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Butch donna une claque sur la cuisse de V., puis se leva, comme s’il avait lu dans les pensées de son ami.

— Écoute, je ne veux pas que tu te sentes coupable. C’est mon charisme animal. Je suis irrésistible, que veux-tu.

— T’es con. (Le sourire de V. fut de courte durée.) Ne laisse pas ton côté fleur bleue te monter à la tête pour ce qui est de Jane et moi, vieux. Elle est humaine.

Butch ouvrit la bouche et prit un air de pantin ahuri.

— Non ! Ça alors ! Et moi qui croyais que c’était une brebis.

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— Je ne veux pas que vous vous approchiez de cette maudite main. Même si elle est gantée.

— Pourquoi… ?

— Je n’en parlerai pas, alors ne vous fatiguez pas à me poser la moindre question dessus.

Bieeeeeeeen.

— Elle a failli tuer l’une de mes infirmières, vous savez.

— Ça ne m’étonne pas. (Il jeta un regard noir au gant.) Je la couperais bien si j’en avais l’occasion.

— Je vous le déconseille.

— Évidemment que vous le déconseillez. Vous n’avez pas la moindre idée de ce que cela peut être de vivre avec ce cauchemar fixé au bout de votre bras…

— Non, je veux dire qu’à votre place je me la ferais couper par quelqu’un d’autre. Vous aurez plus de chances que le boulot soit bien fait.

Il y eut un court moment de silence, puis V. éclata de rire.

— Vous ne manquez pas d’air !

Jane masqua le sourire qui lui montait aux lèvres en s’absorbant dans le rinçage et l’essorage du gant.

— Juste mon humble avis médical.

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— Est-ce que vous voulez que je fasse votre toilette ?

Il cessa de respirer et, comme le silence se prolongeait, elle se dit qu’il allait refuser. Mais sa bouche bougea imperceptiblement et il dit :

— Vous feriez ça pour moi ?

Elle faillit répondre de manière sérieuse et sincère. Mais elle se rendit compte que cela ne ferait qu’empirer son embarras.

— Qu’est-ce que vous voulez, j’ai l’intention d’être canonisée un jour. C’est mon nouveau but dans la vie.

— Vous me rappelez Bu… mon meilleur ami, fit-il avec un sourire en coin.

— Red Sox, vous voulez dire ?

— Oui, il a le sens de la repartie.

— Saviez-vous que le fait d’avoir de l’esprit était un signe d’intelligence ?

Le patient laissa retomber son bras.

— Je n’ai jamais douté de la vôtre. Pas un seul instant.

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Elle plissa les paupières.

— Une question rapide. Est-ce que cette aptitude, qui relève au demeurant de la magie, de pouvoir manipuler la matière grise, s’accompagne pour votre espèce d’une absence totale de scrupules, ou est-ce juste que vous êtes né dépourvu de tout sens moral ?

Il posa ses couverts.

— Pardon ?

Pour le coup, Jane se fichait royalement qu’il soit vexé.

— D’abord, vous me kidnappez, et maintenant vous allez effacer mes souvenirs, et ça ne vous pose aucun problème ? Je suis en quelque sorte une lampe que vous auriez empruntée…

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Elle se maudit, et eux avec, puis sortit la main de sa poche, se pencha et extirpa du plus grand sac un flacon de Demerol.

— Il n’y a pas de seringues.

— J’en ai. (Red Sox s’approcha et lui tendit un emballage stérile. Quand elle essaya de le prendre, il garda la main serrée dessus.) Je compte sur vous pour être prudente.

— Prudente ? (Elle lui arracha la seringue de la main). Non, je vais la lui planter dans l’œil. C’est comme ça qu’on m’a appris à faire en fac de médecine. 

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Il se leva, le drap tomba à terre, et elle détourna les yeux. Voir un homme nu n'avait rien d'extraordinaire dans son métier mais, pour une raison qu'elle ne saisissait pas très bien, avec lui, ce n'était pas la même chose.

Oui, évidemment. Il faisait un mètre 95, et c'était une véritable montagne.

Comme elle retournait s'asseoir, elle entendit une démarche trébuchante puis un bruit sourd. Alarmée, elle leva la tête. Le patient ne tenait pas sur ses jambes, il avait perdu l'équilibre et s'était cogné au mur.

- vous avez besoin d'aide ?

S'il vous plaît, dites ''non'', s'il vous plaît, dites...

- non.

Merci

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- Tu es un vampire maintenant. Tu seras complètement remis en deux temps, trois mouvements.

- Ce n'est pas la question. Marissa va nous tuer quand elle va savoir qu'on s'est battus.

V. fit une grimace.

- Mince. Ca, ca va faire mal, pas vrai ?

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— Phury ?

Il s’efforça de revenir sur terre.

— Excuse-moi. Tu disais ?

— Je disais que j’ai rêvé de toi un jour. Il y a des années de ça.

Oh Seigneur. Pourquoi n’était-il pas monté directement dans sa chambre ? Il serait déjà en train de fumer au moment présent.

— Et alors ?

Vishous se caressa la barbe.

— Je t’ai vu debout à un carrefour au milieu d’une immense étendue blanche. C’était un jour de tempête… oui, une vraie tornade. Mais quand tu as pris un nuage dans le ciel pour entourer un puits, la pluie s’est arrêtée.

— Très poétique. (Et c’était aussi un sacré soulagement parce que la plupart des visions de Vishous étaient du genre terrifiant.) Mais à mon avis, ça ne veut rien dire.

— Ce que je vois veut toujours dire quelque chose, et tu le sais parfaitement.

— Alors c’est une allégorie. Comment quelqu’un pourrait-il entourer un puits ? (Phury eut l’air surpris.) Et pourquoi m’en parler aujourd’hui ?

Tout à coup, les épais sourcils noirs de Vishous se froncèrent bas sur ses yeux de diamant.

— Je… Bon sang, aucune idée. J’en ai juste eu besoin. (Il poussa un juron mauvais et se leva pour se diriger vers la cuisine.) Bella est-elle toujours là ?

— Comment sais-tu qu’elle y...

— Tu es toujours dans un sale état après l’avoir croisée.

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_ A quoi pensez-vous? demanda Jane. Vous êtes terriblement tendu.

V. retomba abruptement dans le présent, et n'eut pas envie de mentir.

_ Je pense à mes tatouages.

_ Vous les avez depuis quand?

_ Presque trois siècles.

Jane laissa échapper un sifflement.

_ Vous vivez aussi longtemps que ça?

_ Plus longtemps encore. Si je ne me fais pas fracasser la tête au cours d'un combat et si vous autres cinglés d'humains ne faites pas exploser la planète, je devrais respirer pendant encore sept cents ans.

_ Eh ben! (Elle se redressa.) Tournez la tête, je veux voir ces tatouages.

Bouleversé par ses souvenirs, il fit ce qu'elle lui demandait parce qu'il n'arrivait pas à trouver de raison de ne pas le faire.

Mais quand elle leva la main vers son visage, il tressaillit. Elle laissa retomber son bras sans le toucher.

_ On vous a imposé ces tatouages, n'est-ce pas. Ils ont été faits au même moment que la castration?

V. eut un mouvement de recul intérieur mais ne bougea pas. La compassion de Jane le mettait extrêmement mal à l'aise, mais le ton de sa voix était factuel, direct. Il pouvait donc répondre de manière factuelle et directe.

_ Oui. En même temps.

_ Je présume qu'ils constituaient des avertissements, puisque vous les avez sur votre main, votre tempes, vos cuisses et votre aine. Je pense qu'ils ont à voir avec l'énergie dans votre paume, votre aptitude à voir le futur, et avec la question de la procréation.

Il n'allait quand même pas s'étonner de ses extraordinaires talents de déduction, si?

_ En effet.

Jane baissa la voix.

_ C'est pourquoi vous avez paniqué quand je vous ai dit que j'allais vous attacher, à l'hôpital, quand vous étiez aux soins intensifs. Ils vous ont attachés, n'est-ce pas?

Il se racla la gorge.

_ N'est-ce pas, V.?

Il saisit la télécommande pour la télévision.

_ Vous voulez voir autre chose?

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- Bordel, tu n'es pas loin de la canonisation, tu le sais ? Tu es toujours là quand j'ai besoin de toi. Toujours. Même quand je...

- Même quand tu quoi ?

- Tu sais bien ?

- Quoi ?

- Merde. Même quand j'étais amoureux de toi.

Butch plaqua les mains contre sa poitrine.

- Étais ? Étais ? Je ne peux pas croire que tu te sois lassé de moi ! (Il jeta un bras devant ses yeux dan un geste théâtral, digne de Sarah Benhardr.) Tu brises les rêves que j'avais de notre futur.

-Ferme-là, flic.

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