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Elle m'a subjugué la première fois que je l'ai vue, mais elle m'évite depuis trois semaines. Alors, au lieu de comprendre le message, je vais aller la voir et me mettre à genoux comme un couillon.

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Viscs arrêta de se frotter les yeux d’un air furibond et fut aussitôt concerné. Il alla jusqu’à

ses ordinateurs et vérifia les caméras extérieures. Il la trouva rapidement, prenant le soleil lovée contre les portes extérieures du manoir. Ce qui était plutôt intelligent. Si un danger s’approchait, elle pouvait se mettre à l’abri dans le sas en une seconde.

Rhage inspira longuement.

— Comment je fais pour rapprocher l’image ?

— Le zoom marche avec la molette de la souris.

Rhage zooma. Elle donnait des miettes de son biscuit à deux moineaux. Et relevait régulièrement la tête pour examiner les environs. Elle avait sur les lèvres un sourire secret, à

peine esquissé.

Il posa la main sur l’écran, touchant le visage de Mary du bout des doigts.

— Tu sais, mon Frère, tu t’es planté.

— En quoi ?

— C’est elle qui m’est destinée.

— Ai-je dit qu’elle ne l’était pas ?

Rhage quitta l’écran des yeux et regarda la tempe tatouée de Viscs, debout en face de lui, de l’autre côté du bureau.

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Mary remplit son sac de voyage sous le regard attentif de Fritz. Le majordome mourrait d’envie de l’aider, et s’agitait d’un pied sur l’autre, très malheureux qu’elle fasse ce qu’il considérait être son travail.

— Je suis prête, dit-elle enfin, bien que ce ne soit pas le cas.

Fritz eut un sourire heureux à l’idée d’avoir désormais un rôle à tenir, puis il la guida de l’autre côté de la galerie, au fond du couloir jusqu’à une chambre qui donnait sur les jardins à

l’arrière de la maison. Elle reconnut qu’il était d’une discrétion exemplaire. S’il trouvait

étrange de la voir quitter la chambre de Rhage, il ne le montra pas. Et la traitait avec la même courtoisie que précédemment.

Dès qu’elle se retrouva seule, elle envisagea ses options. Elle voulait rentrer chez elle, mais pas au point de se montrer idiote. Les hommes du parc avaient été dangereux. Et même si elle avait besoin de retrouver son indépendance, elle ne désirait pas mourir pour autant. De plus, combien de temps faudrait-il pour mettre un système d’alarme chez elle ?

Peut-être que Viscs s’en occupait déjà.

Elle pensa à son rendez-vous du lendemain chez le médecin. Rhage avait dit qu’elle pourrait y aller. Même furieux contre elle, elle savait qu’il ne l’en empêcherait pas. C’est sans doute Fritz qui l’emmènerait à l’hôpital, pensa-t-elle. En lui faisant faire le tour de la maison, le doggen lui avait aussi expliqué qu’il pouvait sortir en plein jour.

Mary regarda son sac. Bien qu’elle souhaite s’en aller, elle ne pouvait pas laisser les choses en l’état avec Rhage. Peut-être se serait-il calmé en revenant ? Après tout, elle-même se sentait plus raisonnable à présent.

Elle entrouvrit donc la porte de sa chambre, juste assez pour le voir passer dès qu’il reviendrait. Puis elle s’assit sur le lit et attendit.

Très vite, elle devint anxieuse et toute crispée, aussi elle prit le téléphone. Quand Bella répondit, ce fut un vrai soulagement d’entendre une voix amicale. Elles bavardèrent un moment puis, quand elle s’en sentit le courage, Mary annonça son retour chez elle dès que sa maison serait mise sous alarme. Elle fut reconnaissante à Bella de ne pas insister pour avoir des détails

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Sa bouche lui coupa la parole, et sa langue revint, envahissante, enivrante. Á nouveau,

Mary sentit la chaleur monter en elle. Elle abandonna toute résistance et se laissa aller au désir qui la martelait, faisait vibrer son corps, pointer ses seins et s’inonder son ventre. Mon

Dieu, ça faisait si longtemps. Et jamais elle n’avait rien ressenti de tel.

Rhage poussa un véritable grondement, comme s’il devinait son excitation. Et elle sentit sa langue quitter sa bouche tandis qu’il lui prenait la lèvre inférieure entre ses—

Canines. C’étaient bien avec ses longues canines qu’il la mordillait.

Une bouffée de peur se mêla à son excitation, et curieusement l’attisa, ajoutant un brin de danger à une sensation déjà si violente. Elle posa la main sur le bras de Rhage. Qui était si dur, si puissant. Son corps serait si lourd sur le sien.

— J’aimerais me coucher avec vous, dit-il. L’accepteriez-vous ?

Mary ferma les yeux, et imagina ce baiser se poursuivre jusqu’à ce qu’ils soient tous les deux nus. Il y avait des années qu’elle n’avait pas connu d’homme,… c’était avant sa maladie. Et son corps avait énormément changé depuis. Elle ne comprenait pas qu’il puisse la désirer. Les amis ne couchaient pas ensemble. Du moins à ce qu’elle en savait.

Elle secoua la tête.

— Je ne suis pas sûre—

Rhage se remit à l’embrasser.

— Je veux juste m’étendre à vos côtés, d’accord ?

Oh, il avait parlé au sens littéral… bien sûr. Et lorsqu’elle l’examina, elle ne put que noter les différences entre eux deux. Elle avait le souffle court. Lui était calme. Elle avait l’esprit en déroute. Lui était parfaitement attentif.

Elle était brûlante de désir. Et lui… pas.

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Mais ces longs silences étaient difficiles à endurer. Elle se sentait un peu ridicule de le maintenir en ligne trop longtemps.

— Voilà, c’est tout ce que je voulais dire.

— Je viendrai vous chercher à 20 heures ce soir. Chez vous.

Elle s’agrippa au téléphone. Elle avait tellement envie de le revoir.

— Je vous attendrai.

Dans le couloir, elle entendit la voix du docteur Delia Croce qui se rapprochait en parlant avec l’infirmière.

— Mary ?

— Oui ?

— N’attachez pas vos cheveux ce soir. Faites-le pour moi.

Il y eut un coup à la porte, et le docteur entra.

— Très bien, dit Mary avant de raccrocher. Hey, Susan.

— Salut, Mary, dit le docteur Delia Croce en traversant la pièce.

Le docteur avait une cinquantaine d’années, portait un carré court à la mâchoire, et lorsqu’elle souriait, ses yeux bruns se plissaient de rides. Elle s’assit derrière son bureau, et croisa les jambes.

Mary essaya de retrouver son calme, puis secoua la tête.

— Parfois, je déteste avoir raison, marmonna-t-elle.

— Á quel sujet ?

— C’est revenu, pas vrai ?

Il y eut un bref silence.

— Je suis vraiment désolée, Mary.

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Ne m'oblige pas à partir. Ne m'oblige pas à le quitter. Je t'en prie.... Dieu, laisse-moi rester ici avec lui et l'aimer un petit peu plus longtemps. Je te promets de ne pas gâcher les moments. Je le prendrai dans mes bras et ne le laisserai jamais partir... Dieu, s'il te plait. Empêche tout ça...

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Cette fois, elle se débattit franchement, créant une délicieuse friction entre leurs deux corps. Et il sut le moment exact où sa crainte et sa colère se transformèrent en un sentiment plus chaud. Il sentit l’odeur de son excitation, un adorable parfum qui le fit réagir au quart de tour.

Son corps répondit à l’appel et devint dur comme du bois.

— Parle-moi, Mary, dit-il en remuant, frottant son sexe tendu contre le ventre plat, augmentant à la fois son désir et sa faim.

Après un moment, l’humaine oublia sa tension et se laissa doucement aller contre lui. Elle lui prit la taille à deux mains, puis les glissa timidement dans son dos, comme si elle n’était pas trop sûre de ce qu’elle devait faire, ni de la façon dont il y répondrait.

Il s’arqua contre elle pour démontrer son approbation, pour l’inciter à le toucher davantage.

Et quand les paumes douces remontèrent le long de son dos, il émit un grondement sourd venu du fond de sa gorge et laissa tomber sa tête pour que ses oreilles soient contre la bouche fraîche. Il aurait aimé lui donner d’autres mots à dire, quelque chose comme délicieux, ou gracieux, ou sensuel.

En fait, même anticonstitutionnellement ferait son affaire.

L’effet qu’elle avait sur lui était une véritable addiction, un mélange étrange de désir sexuel et de parfaite sérénité. Comme s’il explosait dans un orgasme fulgurant tout en s’endormant paisiblement. Il n’avait jamais rien ressenti de tel auparavant.

Un frisson glacé le traversa soudain lorsqu’il se rappela ce que Viscs lui avait prédit. Il releva la tête d’un geste brusque.

— Es-tu vierge ? demanda-t-il.

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Mary revint de la salle de bain en apportant à Rhage un autre verre d’Alka-Seltzer. Il était sur le lit, la respiration lente, le teint plutôt verdâtre.

Après avoir avalé le truc, il leva sur elle des yeux inquiets, presque méfiants. Son visage se crispa.

— Mary… j’aurais tant voulu que tu ne voies pas ça.

— Chut. Pour le moment, reste un peu tranquille, tu veux bien ? On en parlera plus tard.

Elle se déshabilla et se glissa à côté de lui dans le lit. Dès qu’elle fut étendue, il se lova contre elle, son grand corps chaud devenant une couverture vivante.

Et ainsi couchée, bien en sécurité, Mary pensa au sort de Bella.

Elle sentit sa poitrine se serrer et ferma les yeux pour retenir ses larmes. Si elle avait cru en Dieu, elle aurait prié, là maintenant, pour son amie. Elle se contenta d’espérer du mieux qu’elle put.

Elle finit par s’endormir. Pour être réveillée en sursaut quelques heures après par un hurlement de Rhage

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Il voulait la goûter… boire à ses veines.

— Hal, est-ce que vous…, souffla Mary en se tournant vers lui.

— Il faut que je vous confie quelque chose, articula-t-il d’une voix blanche.

Je suis un vampire, je suis un guerrier. Je suis une bête dangereuse. À la fin de la soirée, vous ne vous souviendrez pas de m’avoir rencontré.

Et l’idée de ne pas être ne serait-ce qu’un seul de vos souvenirs me fait mal comme si l’on m’avait planté un couteau dans le cœur.

— Hal ? Qu’est-ce qui ne va pas ?

Les paroles de Tohr lui revinrent.

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[Bella]

"Même si elle avait honte de l'admettre, le côté ténébreux de Zadiste avait largement contribué à l'attirance qu'elle avait pour lui. C'était une telle anomalie, un contraste avec tout ce qu'elle avait connu jusqu'à présent dans la vie. Cela l'avait rendu dangereux. Excitant. Sexy. Mais c'était un fantasme. Ce qui se passait à présent, c'était réel."

p. 387 - chapitre 40

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