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- C'est toi, dit Kolher. Tu es désormais le guerrier de la dague noire Dhestructeur, descendant de Kolher, fils de Kolher.
- Mais pour nous tu seras toujours BUtch, intervint Rhage. Ou crétin. Gros malin. Chieur. Tu vois le genre, en fonction des circonstances. Tous ces termes sont appropriés en ce qui te concerne.
- Et enfoiré? suggéra Z.
- Joli. Je le sens bien, celui-ci.
Afficher en entier- Euh... V...écoute, il m'arrive un truc un peu étrange quand même.
- Quoi?
- Je sens l'eau de toilette pour homme.
- tant mieux pour toi. Les femelles aiment ça.
- Vizs, je sens Obsession pour homme, seulement je n'en porte pas, tu saisis?
V. ne dit rien, puis reprit:
- Les humains ne se lient pas.
- Ah vraiment. Tu peux expliquer ça à mon système nerveux et à mes glandes sudoripares? ils vont apprécier la nouvelles, j'en suis certain.
Afficher en entier-Ma vie sexuelle, c'est perso, Butch. De même que mes...goûts un peu particuliers.
-J'ai compris. C'est tes oignons. Mais j'ai une question à te poser.
-L'aquelle?
-Ces femelles qui t'attachent, elles te vernissent les ongles pieds et tout? Elles te maquillent? (En entendant V. s'esclaffer, il poursuivit.) Attends! Elles te chatouillent sous les vras avec une plume, c'est ça?
-Enfoiré!
Afficher en entierVishous était encore dans le couloir quand il entendit Butch crier. Il virevolta et revint en courant jusqu’à la salle de bain où il surgit en trombe.
— Quoi ? Qu’est-ce que….
— Je perds mes tifs !
Vishous ouvrit la douche et fronça les sourcils.
— Mais qu’est-ce que tu racontes ? Tu as encore tes cheveux….
— Pas sur la tête, sombre crétin. Regarde mon corps, je perds mes poils ! »
Afficher en entier- V., tu sais que je t'aime comme un frère, pas vrai ?
- Oui.
- Si jamais tu la nourris, je t'arrache la tête.
Afficher en entier"Toutefois, Butch ne versa pas de larmes.Il était déjà assez impuissant comme ça, à côté d'une cuvette de toilettes. Fondre en larmes aurait été le bouquet, la honte absolue.
Il cligna les yeux avec force.
- Ou es ta cimbinaison, bordel? tu sais, ce truc jaune.
V. sourit, les yeux un peu plus brillants, comme s'il avait la gorge nouée.
- Ne t'en fais pas, je suis couvert. Alors, on dirait que tu es de retour pour de bon?
- Et je suis dans une forme olympique.
- C'est vrai?
- Absolument. J'envisage de me lancer dans la plomberie. Je voulais voir comment celle salle de bain est conçue. Excellent boulot. Tu devrais jeter un coup d'oeil.
-Et si je te portais jusq'à ton lit?
-Je veux examiner la tuyauterie.
V. esquissa un sourire narquois plein d'affection et de respect."
Afficher en entier-Je suis aguerri, non? fit-il. Tu sais, avec un peu de chirurgie esthétique et quelques implants, je pourrais être un beau gosse comme Rhage.
Marissa observa la figurine et pensa à sa vie. À celle de Butch.
Elle secoua lentement la tête et se pencha pour l'embrasser.
-Je ne changerais rien de toi. Pas un seul détail.
Afficher en entier- Je regrette d'avoir été faible, murmura-t-elle dans son oreille. Beth, Mary et Bella sont venues me voir. Je ne serai jamais en paix avec le danger que tu cours en tant que membre de la Confrérie. Je serai inquiète chaque soir. Mais elles ont confiance en la prudence de leurs mâles et je ... je crois que tu m'aimes. Tu ne me laisserais pas si tu pouvais faire autrement. Je ... je crois que tu feras attention et que tu sauras t’arrêter si le mal menace de te submerger. si elles peuvent gérer la peur de la perte, j'y parviendrai aussi.
Afficher en entier— Tu es un mâle de valeur.
Il se racla la gorge.
— Je ne crois pas.
— Comment peux-tu dire ça ?
Voyons un peu le bilan. Il avait été viré de la police pour avoir cassé le nez d’un suspect. Il n’avait baisé en grande majorité que des putes et des minables. Flingué ou tué d’autres mecs. Oh, en plus, il était un ancien camé et un ivrogne à plein temps. Sans oublier qu’il avait gardé quelques tendances suicidaires depuis le meurtre de sa soeur bien des années plus tôt.
Ça question valeur, il ne méritait qu’une chose. Un aller-simple à la déchetterie.
Afficher en entier" Puisse la route s’élever à ta rencontre. Puisse le vent toujours être dans ton dos. Puisse le soleil briller chaudement sur ton visage et la pluie tomber doucement sur tes champs. Jusqu’à ce qu’on soit réunis, puisse Dieu te tenir dans la paume de Sa main. " Et d’un élan puissant, Viscs se jeta en arrière, par-dessus la rambarde, dans le vide.
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