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Il prit une voix sévère en agitant le doigt en direction de Nalla.

— Et maintenant, essaie un peu d’être sage avec ton oncle et ton aumahne, compris ?

Nalla hocha la tête, l’air aussi grave que si elle acceptait la présidence des Etats-Unis.

— Oui papa.

Le sourire de Z pour sa fille avait de quoi illuminer toute la galaxie.

— Bravo, sauterelle.

— Bisous papa, dit Nalla en lui rendant son sourire, les bras tendus.

Z prit sa fille et la serra fort, puis elle tendit les bras vers sa mère.

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— Votre Grâce… répéta-t-elle dans un souffle.

— Que regardez-vous ? dit-il d’une voix rauque, même si la scène sur l’écran parlait d’elle-même.

— Ah… C’est John qui a choisi le film. (Elle tripota la télécommande et appuya sur tous les boutons jusqu’à ce que l’écran se fige.)

— Je ne parlais pas du film, Cormia, mais de la scène.

— Ah…

— Vous l’avez sélectionnée… non ? Et vous avez regardé cette scène en boucle. Encore et encore.

— Oui… (La voix était enrouée.) Effectivement.

Elle pivota dans son siège pour lui faire face. Seigneur qu’elle était belle … avec ces grands yeux, cette bouche, ces cheveux pâles, et cette odeur de jasmin qui montait jusqu’à lui pour le tenter.

Elle était sexuellement excitée. Voilà pourquoi son parfum était plus lourd.

— Pourquoi cette scène ? demanda-t-il. Pourquoi l’avoir choisie ?

Tandis qu’il attendait sa réponse, son corps se raidit davantage, son sexe battant follement au rythme de son coeur. Et ce qui accélérait ainsi son sang n’avait rien à voir avec les obligations ou les responsabilités liées à son rôle de Primâle. Non, c’était un besoin primitif, du sexe à l’état pur. Du sexe jusqu’à ce qu’ils soient tous les deux épuisés, ruisselants et même un peu meurtris. Manifestement, il était assez salaud pour se ficher complètement qu’elle ait été excitée par un film, ou par un autre que lui. Ouais, il voulait surtout que ce soit son corps qu’elle utilise comme exutoire… et qu’elle le vide de toute substance, jusqu’à ce que sa queue soit à sec.

— Pourquoi avoir choisi cette scène, Cormia ? insista-t-il.

Une main gracieuse revint se poser à la base de sa gorge.

— Parce que… cela me faisait penser à vous.

Phury poussa un grondement. D’accord, ce n’est pas du tout ce qu’il s’attendait à entendre. Et il ne pensait pas qu’elle parle de son devoir d’Élue. Ce n’est pas la tradition qui animait Cormia ce soir, mais le désir. Elle voulait du sexe. Peut-être même en avait-elle besoin. Tout comme lui.

Et elle voulait du sexe avec lui.

D’un mouvement délibéré, Phury se retourna, le corps soudain parfaitement coordonné. Le brouillard dans lequel l’avaient plongé l’alcool et la drogue s’était évaporé.

Il allait la prendre. Ici. Maintenant.

Il descendit les marches, prêt à revendiquer ce qui lui appartenait.

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— Dis-moi, a-t-elle les yeux dorés ?

Z eut un sourire et hocha la tête.

— Oui. Bella prétend qu’elle me ressemble… ce qui fait qu’elle te ressemble aussi. Viens la voir, mon frère. Viens voir ta nièce. Il y a un emplacement vide sur le berceau, et nous avons besoin de toi pour boucher le trou.

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— Tu veux que je t’ouvre la portière ? demanda Vhif, pince-sans-rire en éteignant le moteur.

John le regarda.

— Si je dis oui, tu le feras ?

— Non.

— Alors, je t’en prie, ouvre-moi la portière.

— Tu fais chier. (Vhif sortit du côté conducteur.) Tu gâches ma blague.

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Quand il tomba à genoux devant elle , elle en fut choquée.

-Votre grâce, vous ne devriez pas...

-Fhurie. Appelle-moi Fhurie , Jamais <Votre Grâce> ou <Primâle >. A

partir de maintenant , je veut rien entendre d'autre que mon véritable

nom venant de toi.

-Mais...

-Pas de < mais >

Cormia secoua la tête.

-Trés bien. Sauf que vous ne devriez pas être à genoux. Jamais.

-Devant toi , je ne devrais être qu'a genoux. (Il posa légèrement les

mains sur les bras de Cormia.) Devant toi... je devrais toujours m'incliner.

(Il observa son visage et ses cheveux.) Ecoute ,Cormia il faut que tu

sache quelque chose.

Ses yeux étaient la chose la plus surprenante qu'elle ait jamais vu ,

hypnotique, de la couleur des citrines à la lueur du feu.

-Oui ?

-Je t'aime.

Le coeur de Cormia se serra.

-Comment ?

-Je t'aime.(Il secoua la tête et recula, s'asseyant en tailleur.)

Oh seigneur...j'ai tout gâché. Mais je t'aime.

Je voulais que tu le sache parce que...eh bien , merde, parce que

c'est important et parce que ça signifie que je ne peux pas être avec

les autres Elues . Je ne peux pas être avec elles, Cormia.

C'est toi ou personne.

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— Alors comment devrai-je t’appeler ? demanda Vhif qui bondit devant lui pour lui ouvrir la porte avec une courbette. Préférerais-tu « mon suzerain » ?

— Arrête ça, tu veux ?

— Pourquoi pas un bon vieux « maître » ? (Quand John le foudroya du regard par-dessus son épaule, Vhif haussa les épaules.) Très bien. Je me contenterai de « tête de con », alors. Mais c’est ta faute, je t’ai donné le choix.

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Il (Fhurie) enfila une veste légère pour pouvoir cacher un sachet plein à son retour, puis descendit le grand escalier quatre à quatre. En atteignant le vestibule, son cerveau vibrait et fourmillait tandis que le sorcier lui énnonçait les "Dix raisons pour lesquelles Fhurie, fils d'Aghonie, est un crétin".

Numéro dix : réussit à se faire virer de la Confrérie. Numero neuf : drogué. Numero huit : s'engueule avec son jumeau alors que la shellane de celui ci se trouve mal. Numero sept : drogué. Numero six : envoie chier la femelle avec laquelle il veut etre, et la vire. Numero cinq : raconte des bobards pour dissimuler son comportement de junkie.

Mais peut etre que sa rejoignait les points neuf et sept ?

Numero quatre : abandonne ses parents. Numero trois : drogué. Numero deux : tombe amoureux de la femelle ci-dessus mentionnee...

Merde.

Merde.

Merde.

Etait-il tombe amoureux de Cormia ? Quand ?

Le sorcier surgit dans sa tete. Au diable tout ça mon pote. Finissons la liste. Allez. Bien... Je pense qu'on mettra "drogué" en numero un, t'en dis quoi ?

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Pour éviter de rencontrer les autres, Phury se matérialisa dans les jardins derrière le manoir. Avec ce qu’il avait en tête, entrer par la porte principale lui ferait courir le risque de—

Ses pieds prirent soudain racine dans le sol.Et sa respiration se bloqua.

Cormia sortait de la piscine, sa silhouette somptueuse dégouttant d’eau…

avec trois jeunes mâles à peine émergés de leur transition à moins de trois mètres d'elle, la langue si pendante de désir qu’elle leur arrivait au nombril.

Seigneur…Oh…que non…!

Son instinct de mâle dédié le transforma instantanément en animal, le libérant des mensonges dans lesquels il s'était enfermé pour nier ses sentiments. La bête sortit de la caverne de son coeur, déchirant tout ce qui était civilisé en lui.

Il ne voyait plus qu'une chose : sa femelle était nue et d'autres mâles la convoitaient.

Il n'eut besoin de rien d'autres pour réagir.

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— Nous reparlerons plus tard—

— Il n’y aura pas de plus tard. Je vais entrer en sehclusion comme scribe au Sanctuaire. Je tiendrai à jour l’histoire de ta vie, mais n’en ferai pas partie.

— Cormia, non !

Elle tourna la tête pour le regarder.

— C’est là qu’est ma place. (Puis elle se laissa retomber dans son oreiller.) Je t’en prie, laisse-moi.

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L’alarme à incendie les interrompit, un hurlement strident qui faisait regretter de ne pas être sourd.

Phury éclata de rire et roula sur la côté, la serrant contre lui.

— Cinq – quatre – trois – deux...

— Dééésolééé! cria Layla en bas des escaliers.

— Qu’as-tu fait cette fois, Élue? hurla Phury.

— Des oeufs brouillés, cria-t-elle en réponse.

Phury secoua la tête et regarda Cormia.

— J’aurais juré que c’était les toasts.

— Impossible. Elle a cassé le grille-pain hier soir.

— Vraiment?

— Oui, dit Cormia en hochant la tête. Elle a mis une pizza dedans. Le fromage a coulé.

— Partout?

— Partout.

Pour une raison étrange, il sembla trouver l’anecdote hilarante.

— C’est pas grave, Layla, tu peux toujours nettoyer la poêle et recommencer.

— Je ne pense pas que cette poêle soit encore opérationnelle, dit Layla calmement.

Phury baissa la voix.

— Je préfère ne pas savoir pourquoi.

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