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Spoiler(cliquez pour révéler)- J'aimerais me présenter. Je suis le gros con qui va t'obliger à montrer dans la bagnole de ton pote Vhif dès qu'il reviendra. Je préférais me présenter avant de te saisir à bras-le-corps pour te jeter sur mon épaule comme un sac de patate.

John le foudroya du regard.

- Je ne bougerai pas d'ici.

Rhagbe esquissa un sourire. Son encroyable beauté était comme un cadeau du ciel. Mais ce n'était que l'emballage. L'intérieur, lui, venait directement de l'enfer... dans ce genre de situations, en tout cas.

- Mauvaise réponse, désolé.

- Je me sens bien...

Cet enfoiré de fils de pute de sale connard de trou du cul se pencha alors vers lui et, agrippant des deux mains sa jambe blessée, pressa l'endroit où la balle avait élu domicile.

John hurla sans bruit avant de tomber à la renverse sur le sol trempé de sang.

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- Ce bolide ? railla Rhage. Je t'en prie. Ce truc est une machine à coudre à roulettes collées sur un ventilateur géant. Ma bagnole l'enverrait dans les choux en un clin d'oeil.

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- OK, OK, OK... Du calme, les gars. Vous avez sous vos pieds un magnifique tapis d'Aubusson. Si vous mettez du sang dessus, Fritz me fera passer un sale quart d'heure, je n'ose même pas imaginer.

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- Espèce de salaud, murmura-t-elle en riant.

Il hocha la tête. Avant de s'enfoncer de nouveau en elle.

Elle adora. Oui, elle adora qu'il la taquine un peu en lui montrant qui était le boss, là. C'était juste parfait.

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- Parfait. Ce serait bien que vous restiez auprès d'elle au cas où elle aurait de nouveau besoin de s'alimenter.

Comme s'il avait prévu autre choses !

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Il le lui donnait sans rien attendre en retour, sans le moindre espoir, sans la moindre émotion.

Même dans sa frénésie de récupérer des forces, ce constat lui fit mal. Elle lui avait bel et bien brisé le coeur : il ne nourrissait plus aucune illusion. Mais elle ne l'avait pas brisé, lui, et cela forçait son respect plus que tout.

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Seigneur, que c'était typique de ce mec-là. Faire de mauvaises actions pour d'excellentes raisons.

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Après avoir envoyé Mr D espionner Xtreme Park pour déterminer les éléments les plus productifs, ce petit merdeux aux yeux de reptile arrivait nettement en tête.

— Vous êtes pédé ? dit le gosse.

Cette fois, Lash ne put empêcher une de ses mains de lâcher son volant pour plonger dans sa veste.

— Pourquoi tu me demandes ça ?

— À cause de votre odeur. Et de vos habits aussi. Ça fait pédé.

Lash agit si vite que sa proie n’eut même pas le temps de reculer dans son siège. Déjà, il avait sorti sa lame et en posait le tranchant sur la veine qui pulsait le long du cou blanc.

— La seule chose que je fais aux mâles, c’est de les buter, dit Lash. Si tu veux te faire baiser comme ça, je suis partant.

Les yeux du gosse s’écarquillèrent et son corps trembla sous ses vêtements crasseux.

— Non… J’ai rien contre les pédés.

Ce sombre connard n'avait rien compris, mais peu importe.

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Si Xhex n’était pas très douée niveau câlin, elle était parfaitement apte à soutenir autrui. Aussi, elle rattrapa sa mère par son bras terriblement mince, et empêcha la pauvre femelle de finir sur le tapis.

— Ça va aller, dit-elle à John, manifestement horrifié à l’idée d’avoir bouleversé la femelle. Attends un peu. Ne regarde pas. Tu n’as pas le droit de voir ma robe.

John se figea, alors que ses yeux n’avaient pas encore traversé la pièce.

— La robe ? mima-t-il.

Ouais, difficile de savoir quel était le plus grand choc. Sa mère apparaissant pour la première fois depuis trois siècles ? Ou le fait qu’elle allait foutre son cul dans une robe ?

On ne sait jamais exactement ce que la vie vous réserve. Et parfois, les surprises ne sont pas si mal.

Un : John

Deux : Une robe

Trois : Sa mère.

Pas à dire, c’était une nuit spéciale. Une nuit merveilleuse.

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Ce n’était pas Kohler qui se penchait sur elle, mais une femelle... Ou du moins ce qui semblait être une femelle. Le visage et les cheveux étaient translucides. Un fantôme ?

Lorsque leurs yeux se croisèrent, l’expression de la femelle passa d’inquiète à stupéfaite. Et elle dut s’appuyer au bras de Kohler.

— Oh... mon Dieu. (La voix était étouffée.)

— Est-ce donc si évident, Doc ? demanda le roi.

La femelle eut du mal à répondre. Ce n’était pas le genre de réaction qu’on avait envie de voir chez un médecin. Bien sûr, Payne avait parfaitement conscience de ses blessures. Cependant, elle aurait aussi bien pu ne pas connaître de la gravité de sa condition.

— Je suis—

— Viscs.

Le nom lui figea le cœur.

Parce qu’elle ne l’avait plus entendu depuis deux siècles.

— Pourquoi parlez-vous de mon frère défunt ? murmura-t-elle.

Soudain, le visage spectral du physicien prit une forme solide, et ses yeux vert sombre révélèrent un étonnement sincère. Á voir sa peau si pâle, elle venait de recevoir un choc émotionnel.

— Votre frère défunt ?

— Mon jumeau... Qui est depuis longtemps passé dans l’Au-delà.

Le physicien secoua la tête, et plissa ses yeux intelligents.

— Viscs est vivant. C’est mon compagnon. Il est vivant. Et vit ici.

— Non... Ce n’est pas possible. (Payne regretta de ne pouvoir agripper le bras solide du docteur.) Vous mentez— Il est mort depuis longtemps—

— Non. Il est vivant.

Payne n’arrivait pas à comprendre. Qui donc lui avait jadis annoncé la mort de son jumeau, passé dans la grâce accueillante de l’Au-delà—

Sa mère. Bien entendu.

En vérité, la femelle l’avait empêchée de connaître son propre frère ?

Comment avait-elle pu se montrer aussi cruelle ?

Payne montra les dents, et grogna tout au fond de sa gorge, tandis que le feu de sa colère lui faisait oublier sa douleur.

— Je la tuerai pour ça. Je le jure. Je la traiterai comme je l’ai fait pour celui qui nous a engendrés.

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