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Il fait un temps splendide... La butte derrière laquelle se cache le soleil, les deux saules, les rives vertes, le ciel, tout cela se reflète dans l'étang en même temps que Sacha et Zinotchka. Imaginez le calme qui règne. Au-dessus des laîches volettent des millions de papillons dorés à longues antennes, derrière le jardin on rentre le troupeau. Bref, un tableau digne d'un peintre. (Zinotchka)
Afficher en entierCe n'est pas une grosse affaire que d'être aimé: les dames ont été créées pour cela. (Zinotchka)
Afficher en entierLe sommeil la fuit (La Pharmacienne)
La lune a l'air affreusement confuse "
Afficher en entierAssis à côté d'une jeune femme qui paraissait si belle dans la clarté de l'aube apaisé et ravi par la vue de ce tableau féerique: la mer, les montagnes, les nuages, le vaste ciel, Gourov songeait qu'au fond, à bien y réfléchir, tout est eau ici-bas, tout, excepté ce que nous pensons et faisons quand nous oublions les buts sublimes de l’existence et notre dignité d'homme. (La Dame au petit chien)
Afficher en entierPas une feuille ne bougeait, on entendait le chant des cigales et le bruit sourd et monotone qui montait de la mer parlait du repos, du sommeil éternel qui nous attend.(La Dame au petit chien)
Afficher en entierIl lui semblait qu'il était suffisamment instruit par d'amères expériences pour dénigrer les femmes comme il voulait, et pourtant il était incapable de passer deux jours sans la "race inférieure". En compagnie d'hommes il s'ennuyait, il était gêné, il se montrait taciturne avec eux, et froid ; mais quand il se trouvait parmi des femmes, il se sentait à l'aise, il savait de quoi leur parler et comment se tenir ; même se taire avec elles lui était facile. Dans son aspect, dans son caractère, dans toute sa nature, il y avait quelque chose d'attrayant, d'insaisissable, qui disposait favorablement les femmes à son égard, les attirait ; il le savait, et lui aussi, une force inconnue le poussait vers elles.
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