hors-d’œuvre et des boissons. Puis on ira voir un spectacle et on conclura la soirée par une razzia shopping chez Saks et une manucure. Ça vous va ? Génial ! En avant, bande d’enfoirés.

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Quand son portable sonna, V. sursauta… et, merde ! il ne se souvenait pas à quand remontait la dernière fois que ça lui était arrivé. Surtout avec un coup de fil.

Mais vu ce qu’il venait de mettre en branle…

Il observa sa main attraper le portable. Il l’avait posé face contre le bureau, et retourner l’écran exigea un certain degré de courage de sa part.

Lorsqu’il vit de qui il s’agissait, il reprit tout de suite ses esprits.

— Seigneur, dit-il avec soulagement en décrochant. Que puis-je faire pour toi ?

Kolher était direct, une raison supplémentaire de l’apprécier.

— J’ai besoin de toi. Maintenant.

— Compris. Où es-tu ?

— Je serai dans le vestibule dans cinq minutes.

— Dis-moi qu’on ne va pas à Disneyland et je te rejoins.

— Non, il ne s’agit pas de vacances.

— Parfait.

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