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Rome, 1600. Un jeune peintre inconnu débarque dans la capitale et, en quelques tableaux d'une puissance et d'un érotisme jamais vus, révolutionne la peinture. Réalisme, cruauté, clair-obscur : il bouscule trois cents ans de tradition artistique. Les cardinaux le protègent, les princes le courtisent. Il devient, sous le pseudonyme de Caravage, le peintre officiel de l’Église. Mais voilà c'est un marginal-né, un violent, un asocial ; l'idée même de " faire carrière " lui répugne. Au mépris des lois, il aime à la passion les garçons, surtout les mauvais garçons, les voyous. Il aime se bagarrer, aussi habile à l'épée que virtuose du pinceau.
Condamné à mort pour avoir tué un homme, il s'enfuit, erre entre Naples, Malte, la Sicile, provoque de nouveaux scandales, meurt à trente-huit ans sur une plage au nord de Rome. Assassiné ? Sans doute. Par qui ? On ne sait. Pourquoi ? Tout est mystérieux dans cette vie et dans cette mort.
Il fallait un romancier pour ressusciter, outre cette époque fabuleuse de la Rome baroque, un tempérament hors normes sur lequel on ne sait rien de sûr, sauf qu'il a été un génie absolu, un des plus grands peintres de tous les temps.
Sous les acclamations des Marseillais en délire, le cortège du roi Alexandre Ier de Yougoslavie s'avance sur la Canebière à une allure si lente qu'elle en devient hiératique. Au fond et à droite de l'antique Delage noire dont l'arrière a été décapoté, le roi salue et arbore, sous son bicorne d'amiral, un sourire que quantité de témoins jureront avoir vu crispé.
Alain Decaux nous raconte l'histoire comme si on y assistait ; c'est précis et détaillé. Dans ce tome, il se concentre sur la période de 1934 à 1940, période charnière de l'entre-deux-guerres.
Une très belle biographie romancée de ce grand artiste, inventeur du "clair-obscur". Un talent immense (il suffit de regarder ses tableaux) mais une vie de mauvais garçon, il sera d'ailleurs assassiné dans des circonstances mystérieuses...
La passionnante vie du Caravane. On voit ses tableaux avec un nouveau regard, et on en ressort bouleverser. Livre passionnant, on en redemande. J’ai adoré.
Oeuvre qui s'adresse à des lecteurs qui veulent retenir l'essentiel d'un fait historique. L'auteur rend le récit très captivant et cite souvent ses sources. De plus s'il y a un doute ou des avis divergents par rapport à un fait, il le dit.
La vie tragique et passionnante du Caravage revue avec talent par Fernandez. On en ressort secoué et surtout, on a très envie de voir les tableaux du peintre, de les regarder avec un oeil nouveau. Un roman plein de sexe, de violence, de sang mais empreint d'une grande sensualité.
On ne peut reprocher à Dominique Fernandez sa plume. L'homme sait écrire, c'est indéniable. En revanche, les clichés, les inventions, les approximations, les erreurs historiques sont trop nombreuses pour rendre agréable la lecture. Si on lit Fernandez... Exemple 1 : Caravage peint des tableaux avant de rencontrer le modèle. Exemple 2 : écrire des pages et des pages sur le nom de la rue où habite Caravage est aussi ridicule que d'écrire : "Jeanne d'Arc, habitant rue Charles de Gaulle, se voulait un destin aussi fort que celui du Général !" Très décevant.
Résumé
Quatrième de couverture "Le livre de poche".
Rome, 1600. Un jeune peintre inconnu débarque dans la capitale et, en quelques tableaux d'une puissance et d'un érotisme jamais vus, révolutionne la peinture. Réalisme, cruauté, clair-obscur : il bouscule trois cents ans de tradition artistique. Les cardinaux le protègent, les princes le courtisent. Il devient, sous le pseudonyme de Caravage, le peintre officiel de l’Église. Mais voilà c'est un marginal-né, un violent, un asocial ; l'idée même de " faire carrière " lui répugne. Au mépris des lois, il aime à la passion les garçons, surtout les mauvais garçons, les voyous. Il aime se bagarrer, aussi habile à l'épée que virtuose du pinceau.
Condamné à mort pour avoir tué un homme, il s'enfuit, erre entre Naples, Malte, la Sicile, provoque de nouveaux scandales, meurt à trente-huit ans sur une plage au nord de Rome. Assassiné ? Sans doute. Par qui ? On ne sait. Pourquoi ? Tout est mystérieux dans cette vie et dans cette mort.
Il fallait un romancier pour ressusciter, outre cette époque fabuleuse de la Rome baroque, un tempérament hors normes sur lequel on ne sait rien de sûr, sauf qu'il a été un génie absolu, un des plus grands peintres de tous les temps.
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