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— Ça ne te plaît pas, hein? dit Wrath d’une voix rauque.

— Quoi?

— Que je boive le sang d’une autre femelle.

Elle éclata d’un rire amer. Parce qu’elle en avait ras le bol. D’elle – De lui – De toute la situation.

— Tu cherches à enfoncer le clou?

— Non. (Il resta silencieux un moment.) L’idée que tu marqueras un jour de tes dents la peau d’un autre mâle, que tu prendras son sang en toi – ça me donne envie de sortir mon couteau.

Beth le regarda fixement.

Dans ce cas, pourquoi ne pas me garder avec toi? pensa-t-elle.

— Mais je n’ai pas le droit d’y penser, dit Wrath qui secoua la tête.

— Pourquoi?

— Parce que tu ne peux pas m’appartenir.

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Mon Dieu, elle le scotchait. Elle était là, prête à assumer avec lui la responsabilité du monde, même s'il gisait sur un lit d'hôpital. Sa foi en lui était stupéfiante.

-Est-ce que je t'ai dit que je t'aimais, leelane ?

- Il y a cinq minutes à peu près. Mais je me lasse jamais de l'entendre.

Il l'embrassa.

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Beth enroulant le drap autour de son corps et se leva.

- Kolher, dit elle en lui touchant le bras.

Reste.

Il se pencha pour lui donner un rapide baisers.

-je vais revenir.

- tu vas te battre ?

- oui

- mais comment c'est possible ? T'es. ..

Elle s'interrompit

- je suis aveugle depuis trois cents ans.

Beth eut le souffle coupé.

- T'es si vieux que ça ?

Kolher éclata de rire

- ouais !

-je dois admettre que t'es bien concervé !

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(Butch)

Il regarda dans la direction d’où provenait le ronflement. Dans l’autre lit jumeau, un homme dormait à poings fermés, draps et couvertures remontés jusque sous le menton.

Tout lui revint.

Viszs. Son nouveau pote.

Fan des Red Sox, comme lui. Hacker de génie. Et putain de vampire.

Butch posa la main sur son front. Il lui était arrivé de nombreuses fois de se saouler et, au réveil, de découvrir avec stupéfaction qui se trouvait à ses côtés.

Mais cette fois-ci, c’était le top.

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Sa main franchit la distance entre leurs corps et il saisit le menton de Beth entre le pouce et l'index. Il lui inclina le visage.

- Vous allez me tuer vite? murmura-t-elle. Ou lentement?

- Pas tuer. Protéger.

Tandis qu'il baissait son visage vers elle, elle se dit qu'elle devrait essayer de le repousser, en dépit de ses paroles. Il fallait qu'elle retrouve l'usage de ses bras et de ses jambes. L'ennui, c'était qu'elle n'avait pas vraiment envie de le repousser. Elle prit une profonde inspiration.

Bon sang, il dégageait une odeur extraordinaire. De la transpiration fraîche et propre. Une odeur masculine musquée. Et cette fumée!

Les lèvres de l'homme effleurèrent son cou; elle sentit qu'il humait. Elle entendit le craquement du cuir de son blouson lorsque l'air emplit ses poumons et que sa poitrine se gonfla.

- Vous êtes presque prête, déclara-t-il d'une voix douce. Et ça arrive vite.

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( Butch , Beth et Kolher )

B - Attends , je veux lui poser une question .

Quoi ? Tu veux connaître sa pointure ou quoi ? Aboya Butch

49 articula Kolher d'une voix traînante

Bu - je m'en souviendrai pour Noël , connard .

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— Va te faire foutre avec ton calme ! aboya Wrath déchaîné. Je n’ai pas l’intention de parler d’elle – ni avec toi, ni avec personne. Compris? Et ferme-la aussi devant les autres.

— C’est bon, c’est bon. (Tohr se replia vers la porte.) Mais tu devrais réfléchir. Et reconnaître ce qui existe avec cette femelle. Une faiblesse qu’on ignore peut se montrer fatale.

Wrath gronda et adopta une posture d’attaque imminente, le corps en avant, les jambes prêtes à bondir.

— Une faiblesse? cracha-t-il. Et c’est un mâle assez con pour aimer sa shellane qui me fait la leçon? Tu te fous de moi ou quoi?

Il y eut un long silence. Puis Tohr s’exprima d’une voix contrainte :

— Je suis heureux d’avoir trouvé l’amour. Je remercie chaque jour la Vierge Scribe que Wellsie fasse partie de ma vie.

La colère de Wrath explosa, déclenchée par quelque chose qu’il ne parvenait pas à identifier.

— Tu me fais pitié.

Tohr poussa un cri de rage rentrée, comme un feulement.

— Et toi, tu es déjà mort depuis des siècles. Tu es juste trop minable pour te trouver une tombe et y rester.

Wrath jeta son blouson de cuir par terre.

— Au moins, je ne suis pas à la botte d’une femelle.

— Ravissant ton petit costume.

En deux enjambées, Wrath franchit la distance qui les séparait. Tohrment se campa, tête baissée. C’était un mâle énorme, aux épaules larges et aux bras robustes. Et une lourde menace vibra entre les deux guerriers.

Wrath eut un sourire froid et ses canines s’allongèrent.

— Si tu passais moitié moins de temps à courir après ta femelle et moitié plus à défendre la race, on n’aurait peut-être pas perdu D. Tu y as déjà pensé?

La souffrance du Frère fut aussi palpable que du sang qui coulait d’une plaie au coeur. Wrath inspira l’effluve de cette agonie brûlante, laissant la détresse pénétrer ses poumons en profondeur, et son âme aussi. Il se méprisait d’avoir porté un coup aussi bas à un mâle honorable et courageux. Pendant qu’il attendait l’attaque de Tohr, il sentit l’arrivée de sa vieille amie, une haine amère et brûlante… contre lui-même.

— Je n’arrive pas à croire que tu aies pu dire ça. (La voix de Tohr vibrait d’émotion.) Tu devrais...

— Je ne veux plus de tes conseils à la con.

— Va te faire foutre. (Tohr lui assena un violent coup sur l’épaule.) Tu l’entendras quand même. Tu ferais mieux d’apprendre qui sont tes véritables ennemis, espèce de connard arrogant. Avant de te retrouver tout seul.

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Il voulait la traiter avec respect – pas seulement la coller au pieu. Il voulait y mettre les formes. Manger avec elle. Lui parler. Non mais quelle connerie! Il voulait lui offrir ce que les femelles attendent : De la tendresse.

Il essaya de sourire. Plus fort. Il eut l’impression que ses joues allaient craquer. Ouais, ben le romantisme de carte postale, c’était pas sa spécialité. Mais il pouvait quand même tenter un petit geste romantique. Pas vrai?

Il se frotta la joue. Merde de merde, mais qu’est-ce qu’il y connaissait en romance?

Soudain, il se sentit ridicule.

Non, c’était bien pire encore. Ce nouveau costume à la con hurlait une vérité qui était une sacrée mauvaise surprise pour lui.

Il changeait de personnalité pour une femelle. Juste pour essayer de lui plaire.

C’est le signe caractéristique d’un mâle dédié, pensa-t-il. Raison pour laquelle il n’aurait jamais dû la marquer et jamais – au grand jamais – se laisser aller à une telle intimité avec elle.

Il se répéta qu’une fois la transition terminée, il en aurait fini avec elle. Il retournerait à sa vie normale. Quant à elle…

Mon Dieu, pourquoi ressentait-il cette douleur intense, comme s’il avait été poignardé en pleine poitrine?

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À quoi jouait-elle, à le jauger comme si ele prenait ses mesures pour un costume? Courir, elle auraitdû se mettre à courir. Et s’enfuir par l’autre porte. Mais elle restait simplement là à le regarder fixement.

En dépit de la chaleur, il portait un blouson de motard; ses longues jambes étaient aussi vêtu de cuir. Il avait de grosse bottes de motard à embout métalique et se déplaçait comme un prédateur. Elle tendit le cou pour regarder son visage.

Mon Dieu, quel canon!

Mâchoire carré, lèvres épaisses, pommettes hautes qui creusaient des ombres pleines. Il avait les cheveux longs et noir qui lui arrivaient aux épaules et une barbe naissante. Ses lunettes noires paronamques lui allaient à la perfection et lui donnaient un air menaçant d’un tueur à gages. Comme si ce qui se dégageait de lui ne suffisait pas à lui donner cet air d’assassin!

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-t'as besoin de moi,chef ? demanda V. depuis la salle de bain.

Kolher gloussa.

-si c'est pas mignon,tout ça.

"Va te faire foutre" lui arriva des deux côtés tandis que Viszs sortait de la salle de bain, vêtu d'un caleçon.

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