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Conversation entre Butch et Viszs

- Ma vie sexuelle, c'est perso, Butch. De même que mes... goûts un peu particuliers.

- J'ai compris. C’est tes oignons. Mais j'ai une question à te poser.

- Laquelle?

- Ces femelles qui t'attachent, elles te vernissent les ongles des pieds, et tout? Elles te maquillent? (En entendant V. s'esclaffer, il poursuivit) Attends! Elles te chatouillent sous les bras avec une plume, c'est ça?

- Enfoiré!

- Hé, simple curiosité, rien de plus! protesta Butch en recouvrant son sérieux. Tu leur fait mal? Je veux dire...

Encore un peu de vodka.

- Tout est question de consentement, et je ne franchis jamais les limites.

- Tant mieux. Ca fout un les jetons à un catho comme... Mais après tout, si c'est ton truc...

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— C’est cet homme-là?

Butch sursauta et perdit le rythme de sa prière en entendant résonner la voix à travers la cave. Il y avait un curieux écho, une sorte de distorsion du son, comme dans un film de science-fiction.

— Oui. Son arme était chargée avec les munitions de la Confrérie.

Retourne vite fait à ton psaume, et récite-le en entier.

Oui, près de Lui, je n'ai plus peur de rien,

Même quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal…

— Je sais que tu es conscient, humain. (La voix distordue était tout près de l’oreille de Butch.) Regarde-moi et reconnais le maître de ton geôlier.

À contrecoeur, Butch ouvrit les yeux, tourna la tête et déglutit avec difficulté. Le visage qui lui faisait face était un concentré d’obscurité – une ombre animée.

L’Omega.

Le monstre se mit à rire

— Ainsi tu connais mon nom. (Il se redressa.) A-t-il dit quelque chose, directeur?

— Je n’en ai pas terminé avec lui.

— Ah, donc c’est un "non". Et vu qu’il est presque mort, vous l’avez déjà bien travaillé. Oui, je sens les ténèbres se refermer sur lui. Si proches. (L’Omega se pencha pour respirer l’air au dessus du corps de Butch.) Il en a pour une heure, peut-être moins.

— Il durera le temps que je veux.

— Non, certainement pas.

L’Omega se mit à tourner autour de la table, et Butch suivit ses mouvements avec une terreur de plus en plus intense. C’était comme une force centrifuge qui se resserrait sur lui à chaque cercle que faisait le monstre. Encore et encore… Butch tremblait si fort que ses dents en claquaient.

Les spasmes se calmèrent un moment quand l’Omega s’arrêta au pied de la table. Il leva une main fantomatique, attrapa son capuchon blanc et l’ôta. Au plafond, l’ampoule nue clignota comme si la lumière était absorbée par cet abîme de noirceur.

— Vous allez le relâcher, dit l’Omega dont la voix vibrante emplissait la pièce et résonnait sur les murs. Vous allez le laisser seul dehors dans les bois. Et vous direz aux autres de ne pas l’approcher.

Pardon? pensa Butch.

— Pardon? dit le directeur.

— Parmi ses autres faiblesses, la Confrérie souffre d’une dramatique loyauté envers les siens, non? Oui, ils s’attachent à ce qui leur appartient – leur côté animal sans doute. (L’Omega leva la main.) Un couteau, je vous prie, je vais rendre cet humain plus utile.

— Vous venez d’affirmer qu’il allait mourir.

— Mais justement, je veux qu’il vive. Alors je vais lui faire un petit cadeau. Un couteau.

Butch suivit d’un oeil inquiet la lame de vingt centimètres qui changeait de main.

L’Omega plaça sa paume à plat sur la table et mit la lame sur le bout de son doigt. Quand il appuya, il y eut un craquement sec, comme une carotte coupée en deux.

Puis l’Omega se pencha sur Butch.

— Où vais-je cacher cela… Où…?

La lame se leva et plongea vers Butch, qui hurla. Et il hurlait toujours quand une entaille fut ouverte dans son ventre. Puis l’Omega prit le bout coupé de son doigt noir et le leva.

Butch se débattait, tirant sur ses chaînes de toutes ses forces. Ses yeux étaient écarquillés d’horreur, et la pression sur son nerf optique le rendait quasiment aveugle.

L’Omega inséra calmement sa phalange coupée au milieu des boyaux de Butch, puis il se pencha et souffla sur la blessure. La chair se referma, la peau cicatrisa. Et Butch sentit immédiatement la chose prendre racine en lui, le mal creuser son trou comme un ver immonde – se déplacer, l’envahir. Et la peau autour de la coupure se nécrosait déjà.

Des larmes amères emplirent ses yeux et coulèrent le long de ses joues abimées par les coups.

— Libérez-le.

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Elle tourna les talons et s'éloigna d'un pas vif vers la maison. Et qui apparut sur le seuil pour l'accueillir ? Vhengeance.

Vhengeance, si puissant, si fort, si capable de la nourrir.

Marissa ne parcourut pas un mètre de plus.

Butch sauter du 4x4 et la saisit par la taille pour l'entraîner vers le véhicule. Elle n'oppose pas la moindre résistance, bien au contraire.

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" Donc voilà, Marissa. Toute ma vie, il m'a manqué quelque chose. J'ai toujours été différent des autres, pas seulement dans ma famille, mais aussi quand je faisais partie de la police de Caldwell. Je ne me suis jamais intégré nulle part... Jusqu'à ma rencontre avec la Confrérie. J'ai rencontré ton espèce... Bordel, maintenant je sais pourquoi. J'étais un étranger parmi les humains.

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- Je suis un homme qui tient à s'occuper de sa femme.

- Je te l'ai dit... Un imbécile ! Et tu m'as promis de ne plus me protéger malgré moi.

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Quand je suis allongée tout près de toi, quand je sens ton odeur, quand j'entends ta voix, je sais tout ce qui compte. Tu es le mâle à qui j'ai envie de m'unir. Voilà qui tu es.

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« En allant doucement, il l’emmena jusqu’au premier étage, dépassa la chambre de Rhage et Mary, puis celle de Phury, et arriva tout au bout du couloir devant la suite qui avait été attribuée à Marissa.

 

Elle posa la main sur sa poignée.

 

—       Je suis vraiment désolée, Butch. J’aurais aimé passer plus de temps avec toi ce soir. Je croyais avoir davantage de force.

 

—       Tu veux que j’appelle un docteur ?

 

Marissa releva vers lui des yeux vitreux mais curieusement calmes.

 

—       Non, je peux m’en occuper. Je le ferai bientôt.

 

—       Là, tout de suite, j’ai très envie de jouer les protecteurs et d’en faire un peu trop.

 

—       Ce n’est pas la peine, dit-elle en souriant. C’est ce qui était convenu.

 

—       Et si c’est juste pour me rassurer, ça ne compte pas ?

 

—       Si.

 

Tandis qu’ils se regardaient les yeux dans les yeux, une idée soudaine flasha dans la cervelle de Butch : Il aimait cette femme. Il l’aimait infiniment et à jamais.

 

Et il voulait qu’elle le sache."

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- Je t'aime aussi, Butch.

Il en oublia comment respirer.

Totalement abasourdi, il s'agenouilla près du lit et ne put s'empêcher de sourire.

- Et pourquoi tu ferais ça, chérie ? Je te croyais intelligente.

Elle émit un petit rire.

- Tu sais pourquoi.

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- Flic, je peux te poser une question ?

- C'est de bonne guerre.

- Tu l'aimes ?

Au bout d'un moment, Butch marmonna :

- Ouais. Ca me tue, mais oui.

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- Ne crois pas que je suis l'unique facteur de sa guérison. Tu es sa lumière, Marissa. Ne l'oublie jamais. (Il plissa les yeux.) Mais rappelle-toi aussi ceci : si tu lui fais du mal délibérément, je te considérerai comme mon ennemie.

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