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Bien, à présent il comprenait pourquoi les humains qui avaient des problèmes relationnels avec leurs mères se rendaient sur les plateaux des émissions télés préférées de Lassiter. Chaque fois qu'il se trouvait en présence de cette femelle, il chopait une psychose induite par son séjour dans son utérus.

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- Veux-tu être son père ? Je veux dire, je sais où j'en suis...

- Ce serait un honneur et un privilège. (Il posa la main sur son cœur tout en parlant en langue ancienne.) Ce serait un devoir dont je chercherais à m'acquitter toutes les nuits que je passerai sur terre.

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Ce qui l'aida à retrouver la sécurité.

L'amour dans les yeux de son mâle.

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- Rhage

Quand il refuse de se retourner encore une fois, V le contourna et lui planté son regard furieux dans les yeux : ses foutues prunelles délavées étaient semblables à deux explosions nucléaires.

- je veux que tu rentres à la maison Tout de suite.

Rhage ouvrit la bouche. La referma. La rouvrit ...

et du dut se rappeler de parler à voix basse.

- Ecoute, le moment est mal choisi pour partager tes putain de révélations de médium ...

Le frère lui saisit le bras et serra.

- Rentre à la maison. Je ne me fous pas de toi.

Une terreur froide se répandit instantanément dans les veines du guerrier, entrainent aussitôt la chute de sa température corporelle ... et pourtant il secoua de nouveau la tête.

- Va te faire voir, Viszs. Sérieusement.

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Riant et pleurant, Mary inspira profondément et se dit que, oui, en effet, il arrivait parfois des miracles…

Et elle ne pouvait qu’en remercier Dieu, la Vierge scribe, ou qui vous voulez.

Spoiler(cliquez pour révéler)Elle était… maman.

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— Est-ce qu’on est arrivés ? demanda Rhage. Je crois que oui. Bitty, qu’est-ce que tu vois ?

— Est-ce que la famille Addams vit dans cette maison ? demanda-t-elle. On dirait vraiment le manoir de la famille Addams, sauf que… c’est grand comment à l’intérieur ?

— Il y a une centaine de pièces environ. On est un peu à l’étroit, mais on arrive à s’en sortir.

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La bête avait roulé sur le dos, et gisait désormais par terre, ses bras, assez petits en proportion du reste de son corps, recroquevillés contre sa poitrine, et ses pattes postérieures allongées. Pour lui gratter le ventre, Bitty aurait eu besoin d’une échelle de trois mètres – et Mary de deux Xanax et d’une bouteille de vin, merci beaucoup – mais l’enfant fit du mieux qu’elle put, en s’approchant et en se hissant sur la pointe des pieds, tandis que le dragon inclinait la tête pour la contempler avec des yeux doux.

— Il est si mignon, dit-elle. Pas vrai ? Qui est un mignon dragon ?

— J’ai vraiment besoin d’un verre, marmonna Mary dans sa barbe. J’ai foutrement besoin d’un verre.

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— Coucou ! Eh, oh !

Agitant les mains, l’humaine attira l’attention de la bête.

— Te voilà. Salut, toi, là-haut.

Le dragon souffla, puis remonta ses bajoues pour dévoiler d’énormes dents dans un sourire. Enfin il laissa échapper un gémissement sourd, mi-question, mi-protestation.

— Non. Tu ne peux pas. Tu n’as pas le droit de manger des humains.

Bon, d’accord, elle n’arrivait pas à le croire chaque fois que ces mots sortaient de sa bouche. C’était fou ce que la vie vous obligeait parfois à faire. 

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Le chœur de sifflets et de jurons se calma quand Rhage ouvrit la portière passager et se dressa de toute sa hauteur.

— Mary. Viens là.

Celle-ci se mit en route, mais n’alla pas bien loin. Tout à coup, celui qui tenait le couteau l’empoigna pour la plaquer dos contre lui, et posa sa lame contre sa gorge.

— Qu’est-ce tu vas faire ? fanfaronna le garçon. Hein ? qu’est-ce tu vas faire ?

La jeune femme commença à trembler, non parce qu’elle craignait pour sa propre vie. Que pouvaient-ils bien faire à une immortelle ? Mais tout ce à quoi elle arrivait à penser, c’était : Non, non, pas devant Bitty…

— Continuez ! hurla-t-elle à Rhage. Allez-vous-en…

— Je vais te couper la gorge, dit la voix à son oreille.

— Très bien, comme vous voulez, murmura-t-elle. Mais pas devant eux. Laissez-les partir et vous pourrez me découper tout votre soûl.

— Quoi ? postillonna le gamin.

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On ferma les portes, puis tout le monde se tut…

Avant que le moindre mot puisse être prononcé, Zadiste déboula dans la pièce et tout le monde sursauta.

— Qu’est-ce qui t’est arrivé, bordel ? demanda V.

De la vapeur s’exhalait du frère, et pas parce qu’il était agacé. C’était de la véritable fumée qui s’élevait en volutes des épaules de sa veste en cuir et des semelles de ses rangers. Et, Seigneur Dieu, quelle puanteur il dégageait ! Il sentait le pneu brûlé, les produits chimiques et la cendre de bois.

— Rien, répondit-il en rejoignant d’une démarche alerte son jumeau. J’ai seulement fait rôtir des marshmallows.

— Avec mon lance-flammes ? demanda quelqu’un d’un ton indigné.

— Il faisait quelle taille, ton marshmallow ? marmonna quelqu’un d’autre.

— Eh ! c’était un bibendum Chamallow ? intervint Lassiter.

Le roi poussa un juron.

— Oh putain de merde ! tu as incendié la baraque de cette salope ?

Les frères se turent et dévisagèrent Z, tout en saluant unanimement en pensée son geste.

— Techniquement, c’était celle de son vieux mari, se sentit obligé de faire remarquer Rhage. En supposant qu’on parle bien de la pouffiasse qui a retenu l’esclave de sang dans sa cave.

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