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_ Dis-moi encore une fois que cela te rend fou que nous ne couchions pas ensemble, énonça-t-elle avec calme.

_ Ca me rend complètement fou. J'ai mal partout. Je bande tout le temps. Je n'arrive pas à me concentrer et je suis en permanence de mauvais poil.

_ Tant mieux. (Elle rit doucement.) Diable, je ne suis pas charitable, n'est-ce pas?

_ En aucune manière.

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La Vierge Scribe se détourna de lui. Puis flotta sur le marbre tout au long de la cour qu’elle se mit à arpenter.

Il n’avait aucune idée de ce qu’elle pensait. Ou même si elle considérait sa requête. Elle pouvait très bien faire seulement un peu d’exercice. Ou juste s’éloigner de lui.

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Tout devenait horriblement clair. Les vibrations. Le bourdonnement. Qui arrivaient toujours à proximité de Mary, surtout s’il était excité.

Comment diable ne l’avait-il pas compris plus tôt ? Peut-être n’avait-il pas voulu le faire. Être avec Mary était différent parce que... il n’était pas le seul à vouloir lui faire l’amour. La bête le voulait aussi.

La bête voulait sortir pour la prendre.

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— Hey.

[...]

— Mais qu’est-ce que vous faites là ?

Il haussa les épaules.

— J’avais envie de vous voir.

— Pourquoi ? Et pourquoi maintenant ?

Un autre haussement.

— Ça m’a pris comme ça.

— Vous êtes cinglé ?

— Oui.

Elle faillit sourire.

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— Tohr ? Tu peux me rendre un service ?

— Bien sûr, mon Frère,

— Tu pourrais... ah... Tu pourrais ne plus me charrier sur les femelles ? (Rhage prit une profonde inspiration.) Parce que je vais te dire un truc, je déteste ça. Je ne le supporte plus.

» (Il aurait fallu qu’il s’arrête, mais soudain les mots sortaient sans qu’il ne puisse rien y faire :) Je déteste ce sexe anonyme. Je déteste ce que j’éprouve après coup. Je déteste l’odeur de ces femelles sur moi quand je rentre à la maison, dans mes cheveux et partout sur mon corps. Mais plus que tout, je déteste devoir le refaire encore et encore, parce que c’est la seule façon d’éviter d’être un danger pour vous ou n’importe quel innocent de passage.

» (Il poussa un grand soupir.) [...] Je ne choisis que celles qui se foutent complètement du mec qui les saute— parce que sinon, ce serait trop injuste. Ces deux pétasses n’ont fait que zieuter ma montre en or avant de décider que j’étais une sorte de trophée sexuel. Et les baiser a été à peu près aussi intime qu’un accident de voiture.

» Et ce soir ? Toi, tu vas rentrer chez toi auprès de Wellsie, et moi je serai tout seul. Comme hier. Ou comme demain. Baiser comme un malade n’est pas vraiment un truc qui m’amuse, et il y a des années que ça me tue à petit feu. Alors, laisse tomber le sujet, tu veux bien ?

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Mary jeta un coup d’œil à la pendule numérique: 1 h 56. Le jour ne poindrait pas avant des heures et elle n'arrivait pas à dormir. Dès qu'elle fermait les yeux, elle avait des visions de tout l'arsenal que Rhage portait sur lui.

Elle s'étendit sur le dos. La perspective de ne jamais le revoir était tellement dérangeante qu'elle refusait d'analyser de trop près ses sentiments. Elle les acceptait, en assumait mal le fardeau, et espérait un peu de soulagement.

Si seulement elle pouvait reprendre au moment où il était parti. Elle l'aurait serré très fort contre elle. Et elle lui aurait fait des recommandations, lui aurait dit de faire attention, même si les combats, elle n'y connaissait rien et qu'il était, quant à lui, enfin elle l'espérait, un expert. Tout ce qu'elle voulait, c'était qu'il ne soit pas blessé ou...

Tout à coup, elle entendit le verrou de la porte et, lorsque la porte s'ouvrit, les cheveux blonds de Rhage scintillèrent dans la lumière du couloir.

Mary sauta du lit, traversa en trombe la pièce et se jeta dans ses bras.

_ Ouh là, qu'est-ce...

L'entourant de son bras, il la souleva, la gardant contre lui comme il entrait et refermait la porte. Lorsqu'il la lâcha, elle se laissa glisser le long de son corps.

_ Çà va?

Elle recouvra ses esprits au moment où ses pieds touchaient le sol.

_ Mary?

_ Euh, oui...oui ça va. (elle fit un pas de côté. Regarda autour d'elle. Devint rouge comme une pivoine.) Je vais juste...oui, je vais juste retourner au lit, à présent.

_ Une seconde, femelle. (Rhage enleva son trench-coat, son holster, et sa ceinture.) Reviens ici. J'aime la manière dont tu m'as accueilli.

Il ouvrit les bras en grand et elle se précipita contre lui, s'agrippant avec force, humant sa respiration. Son corps était si chaud et il sentait tellement bon : l'air frais et la sueur saine.

_ Je ne m'attendais pas que tu sois réveillée, murmura-t-il en lui caressant le dos.

_ Je n'arrivais pas à dormir.

_ Je te l'ai dit, Mary, tu es en sécurité, ici. (Ses doigts se posèrent sur sa nuque et la massèrent.) Mon Dieu, tu es tendue. Tu es sûre que ça va?

_ Je vais bien. Je t'assure.

_ Est-ce que cela t'arrive de répondre à cette question avec sincérité? lui demanda-t-il, cessant de la masser.

_ Je viens de le faire. plus ou moins.

Rhage reprit le massage.

_ Tu peux me promettre quelque chose?

_ Quoi?

_ Quand tu n'iras pas bien, tu me le diras? (Il prit un ton taquin.) Bon, je sais que tu es coriace, alors je ne suis pas certain que tu vas m'écouter.

_ Je le promets, répliqua-t-elle en riant.

Il souleva son menton avec ses doigts et la regarda avec gravité:

_ Je vais te faire tenir cette promesse. ( Puis il l'embrassa sur la joue.) Ecoute, j'allais descendre à la cuisine manger un morceau. Tu veux venir avec moi? La maison est tranquille. Les autres ne sont pas encore rentrés.

_ Bien sûr. Je vais me changer.

_ Mets un de mes survêtements. (Il ouvrit un tiroir de sa commode et sortit quelque chose de doux, noir et aussi grand qu'une bâche. ) Ça me plait, l'idée que tu portes mes vêtements.

Pendant qu'il l'aidait à enfiler le vêtement, son sourire indiquait une expression de satisfaction très masculine et très possessive.

Et il fallait bien dire qu'elle s'harmonisait parfaitement avec son visage.

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« — Je ne tomberai pas amoureuse de toi, affirma-t-elle. Je ne peux pas me le permettre. Non, je ne le peux pas.

— Cela ne fait rien. Je t’aimerai assez pour nous deux. Et il déferla en elle et l’inonda de son lait.

 

— Tu ne me connais pas.

Elle mordilla son épaule, puis suça sa clavicule. Le goût de sa peau ravit sa langue, l’arôme singulier se condensant dans sa bouche.

— Si, je te connais. (Il recula légèrement, la regardant avec une conviction et une confiance absolues.) Je sais que tu m’as protégé quand le soleil brillait et que j’étais sans défense. Je sais que tu t’es occupée de moi alors que tu avais peur. Je sais que tu m’as donné à manger de ta main. Je sais que tu es une guerrière, une survivante, une mharcheur. Et je sais que ta voix est la plus mélodieuse que j’aie jamais entendue. (Il l’embrassa doucement.) Je sais tout de toi, et tout ce que  je vois est beau. Tout ce que je vois est à moi.

— Je ne suis pas tienne, chuchota-t-elle.

— Pas de problème, répliqua le vampire sans broncher. Si je ne peux pas t’avoir, alors prends-moi, toi. Prends tout de moi, une partie de moi, une parcelle de moi, ce que tu veux. Mais, je t’en prie, prends quelque chose.

Elle passa la main sur son visage, caressa les contours parfaits de ses pommettes et de sa mâchoire.

— Tu n’as pas peur d’avoir mal ? demanda-t-elle.

— Non. Mais je vais te dire ce qui me terrorise : l’idée de te perdre. (Il regarda ses lèvres.) À présent, souhaites-tu que je me retire ? Je ferai ce que tu veux.

— Non. Reste. »

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-Mary?

-Oui?

-Je vais te donner à manger, à présent.

Son estomac gargouilla au moment où il prononçait ces mots.

-Non, ne t'inquiète pas. Je me préparerai un truc tout à l'heure...Pourquoi fronces-tu ainsi les sourcils?

Rhage se frotta les yeux comme s'il voulait effacer son expression.

-Pardon. Tu ne peux pas savoir.

-Savoir quoi?

-D'où je viens, lorsqu'un mâle propose à une femme de la nourrir de sa main, c'est un moyen d'exprimer le respect qu'elle lui inspire. Le respect et...L'affection

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Etre avec Mary était différent parce que... il n'était pas le seul à vouloir lui faire l'amour.

La bête la désirait, elle aussi.

La bête voulait sortir et la posséder.

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Elle sanglotait. Hoquetait. Elle pleurait si fort qu'elle tremblait de tout son corps.

Il ne posa aucune question, se contenta de l'envelopper dans ses bras.

- Ca ne va as, dit-elle d'une voix rauque en essayant de reprendre son souffle. Rhage... ça ne va pas du tout.

Il ferma les yeux et la serra de toutes ses forces contre lui.

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